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Résumé : In 2011, the United States government declared a cyber attack as equal to an act of war, punishable with conventional military means. Cyber operations, cyber crime, and other forms of cyber activities directed by one state against another are now considered part of the normal relations range of combat and conflict, and the rising fear of cyber conflict has brought about a reorientation of military affairs. Despite the alarmist discussion surrounding the threat of cyber attack, the authors of this book (in a vein similar to Thomas Rid) argue that there is very little evidence that cyber war is, or is likely to become, a serious threat. What Valeriano and Maness provide in this manuscript is an empirically-grounded discussion of the reality of cyber conflict, based on an analysis of cyber incidents and disputes experienced by international states since 2001. They delineate patterns of cyber conflict to develop a larger theory of cyber war that gets at the processes leading to cyber conflict. They find that, in addition to being a little-used tactic, cyber incidents thus far have been of a rather low-level intensity and with few to no long-term effects. Interestingly, they also find that many cyber incidents are motivated by regional conflict. They argue that restraint is the norm in cyberspace and suggest there is evidence this norm can influence how the tactic is used in the future. In conclusion, the authors lay out a set of policy recommendations for proper defense against cyber threats that is built on restraint and regionalism

Résumé : La 4e de couverture indique : "En ce début du XXIe siècle, l’attitude écologiste n’est plus une option facultative, mais le fondement même de toute politique qui voudrait pouvoir se regarder en face. Rarement se sont déchaînés avec une telle violence – changements climatiques, erreurs humaines, intentions perverses des États ? – les attaques contre la nature. Les forêts ancestrales, et leur « internet » hypersophistiqué, brûlent, et les rares peuples traditionnels qui demeurent y perdent leur culture, leur habitat, leur vie. J’ai voulu savoir plus précisément d’où venait ce qu’on est contraint d’appeler une « haine de la nature ». Comme Phèdre, la terre pourrait se plaindre : « Mon mal vient de plus loin ». Le problème écologique n’a pas commencé vers les années 1830, après cet accord splendide entre villes et nature que décrivent les Carnets de voyage de Turner en France. À consulter l’Histoire, l’ethnographie, la philologie, l’histoire des religions, j’ai pu faire l’hypothèse d’une attaque concertée, des millénaires avant notre ère, de la culture humaine contre la nature. C’est cette agression millénaire, féroce mais dont il faut deviner les traces, tant elles ont été effacées jusqu’à notre époque où tout se révèle au plein jour, que je décris ici. Arnaud Villani". Dans cet ouvrage, l'auteur discute de la guerre opposant la culture et la nature, en prônant l'écologie comme fondement de toute politique réaliste pour inciter une révolution de la pensée en ce sens. ©Electre 2020

Résumé : Cette monographie révélatrice explore les travaux de la sculptrice indienne Mrinalini Mukherjee (1949-2015). Engagée dans la sculpture, Mukherjee a travaillé de manière intensive avec la fibre, faisant des incursions significatives dans la céramique et le bronze vers le milieu et la deuxième moitié de sa carrière. Dans son milieu artistique immédiat dans l'Inde post-indépendante, Mukherjee était l'une des artistes hors du commun dont l'art restait indifférent aux engagements dominants de la peinture et du conte figuratif. Sa sculpture s'appuyait sur une connaissance de la sculpture traditionnelle indienne et historique européenne, de l'art populaire, du design moderne, de l'artisanat local et des textiles. Nouer était le principal geste de la technique de Mukherjee, évident dès le début de sa pratique. Travaillant de manière intuitive, elle n’a jamais eu recours à un croquis, un modèle ou un dessin préparatoire. Mukherjee creuserait le fossé entre figuration et abstraction et créerait des formes inhabituelles, mystérieuses, sensuelles et, parfois, dérangeantes et grotesques, imposant leur présence et leur ampleur. Rétrospectivement, la production artistique de Mukherjee apparaît iconoclaste, singulière, appelant à une évaluation et une analyse sur plusieurs registres, ainsi qu’un compte rendu des raisons pour lesquelles, rétrospectivement, elle a été reléguée à la marge. Dans ces pages, on discute de la place de Mukherjee dans une histoire de l'art indienne et internationale, ainsi que des relations de son travail avec d'autres pratiques de la fibre optique du milieu à la fin du XXe siècle. Ce livre présentera Mukherjee à une nouvelle génération d'érudits, d'historiens de l'art et d'artistes

Résumé : Constituée principalement d'entretiens collectifs et d'observations, une enquête sociologique centrée sur l'expérience de seize habitats participatifs de l'ouest de la France construits entre les années 1970 et les années 2010. Suivant les récits des habitants, de leurs joies à leurs doutes en passant par leurs questionnements et leurs problèmes quotidiens, elle présente des notions innovantes. ©Electre 2023. D’ordinaire, les parties communes des habitats sont réduites au minimum, elles doivent rester neutres et fonctionnelles, on les considère comme le nid des problèmes entre voisins. L’habitat participatif fait le pari inverse : les parties communes sont au centre du projet qui vise à « vivre ensemble, chacun chez soi », cela pour mieux « se réapproprier notre habitat ».Faire de l’habitat un commun, c’est partager des espaces et des équipements, se constituer en groupe d’habitants pour les gérer, établir des règles communes de gestion, vivre un cadre d’expérience commune, en un mot constituer tout un ensemble de dispositifs qu’il s’agit d’activer et de mettre à l’épreuve dans l’expérience concrète, ceci aussi bien en termes de projet immobilier que de projet politique et de projet d’habiter.L’enquête propose ici un regard sociologique centré sur l’expérience de 16 habitats participatifs de l’Ouest de la France construit sur la période des années 1970 aux années 2010, en suivant les récits des habitants, leurs joies, leurs doutes, leurs questionnements et leurs problèmes vécus en situation. Principalement à base d’entretiens collectifs et d’observations, l’enquête présente des notions innovantes telles que celles de « voisins-cohabitants », d’« extension du domaine de ce qui se discute », et de « plus-d’habiter ».

Résumé : El movimiento obrero y las izquierdas son parte de la historia de America Latina. Casi no existen dimensiones de la sociedad, la economia, la politica, la cultura o el campo intelectual de la mayoria de los paises del subcontinente que puedan comprenderse sin la intervencion de alguno de estos dos actores. El enfoque relacional es aqui esencial. Anarquistas, socialistas, comunistas, sindicalistas revolucionarios, trotskistas, maoistas y guevaristas, entre otras, fueron expresiones politico-ideologicas cuya indagacion no puede alcanzarse genuinamente sin un abordaje global de las clases trabajadoras. El presente libro pretende ser una contribucion en este sentido. Constituye una aproximacion a las mas recientes elaboraciones en torno a estos topicos. Reune textos elaborados por calificados investigadores de una decena de paises, ofreciendo, de manera conjunta y comparativa, elementos que aportan a una vision global y renovada sobre el tema a partir de estudios de casos en los cuales se abordan problematicas comunes

Résumé : "La insubordinación de la fotografía" est le premier livre à analyser comment divers collectifs, organisations et médias indépendants ont utilisé la photographie pour dénoncer et protester contre les crimes du régime du dictateur chilien Augusto Pinochet. Avec des photos inédites et d'autres documents d'archives, ce livre réfléchit sur le rôle intégral des images dans la mémoire publique et les questions de réparation et de justice. "Après l'arrivée au pouvoir d'Augusto Pinochet au Chili en 1973, son gouvernement a enlevé, maltraité et exécuté des milliers de ses opposants politiques. L'insubordination de la photographie est le premier livre à analyser comment divers collectifs, organisations et médias indépendants ont utilisé la photographie pour exposer et protester contre les crimes du régime autoritaire de Pinochet. Aþngeles Donoso Macaya discute de la manière dont des groupes de défense des droits de l'homme tels que le Vicariat de Solidarité ont utilisé des portraits de personnes disparues afin de rendre visibles les disparitions forcées. Elle attire également l'attention sur des photographies médico-légales qui ont servi de preuves incriminantes au gouvernement Donoso Macaya soutient que le domaine de la photographie documentaire au Chili a été défié et façonné par la précarité de la politique et de l'économie du pays et montre comment les photojournalistes ont trouvé des moyens créatifs de défier les limitations imposées à la liberté de la presse. une culture saturée de désinformation et de dissimulation et entravée par la répression et la censure, la photographie est devenue un outil essentiel pour faire éclater la vérité. Présentant des photographies inédites et d'autres documents d'archives, ce livre réfléchit sur le rôle intégral des images dans la mémoire publique et les questions de réparation et de justice--Description de l'éditeur

Résumé : Lors d’un évènement majeur, les citoyens mobilisent les media sociaux pour obtenir ou partager des informations, prendre des nouvelles de proches, exprimer leur solidarité ou encore organiser une réponse à la crise. En France, les attentats du 13 novembre 2015, l’incident de Lubrizol en 2019 ou les crues soudaines dans les Alpes Maritimes en 2020 ont mis en lumière ces nouvelles pratiques, notamment par l’utilisation de hashtags spécifiques sur Twitter ou encore la création quasi simultanée d’une page Wikipédia relative à l’évènement. L’intégration de ces pratiques citoyennes complexifie le travail des gestionnaires de crise et les institutions publiques en charge, et ces nouveaux outil nécessitent également de nouvelles compétences et une acculturation en matière de communication de crise. Le projet MACIV (Management of Citizens and Volunteers : the social media contribution to crisis management) financé par l’Agence Nationale de la Recherche a pour objectif d’étudier les flux d’information et les initiatives citoyennes sur les media sociaux lors d’un évènement majeur afin d’accompagner les acteurs de la gestion de crise à les intégrer dans leurs pratiques. Il vise également le développement d’un module dédié à la gestion des volontaires et des initiatives citoyennes au sein d’une plate-forme dédiée. En étroite collaboration avec les principaux acteurs institutionnels français en charge de la gestion de crise (DGSCGC du Ministère de l’Intérieur; Zone de Défense et de Sécurité de la Préfecture de Police de Paris ; Service d’Incendie et de Secours du Var ; Association citoyenne VISOV), les quatre années du projet ont permis l’observation de situations de crise réelles dont la crise sanitaire, la mise en place d’exercices de sécurité civile : elles ont mis en lumière et discuté les enjeux de ces nouvelles pratiques.

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