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Contenu : Il est arrivé en Paris. Mazurka java. Avant deux gavotté. Avant deux du bocage. Mais tout autour de ma patrie. Scottish de sept. Appel de labour ou raudage. Quand je tiens la bride de mon cheval. Je vais vous dire ma vie. Sur le pont d'avignon. La violette double. J'ai une pomme dans mon panier. Buvons à la santé d'un prince. Suite de branles maraichins. Air de maraichine. Il y a plus que dix filles dans un pré. Nous voilà bien du monde ici. Je m'en fus trouver ma maitresse. Un jour un jour m'y prend envie. La Chevallereau. Le Roi renaud revint de guerre. Ensemble de tintenelles à la sortie de la messe. Bal de saintonge. Les garçons sont trompeurs. Pas d'été. Dedans la ville de plaisantement. La marchoise. Ce sont trois jeunes marins. Sirènes lors du pardon des terre-neuvas. Ce sont trois galions d'espagne. La bébé (polka)

Résumé : François Boisrond est né le 24 mars 1959 à Boulogne-Billancourt, fils des cinéastes Michel Boisrond et Annette Wademant. Il fait ses études à L' Ecole nationale supérieure des arts décoratifs de Paris de 1977 à 1980 où il rencontre Di Rosa, puis Combas. En 1981, il fait partie du mouvement de la Figuration libre ,présent notamment dans l’exposition « Finir en beauté » organisée par Bernard Lamarche-Vadel dans son appartement parisien. En 1982, il est présent dans l'exposition « Ateliers 81-82 » du Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. S’inspirant des produits visuels (objets de publicité, affiches, autocollants, jeux vidéo, etc.), s’inspirant du monde de la bande dessinée, François Boisrond peint à l’acrylique des toiles figuratives, colorées, aux formes simplifiées. Il réalise des affiches publicitaires ou humanitaires. En 1989, François Boisrond participe à l’exposition collective « Nos années 80 » organisée à la Fondation Cartier pour l’Art Contemporain (Jouy-en-Josas). Depuis les années 90, l’artiste s’intéresse à l’imagerie publique, à celle de la vie quotidienne .

Résumé : Isabelle Rèbre filme un artiste modeste, sincère, souvent rejeté par le monde de l’art, Jean Rustin (né en 1928). D’abord peintre abstrait, malgré le succès de son exposition au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris en 1971, il rompt totalement avec une abstraction colorée, et selon lui décoratrice et trop formatée pour s’adonner à une figuration morbide et grise. Dans le même temps, il abandonne l’idéologie marxiste. Confronté au destin tragique de l’homme, Rustin va peindre des personnages nus, sans âge, aux chairs flasques et dans des attitudes parfois obscènes; ils nous regardent, hébétés, repliés sur eux-mêmes, perdus, désespérés. Le peintre les dépouille de toute dimension sociale, de toute parure pour les montrer dans un « dénuement » total et souligner leur animalité. Il les peint frontalement dans un espace clos et indéfini, à larges coups de brosse créant des distorsions. Sa palette subtile décline tous les fondus de gris, bleu et rose fané. Ces êtres difformes, aux crânes chauves semblent surgir d’un asile d’aliénés et dérangent : autant que la représentation de la sexualité, on lui reproche de dévoiler l’homme dans sa décrépitude. L’exposition qu’il fait en 1982 à la Maison des Arts André Malraux de Créteil scandalise. I. Rèbre montre un extrait du film de H. de Rosière « Rustin » réalisé à cette occasion. Bref, les œuvres de Rustin, violentes et tristes, cauchemardesques comme certaines de Goya ou Bacon, reflètent toute la misère du monde et nous renvoient à notre propre solitude et désarroi. Elles ne peuvent laisser indifférents.

Contenu : Ansanm. Ecris-moi. Son zié. Comme un refrain. Santié papang. Mové rev. Ti kok. Ti brine. Mazine. Interlude. Véli. Dernié viraz. Pars. Zanfan

Résumé : Le Conseil d'Etat ayant annulé, pour "don d'argent en période éléctorale", les élections municipales de mars 2008 à Corbeil-Essonnes (Essonne), une nouvelle élection est organisée à l'automne 2009. Le maire sortant, l'industriel milliardaire Serge Dassault, sanctionné par le Conseil d'Etat, ne peut se représenter. Il est pourtant omniprésent dans la nouvelle campagne, posant sur les affiches en compagnie de son remplaçant, organisant réunions et sorties pédestres dans "sa" ville, sur les marchés comme aux pieds des immeubles "sensibles", ne changeant en rien ses méthodes : "Dans quel domaine ceux qui ne travaillent pas voudraient-ils travailler?" demande-il à la cantonade, confondant à dessein les rôles de maire et d'employeur privé, brouillant l'image de ce qu'est un service public, sans parler de celle de la démocratie.

Résumé : Sur les lieux du tremblement de terre qui a dévasté la ville sicilienne de Gibellina en 1968, Pippo Delbono raconte le silence des morts, des vivants et des pierres. Le silence de l'âme. Musique, textes et gestuelle viennent témoigner de cet instant tragique, à la fois bref et éternel. Spectacle créé au festival Orestiadi (Sicile) en juillet 2000 et filmé en public au Théâtre du Rond-Point (Paris) en novembre 2005.

Contenu : A moi l'Afrique. Picasso colombe. Une femme honnête. A l'ombre bleue du figuier. Si j'étais peintre ou maçon. Les saisons. La leçon buissonnière. Paris an 2 000. Hou hou méfions-nous. Ils volent volent volent. La femme est l'avenir de l'homme. Le bruit des bottes. Berceuse pour un petit loupiot. Un jeune. Dans le silence de la ville. Le singe. Je meurs. Le fantôme. Un air de liberté. Mon chant est un ruisseau

Contenu : CD 1 : Satori thème. Des attractions désastre. L'homme qui marche. Saudade. En surface. Le grand sommeil. Soleil de minuit. L'invitation. Des heures hindoues. L'adorer. Tombé pour la france. Sortir ce soir. Comme un boomerang. Le premier jour. Epaule tattoo. La peau dure. Ouverture. Les chansons de l'innocence. Bleu comme toi. CD 2 : La ville / Lescop. Les lueurs matinales / François Marry. En surface / Dominique A

Contenu : La vie est belle. Trois fois rien. Bel été. Tellement facile. La plus douce. Tu te dessines un sourire. Chanson douce. Tout simplement. Mille et une nuits. En attendant. Et si. Il paraît.

Contenu : Milord. Mon manège à moi. Un étranger. Non la vie n'est pas triste. Le kiosque à journaux. Le métro de Paris. Ouragan. Cri du coeur. Je suis à toi. Les amants merveilleux. Le vieux piano. Non, je ne regrette rien. La vie l'amour. Jéruzalem. Les mots d'amour. Boulevard du crime. Mon dieu. Des histoires. La ville inconnue. Je m'imagine. La belle histoire d'amour. Les flonflons du bal. T'es l'homme qu'il me faut

Résumé : A mille lieux du glamour aseptisé, le portrait sans fards d'une femme qui est aussi danseuse étoile de l'Opéra de Paris: Aurélie Dupont. Extraits du "Lac des cygnes", "Raymonda", "La Dame aux camélias", "Le Parc". Avec Manuel Legris, Maris-Agnès Gillot, Angelin Preljocaj.

Contenu : Submarine. Made for you. Drifted. Lost in London. Vortex of love. Us & I. Give it away. Fifteen instead & brown. Feed the ghost. Whistle

Contenu : CD 1 : Folias. Folie, par sa seule présence (La). Yo soy la locura. Folie est conduite (La). Origines de la folie. Folia (La). Son lieu de naissance, ses années d'enfance. Ses suivantes. Gamba (La). Des titres qu'a la folie ; Romanesca. Folia. Comment elle perpétue l'espèce humaine. Comment elle fait le bonheur. Si habra en este baldres. Des liens qui unissent. Las vacas. Comment elle prolonge l'enfance ; Folias antiguas. De la folie dans le monde. Browning, woodcock. Elle est necessaire ; Belle qui tiens. Il n'est point de mariage. Cucu, cucucu !. Folie est le bien (La). Todos los buenos soldados. Elle inspire les exploits guerriers ; Battaglia (La). De l'infériorité de cette même sagesse. Elle est mère des arts. Saltarello. Elle revendique la palme. Elle est un guide de sagesse. Folie et l'ignorance (La) ; Desperada. Spagna s. XV (La). Folie des rois. Folie des Evêques. Des rapports de la religion. Folie est le souverain bien (La) ; Dios te salve. Diferencias sobre las vacas. Adieu au lecteur. Hoy comamos y bevamos. CD 2 : Constantinople ottomane ; Muhayyer pesrev. Erasme sur la Guerre contres les Turcs. Taksim. Naissance à Rotterdam ; Une musique de Buscaye. Lorenzo da Medici à Florence ; A Florence la joyose cité. Adage : Fortune sourit aux audacieux (La) ; Fortuna. Erasme prononce ses voeux ; Audi, benigne conditor. Prince Djem au Vatican (Le) ; Taskim & danse. Expulsion des Juifs d'Espagne. Lavava y suspirava. Début du règne de Maximilien I ; Malor me bat. Séjour à Paris ; Benedic anima mea. Mort d'Ockeghem ; Epitaphe pour Jean d'Ockeghem. Déploration sur la mort d'Ockeghem (La). Mariage de Philippe le Beau et Juana la Loca ; Latura tu. Panégyrique de Philippe le Beau (Le) ; Adieu mes amours. Séjour en Angleterre ; Hélas madame. Adage : Amour rend musicien (L') ; De tous biens plaine. Naissance de Charles V ; In te domine speravi. Enchiridion ; Importance des classiques (L') ; Ave maris stella. Éloge de la folie, dédié à Thomas More, Henry VIII roi d'Angleterre, Puzzle-canon II (L'). Ligue de Cambrai ; Scaramella va alla guerra. Guerre parait douce à ceux qui n'en ont pas l'expérience (La). Danza alta. Séjour en Italie. Home again. CD 3 : Machiavel publie 'Il principe' ; Paduana del Re. Anon.. Prince de Machiavel (Le) ; Gallarda. Gesualdo. Conseiller du Duc Charles ; Spagna a 5 (La). Institution du Prince Chrétien ; Hymne. Ottomans envahissent la Syrie (Les) ; Rast Murass'a. Utopie : sur la justice et la prospérité sociale ; Puzzle-canon I. Séjour à Louvain ; Adoramus te domine. Complainte de la paix (La) ; Mille regretz. Ya es tiempo de recoger. Luther fixe ses 95 thèses ; Lettre de Luther à Erasme ; Psalm. Benedictus a 3. Lettre d'Erasme à Martin Luther ; In nomine a 5. Vingtcinquiesme fantasie a 4. Séjour à Bale ; Lettre de Luther à Erasme ; Christ ist erstanden. Erasme à Luther ; Diatribe du libre arbitre ; In nomine. Bataille de Pavie ; Voyage d'Erasme à Paris ; Bataille (La). Lettre d'Erasme à François 1er ; Pavane. Défaite des Ottomans devant Vienne ; Chant ottoman. Bâle passer à la Réforme ; Tu pauperum refugium. M. Luther à Erasme ; Du serf arbitre ; Christ log. Christ ist erstanden à 6. Adage : Mots sont les médecins des âmes malades (Les). Henry VIII fait exécuter Thomas More ; Nomine my death. 12 juillet Erasme meurt à Bâle ; Pie jesu domine. Mort d'Erasme (La). Plangite pierides. Legs spirituel d'Erasme (Le) ; Durezze e ligature. CD 4 : les musiques seules sans les récits. CD 5 : les musiques seules sans les récits. CD 6 : les musiques seules sans les récits

Résumé : Fondé sur une riche documentation d'archives ce film propose de suivre les étapes importantes de la carrière de Marie Curie, femme hors du commun qui reçut deux prix Nobel (un en physique en 1903 partagé avec Pierre Curie et Antoine Becquerel ; et un en chimie en 1911). Partie de Pologne où les femmes ne pouvaient accéder aux études supérieures elle sera remarquée à Paris pour son excellence parmi les 3% de femmes étudiant à l'université. Avec son mari, Pierre Curie, elle mettra en évidence la radioactivité (mot crée par Marie). Après la mort accidentelle de Pierre, elle reprendra en 1906 la chaire de physique : ce sera la première femme à professer en Sorbonne. Pendant la première guerre mondiale elle créera les ambulances radiologiques puis elle se consacrera à l'Institut du radium avec en 1921 un voyage marathon aux USA. Philosophiquement elle a un rapport optimiste au progrès et à la science : "Je suis de ceux qui pensent que la science a une grande beauté. Un savant dans son laboratoire n'est pas seulement un technicien c'est aussi un enfant placé en face de phénomènes naturels qui l'impressionnent comme un conte de fées.". Les instituts du radium s'attacheront aux effets biologiques, aux vertus thérapeutiques du radium pour détruire les tumeurs malignes et aux effets physico-chimiques. En 1934 elle meurt à 67 ans. Une voix off illustre les images d'archives s'appuyant sur les écrits et les nombreuses lettres de Marie à ses filles. Quatre intervenants : une philosophe, le physicien Etienne Klein, une historienne et la petite fille, Hélène Langevin-Joliot, viennent rompre le cycle des images d'archives apportant une dimension pédagogique supplémentaire de très bon aloi.

Contenu : CD 1 : Vous y dansiez petite fille / Guillaume Apollinaire. Si je partais pour oublier / Françoise Bastenier. Ce fléau natif de Tournai / Charles Baudelaire. Je n’aurai jamais le temps de lire tous les poèmes du monde / Julos Beaucarne. J’aimerais garder ma vie telle qu’elle est ainsi / Henri Bertrand. Par-dessus Terre : Ce n’est plus le temps des lilas / Roger Bodart. Lettre à des amis perdus / René Guy Cadou. Il pleut / Francis Carco. L’eau passe / Maurice Carême. Complainte du lézard amoureux / René Char. Le temps a fui / Paul Claudel. Moi je vis la vie à côté / Charles Cros. La figue et le paresseux / Alphonse Daudet. Vous aviez mon cœur / Marceline Desbordes-Valmore. Le pélican / Robert Desnos. Tel un moineau / Blaga Dimitrova. La libération de l’homme et de la femme / Raoul Duguay. Le jardinier / Max Elskamp. Je fis un feu / Paul Éluard. Ève / Pierre Faulx. Que reste-t-il ? / Benjamin Fondane. Non, je suis un homme… / Michel de Ghelderode. La mort / Camille Goemans. Cette année-là / Marcel Havrenne. À vous mes beaux messieurs / Nazim Hikmet. Je ne songeais pas à Rose / Victor Hugo. Le vent triste / Francis Jammes. Lorsque nous étions réunis à table / Félix Leclerc. C’est une peinture ancienne / Madeleine Ley. Elle est venue vers le palais / Maurice Maeterlinck. Chez nous le ciel est bas / Marcel Mariën. J’ai vu l’eau / Henri Michaux. Jeune fille plus belle que toutes nos légendes / Gaston Miron. CD 2 : Donne-moi la main / Gabriella Mistral. Beau chevalier / Alfred de Musset. Si la Garonne elle avait voulu / Gustave Nadaud. Ah comme la neige a neigé / Emile Nelligan. Voici venu le froid radieux de septembre / Anna de Noailles. Antoinette et moi / René de Obaldia. Quand nous aurons joué nos derniers personnages / Charles Péguy. Je t’offre un verre d’eau glacé / Odilon-Jean Périer. La Provence / Peire Vidal. La vieille Marie / Henri Pourrat. Les petits bergers / Charles-Ferdinand Ramuz. Souvenir vague ou les parenthèses / Edmond Rostand. Car à l’instant même du désastre / Antoine de Saint-Exupéry. Quand reverrai-je mon pays / Léopold Sédar Senghor. L’hiver / William Shakespeare. Nuit tiède du Mozambique / Noémia de Souza. L’enfant de la haute mer / Jules Supervielle. J’étais allé mendiant / Rabindranâth Tagore. La fête / Jean Tardieu. Toi qui pâlis au nom de Vancouver / Marcel Thiry. Sympathies errantes / Charles Van Lerberghe. Je me souviens / Ben Vautier. Joie de vivre / Émile Verhaeren. N’est-ce pas / Paul Verlaine. Un enfant veut répondre / Paul Vincensini. C’est le premier jour / Liliane Wouters. Nous sommes 180 millions de francophones / Julos Beaucarne

Résumé : Aussi célèbre en son temps que Picasso, Bernard Buffet a connu la gloire puis la chute, avant d’être enfin reconnu aujourd’hui. Son succès populaire, un train de vie de millionnaire et son mépris pour le monde de l’art lui ont valu d'être mis à l'index pendant un demi-siècle, malgré un style inimitable. A l’occasion de l’exposition que lui consacre le Musée d’art moderne de la ville de Paris à partir d’octobre 2016, retour sur la vie d’un artiste controversé, considéré comme un précurseur du pop art.

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