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Contenu : Site de l'Association française de sociologie, qui a pris la suite en 2002 de la Société française de sociologie. Elle a pour vocation d’être l’institution permettant la mise en place de l’organisation professionnelle des sociologues en France.

Résumé : Au cours d'une soirée où se rend le Tout-Paris de la Belle Époque, en 1905, Colette rencontre la marquise de Morny, dite « Missy ». Celle-ci, divorcée et à la tête d'une grande fortune, vit pleinement sa préférence sexuelle. Cheveux courts, pantalon, bottes et complets-vestons : son personnage inclassable dérange et effraie son époque. Un an plus tard, Colette divorce de Willy et va vivre avec Missy une intense histoire d'amour qui durera jusqu'en 1911. Après leur rupture, leurs lettres témoignent d'une indéfectible complicité. Cette relation est fondatrice dans la vie de Colette, dans sa construction personnelle autant que dans son œuvre littéraire.

Résumé : « Lorsque j'ai reçu votre première lettre, chère amie, je vous ai répondu immédiatement. Avoir de vos nouvelles plus de trente ans après m'a procuré une telle émotion que ma réaction ne pouvait être qu'un cri instantané. Votre deuxième lettre, que j'ai sous les yeux, je lai gardée longtemps avec moi, c'est seulement aujourd'hui que je tente de vous donner une réponse. La raison de ce retard, vous l'avez sans doute devinée, puisque votre missive contient une singulière requête : "Parlez-moi de l'âme" Votre phrase : "Sur le tard, je me découvre une âme", je crois l'avoir dite à maintes reprises moi-même. Mais je l'avais aussitôt étouffée en moi, de peur de paraître ridicule. Tout au plus, dans quelques-uns de mes textes et poèmes, javais osé user de ce vocable désuet, ce qui sûrement vous a autorisée à m'interpeller. Sous votre injonction, je comprends que le temps m'est venu de relever le défi... »

Résumé : "Avec cette épître adressée à l’origine aux jeunes acteurs et en définitive à tous, Olivier Py offre de successifs chemins à l’entendement de l’écriture poétique. En une heure d’un décapage à la fois drôle et sévère, John Arnold et son compère Samuel Churin s’en donnent à cœur joie faisant entrer (et sortir) le rabat-joie, le responsable culturel, le policier du désir, le ministre de la communication, le directeur du conservatoire d’art dramatique, celui qui demande vraiment, le porc moderne, l’enfant qui prête serment, le miracle... Cette « conférence » est la réponse d’olivier Py à la demande faite par le directeur du Conservatoire national supérieur d’art dramatique de Paris, d’un texte théorique sur l’art théâtral, destiné aux apprentis acteurs. Sous la forme d’un grand poème, elle a été dite, jouée et éructée par l’auteur dans le théâtre du Conservatoire pour la première fois le mardi 14 mars 2000. Editée par Actes Sud – Papiers, elle est devenue un texte de référence extrêmement diffusé et traduit dans plusieurs langues." Tournage en public au Théâtre du Rond-Point.

Contenu : Disque 1. Le Nozze Di Figaro, K. 492 / Act III - E Susanna Non Vien!. Le Nozze Di Figaro, K. 492 / Act III - Dove Sono. Le Nozze Di Figaro, K. 492 / Act III - Cosa mi narri!. Le Nozze Di Figaro, K. 492 / Act III - sull'aria. Otello / Act IV - Era più calmo ?. Otello / Act IV - Piangea cantando. Otello / Act IV - Ave Maria. Arabella, Op. 79, TrV 263 / Act III - Das War Sehr Gut, Mandryka. Peter Grimes, Op. 33 / Act III - Embroidery In Childhood. Louise / Act III - Depuis Le Jour. Faust, CG 4 / Act IV - Alerte, Alerte! (Rev. 1869). Rusalka, Op. 114, B. 203 / Act I - Mesicku Na Nebi Hlubokém. Manon / Act III - Obéissons Quand Leur Voix Appelle. Manon / Act III - Toi! Vous!. Manon / Act III - N'est-ce Plus Ma Main?. Disque 2. Susannah / Act I - Ain't It A Pretty Night?. Susannah / Act II - That's Mighty Pretty Singin'. Der Rosenkavalier, Op. 59, TrV 227 / Act III - Marie Theres'!. Don Giovanni, K. 527 / Act II - Crudele? Ah No, Mio Bene!. Don Giovanni, K. 527 / Act II - Non Mi Dir, Bell'idol Mio. Il Pirata / Act II - Col Sorriso D'innocenza. La Traviata / Act II - Ah! Dite Alla Giovine. La Traviata / Act II - Imponete. Rodelinda, HWV 19 / Act III - Mio Caro Bene! (Ed. Andrew V. Jones). Eugene Onegin, Op. 24, TH 5 / Act III - O! Kak Mnye Tyazhelo!. Eugene Onegin, Op. 24, TH 5 / Act III - Onegin! Ya Togda Molozhe. Thaïs / Act II - Ah! Je Suis Seule, Seule Enfin!. Thaïs / Act II - Dis-moi Que Je Suis Belle. Armida / Act III - Dove Son Io?... Fuggi! (Ed. Brauner). Armida / Act III - E Ver... Gode Quest'anima (Ed. Brauner). The Merry Widow / Act II - Hello, Here's A Soldier Bold. Die Tote Stadt / Act I - Marietta's Lied

Résumé : Les Presses Universitaires de France et Frémeaux & Associés proposent cette biographie d’Aimé Césaire, par Véronique Corinus, spécialiste des cultures antillaises et africaines, maître de conférences à l’université Lumière Lyon 2. Poète et homme politique martiniquais, Aimé Césaire s’est inscrit dans un mouvement de lutte pour l’indépendance politique et la reconnaissance culturelle des mondes noirs. Fervent opposant au colonialisme, il a été cofondateur avec Léopold Sédar Senghor du concept de « négritude ». Véronique Corinus retrace le parcours de cet homme exceptionnel, tout au long du XXe siècle.

Résumé : Constituées par des déportés juifs, les Sonderkommandos ou « équipes spéciales » étaient chargés du bon fonctionnement des chambres à gaz et des fours crématoires à Auschwitz-Birkenau. Sélectionnés pour leur bonne santé, ces hommes « jouissaient » d’un statut privilégié dans le camp : ils étaient mieux traités que les autres prisonniers mais après quatre mois de ce terrible labeur, ils étaient à leur tour exterminés afin qu’aucune trace ne subsiste du processus. D’ailleurs, leur premier travail était d’incinérer leurs prédécesseurs tués. Puis, ils devaient accueillir les déportés, les conduire à la salle de déshabillage, évacuer les cadavres vers les fours ou les fosses d’incinération. En 1945, on retrouva sous des cendres plusieurs manuscrits écrits en Yiddish. Leurs auteurs étaient des Sonderkommandos : Leib Langfus, Zalmen Lewental et Zalmen Gradowski. Ce dernier, l’un des organisateurs de la rébellion qui éclata en 1944 dans le camp, fut tué ; il intitula son manuscrit : « Au cœur de l’enfer ». Ces récits connus des spécialistes ne furent pas diffusés pendant des décennies. Le réalisateur, E. Weiss : « C’est un paradoxe de la mémoire de la Shoah : ce sont les témoignages les plus directs sur le fonctionnement des installations d’Auschwitz-Birkenau qui ont mis le plus de temps à nous parvenir »Le film rapporte ces témoignages écrits pendant le déroulement des faits. Les paroles de E. Weiss les encadre en forme de prologue et d’épilogue. Des extraits de ces récits sont lus en voix-off tandis que des images lourdes de sens passent à l’écran : ce sont les rails du chemin de fer qui se déroulent lentement, le crissement des roues, les lugubres bâtisses du camp qui se profilent au loin. Leur contenu est précis jusqu’à la minutie, rempli de détails « techniques », d’annotations désespérées et émouvantes. La caméra filme ces lieux hantés par la mort : plans de pierrailles grises, bleuâtres ressemblant à des ossements, grands arbres noirs et décharnés se détachant sur des ciels sombres, flaque d’eau où se reflète l’obscurité ambiante. Quand la mort est là, l’écran devient noir ; le silence s’instaure. Ces témoignages de défunts sont mis en scène par le réalisateur. Contrairement aux autres films sur la Shoah, ce ne sont pas des récits de survivants mais de morts…Nous sommes vraiment « au cœur de l’enfer », dans l’horreur indicible qui est pourtant dite. L’un d’eux écrit : « Tout le processus dure vingt minutes ; un corps, un monde est réduit en cendres ». Les mots sont violents mais ils s’élèvent dans un chant fort, morbide exprimant la douleur humaine.

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