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Résumé : Document pédagogique composé d'un film sur l'histoire du cinéma documentaire, de très nombreux extraits de films rassemblés en deux recueils : les grands courants et la place du cinéaste et d'un portfolio de photographies. Deux classiques du genre, des films rares, sont présentés intégralement : "Les Raquetteurs" du duo canadien Groulx/Brault et "Beppie" du Hollandais Johan van der Keuken.

Résumé : Histoire de la création d'un album mythique racontée par ses protagonistes (Roger Waters, David Gilmour, Nick Mason et Richard Wright, mais aussi Alan Parson qui fut l'ingénieur du son de l'album). Le film est une véritable enquête, titre par titre, sur l'enregistrement du disque et la réalisation de sa pochette.

Résumé : La première tournée anglaise (qui se révèlera être sa dernière tournée acoustique)de Bob Dylan après son album "The Times They Are A-Changin'". Pennebaker alterne les prises de vues en coulisses, scène, chambres d'hôtel et assauts de groupies.On suit ainsi le quotidien de Dylan qui semble accepter avec indifférence la présence de la caméra et d'un public de proches (son agent, son manager de tournée ou sa compagne Joan Baez).Mais sur scène, Dylan est seul avec sa guitare et son harmonica.

Résumé : Le réalisateur suit les lycéens qui ont travaillé la pièce de Michel Vinaver sur l'attaque terroriste du 11 septembre 2001 ; de la mise en oeuvre du projet jusqu'à la représentation finale.

Résumé : Ex-pianiste de bar, Delerue se reconnaît dans le pianiste interprété par Aznavour dans "Tirez sur le pianiste" de Truffaut. Delerue considère le fait d'avoir composé de la musique de film comme une des chances de sa vie. Il faut, selon lui, avoir le don de réagir vite par rapport aux images et aux situations, savoir quel est le style qui convient au film - quelquefois coller avec l'image, d'autres fois non. Réflexions qu'il nous livre dans une salle de montage, le lieu où se concrétise la musique de film. Avec la participation de : Oliver Stone, Claudine Bouché, Ken Russel, Henri Colpi, Yann Dedet, Russel Llyod et Leslie Hodgson. Interviews d'archives de Georges Delerue, Extraits de Films : "Tirez sur le pianiste", "Jules et Jim", "Salvador", "Love",...Extraits musiques de films : "Le mépris", "La nuit américaine", "Jules et Jim",...

Résumé : "En septembre 2008, le maître du sitar indien, âgé de 88 ans, fait ses adieux à Paris. Il donne son ultime concert [salle Pleyel] et le lendemain, entouré de sa fille, Anoushka, et de plusieurs de ses élèves, il donne une leçon magistrale. Il aborde les règles et les principes de la musique de l'Inde du Nord, les différences avec celle du Sud, l'importance du gourou dans l'apprentissage, les lois mélodiques du raga et celles, rythmiques, du tâta. Les explications sont ponctuées d'exemples éxécutés par les musiciens aux tampuras, tablas, shénaïs, flûtes et autres sitars." (Mondomix music.com). Avec : Ravi Shankar, Anoushka Shankar, Tanmoy Bose...

Résumé : Quelques moments de vie de la compagnie et extraits de spectacles montés par l'assistante chorégraphique de Dominique Bagouet, aujourd'hui coordinatrice des Carnets Bagouet.

Résumé : Histoire périlleuse et passionnante de la transmission d'une chorégraphie de Dominique Bagouet, des interprètes d'origine au corps de ballet de l'Opéra de Paris.

Résumé : Robert Ashley est un créateur interdisciplinaire et multimédia. Entre 1957 et 1964, il a composé des pièces de musique électronique pour le Space Theatre . Il a dirigé le Once Group alliant création musicale et théâtre, il intégra ensuite le Sonic Arts Union, collectif de compositeurs avec David Behrman, Alvin Lucier et Gordon Mumma. En 1980, suite à une commande de la Kitchen de New York, Robert Ashley monta un opéra télévisé : « Perfect Lives Private Parts». S’inspirant de la forme de cet opéra, Peter Greenaway n’hésite pas à faire un montage audacieux, entrecoupant la prestation scénique et en disposant des écrans cathodiques autour des musiciens interviewés. Les deux acteurs, Jill Kroesen et David Van Tieghem, brodent autour de la voix d’Ashley ; les bandes préenregistrées de Peter Gordon assurent une immuabilité qui offre une grande liberté au piano de « Blue » Gene Tyranny.

Résumé : "La Télévision scolaire accompagna Vilar et rendit compte de sa passion pour la transmission auprès des jeunes. Des archives irremplaçables avec Jean Vilar, Georges Wilson, Maurice Béjart, Maria Casarès, Gérard Philipe."

Résumé : Le film a été réalisé en 1983. "Nous sommes entrés dans des églises, où au bout de quelques minutes, les fidèles nous avaient complètement oubliés et chantaient plus pour eux que pour nous. Nous sommes entrés dans les «bistrots», dans les maisons, dans les fermes, pour entendre les gens, pour capter la musique du Sud, en dehors du show business, dans les endroits où elle est née, où elle respire. Cette musique où l'on sent à la fois la violence, la misère, la dignité... et l'humour. " Pays d'octobre est le titre de la version longue de Mississippi Blues. Le supplément en propose les épisodes 1 et 4.

Résumé : Portrait du créateur de Mickey, Donald et autres personnages classiques du dessin animé américain.

Résumé : Le voyage du violoniste Yehudi Menuhin en URSS en novembre 1987. Trois épisodes de 52 min. Episode1.Rencontre avec le chef d'orchestre Guennadi Rojdestvensky. Extraits de Tchaikovsky ("Sérénade mélancolique"), Beethoven (Concerto pour violon), Bartok (2ème concerto pour violon). Episode 2. Duo avec la pianiste Viktoria Postnikova (Beethoven, Brahms, Bartok, Kreisler). Episode 3. Menuhin dirige l'Orchestre philharmonique de Leningrad dans Tchaikovsky, Bach (avec Igor et Valery Oistrakh), Beethoven (avec Jeremy Menuhin).

Résumé : Venise. Octobre 83. Avant son passage en solo à la Fenice, Carolyn Carlson improvise les temps forts de son ballet. Dame en noir ou dame en bleu, celle qui personnifie la vitalité théorise sa démarche intuitive.

Résumé : "Né en France en 1951, Bernard Cavanna fait tôt le choix de se consacrer à la composition, qu’il aborde principalement en autodidacte. Créateur intuitif et original, il est encouragé par Henri Dutilleux, Paul Mefano et Georges Aperghis, et fortement influencé par la musique et la pensée du compositeur roumain Aurèle Stroë." (source : IRCAM,Brahms). Le film présente des entretiens de Bernard Cavanna avec cinq compositeurs : Henri Dutilleux, Jacques Rebotier, Gérard Condé, Vincent Manac'h et Georges Aperghis où sont abordés les thèmes des racines familiales, des origines sociales et comment ils influent sur son travail de composition. Accompagnés des extraits d'oeuvres : Messe pour un jour ordinaire, Concerto pour violon (interprété par Noëmi Schindler), Die Junge Nonne de F. Schubert et transcription de B. Cavanna, Karl Koop Konzert, Shangaï Concerto.

Résumé : Sthéphanie Argerich est la fille de deux pianistes réputés : Martha Argerich (d’origine argentine) et Stephen Kovacevich (américain d’origine yougoslave). Les racines géographiques différentes et les carrières artistiques de ses deux parents lui ont fait vivre une enfance riche, hors normes et complexe, cela tout à la fois. Le film traite avant tout de la relation forte et complice qu’entretiennent Stéphanie et sa mère. Si Stéphanie admire sa mère ainsi que son talent ( elle filme bien sûr des répétitions, inclut aussi des extraits de concerts), le film ne se transforme pas en hommage, elle la filme sans fard et dévoile les histoires familiales et les blessures de chacun. Accompagné d'extraits musicaux dans lesquels Martha Argerich interprète Prokofiev, Ravel, Schumann, Chopin, Beethoven... Le film a reçu le FIPA d'or 2013 dans la catégorie Musique et spectacles.

Résumé : L'itinéraire de Bernard Herrmann (1911-1975) véritable génie de la musique de film, de ses débuts difficiles à l'apogée que fut sa collaboration avec Hitchcock. Hermann a également composé pour Welles, Mankiewicz, Scorcese... Son oeuvre est ici abordée tant d'un point de vue musical que cinématographique.

Résumé : Histoire de la vie courte et mouvementée de l'une des plus grandes chanteuses de rock et de blues, Janis Joplin.

Résumé : Joseph Kosma est né en Hongrie, élève de Bartok, il compose comme lui, des mélodies inspirées du folklore. En 1929, il quitte Budapest pour Berlin. Sa rencontre avec Bertolt Brecht et Kurt Weill est déterminante : grâce à eux, il comprend que la musique peut être porteuse d'un message social et politique. Peu de temps après, il rencontre Prévert à Paris. En 1945, ils créent ensemble la chanson française la plus connue dans le monde : "Les Feuilles mortes". Prévert le présente à Renoir et l'entente est immédiate. Kosma signera la musique de ses plus grands films ("Une Partie de campagne", "La Bête humaine", "La Grande Illusion"), puis de ceux de Carné ("Les Enfants du paradis") ety marquera de son empreinte toute une époque du cinéma français

Résumé : Biographie de Charles Trenet illustrée de nombreuses archives audiovisuelles d'émissions télévisées.

Résumé : "Arnold Pasquier filme les répétitions et les représentations d’un spectacle de Christian Rizzo, "Mon amour". Des corps qui marchent, s’enlacent et s’entrelacent, se cherchent, expérimentent ; des visages au travail, beaux, concentrés et rieurs, peinturlurés de paillettes, masqués d’un tulle de couleur tombant des capuches ; des plantes en pot, de la fumée, des sphères noires : tout un monde mystérieux d’actions insensées qui s’enchaînent. Feignant d’y mettre bon ordre, surgit ici et là le chorégraphe, artisan de cette communauté possible dont les membres se frôlent et cherche à se retrouver. On entend le chant de Mark Tompkins, sérieux comme un prédicateur, qui nous entraîne vers l’issue merveilleuse, la fable, surgissant des volutes. Un danseur interpelle, lui-même ? ses amis ? nous ? C’est au creux des solitudes que Notre amour se pose, bercé par une chanson murmurée, « oh mon amour, oh mon amour…" (source revue Bref nov.-déc. 2009). Avec : Christine Bombal, Philippe Chosson, Pep Garrigues, Kerem Gelebek, Wouter Krokaert, I-Fang Lin, Christian Rizzo, Mark Tompkins.

Résumé : Le réalisateur filme la genèse d'un ballet : John Neumeier, chorégraphe et directeur du Ballet de l'Opéra de Hambourg depuis 1973, invente, en 1982 avec Patrick Dupond les pas de "Petrouchka", musique de Igor Stravinski.

Résumé : Film d'entretiens avec l'artiste, tourné en Grèce dans sa maison de Mykonos, juin 1994.

Résumé : Zhao Jiping n'a pas quitté Xi'An depuis sa naissance. Cette ville de Chine intérieure est un lieu historique où se pratiquent l'opéra traditionnel et le chant populaire. Très tôt, il entre au conservatoire pour étudier le piano, mais ses goûts le conduisent rapidement vers l'étude du "erhu", sorte de violon à deux cordes. L'amour que Jiping porte aux instruments anciens l'amène à les utiliser de façon originale dans chacune de ses compositions, en se réappropriant la tradition musicale populaire de la province de Shaaxi, base de son inspiration. Zhang Yimou, He Ping, Chen Kaige évoquent le rapport intime que la musique de Jiping tisse avec leurs images. Des extraits de films illustrent leurs propos.

Résumé : Toru Takemitsu a composé pour les plus grands réalisateurs : Kurosawa, Oshima, Teshigahara, Shinoda, Kobayashi... il a collaboré avec certains d'entre eux dès la conception du film, souvent présent lors des tournages . Takemitsu a appris la musique tout seul. Il est influencé par la nature et décrit la construction de sa musique comme l'architecture d'un jardin japonais. Il tente, par exemple, de capturer les sons de la brise dans les bambous ou de vent dans les pins. "Ecrire de la musique de film représente un visa pour la liberté", Takemitsul joue sur les décalages (il ne place pas la musique exactement où on l'attendrait) et les silences. Le film contient des extraits de "La Femme des sables", "L'Empire de la passion", "Dodes'kaden" et "Ran".

Résumé : La vie de danseur étoile vue par Nicolas Le Riche, jeune prodige issu de l'école de danse de l'Opéra de Paris, dont les "maîtres" ont pour nom Patrick Dupond, Rudolf Noureev, Roland Petit, John Neumeier, Mats Ek .

Résumé : Pour mémoire, Blaise Harrison est le réalisateur de « Armand 15 ans l’été » récompense par le prix du meilleur documentaire au festival dei Popoli en 2011. Dans « L’harmonie », il tente de capter la construction d’un esprit collectif par la pratique de la musique dans l’Harmonie de Pontarlier. La vie de l’harmonie se déroule sous nos yeux, commémoration au monument aux morts, défilé de carnaval dans la rue, bal, au plus près des événements qui rythment la vie des citoyens d’une ville. Nous suivons également des séances de répétitions dans un répertoire plus exigeant (ici un morceau de Rhys Chatham). Loin d’être un film banal sur une pratique de la musique qu’on a tendance a juger un peu désuète, « L’Harmonie » montre comment des individus très différents peuvent s’assembler pour réaliser quelque chose de beau. Entre les séquences où les musiciens jouent ensemble lors de moments de convivialité, le réalisateur en suivi quelques uns dans leur quotidien. Ou plutôt, il choisit de les montrer dans leur jardin un peu secret : un vieil homme amateur de pêche au bord de sa rivière, une jeune femme chasseuse à l’affût dans la forêt, un homme à son bureau (et visiblement au paradis) écoutant au casque un morceau de jazz. Il y a, dans ce film, peu de place pour la parole et pour les histoires de vie. Toute la place est donnée à la musique,

Résumé : Elégant lorsqu’il parle avec douceur de sa mère, drôle quand il avoue sa passion pour les femmes, émouvant lorsqu’il évoque la mort, à quatre-vingt-treize ans, Stéphane Hessel donne une magnifique leçon d’humanité. Il est l’homme de tous les combats, jamais découragé, obstinément confiant, un Sisyphe heureux. Percer le secret de sa force et de ses engagements, de cette vie si singulière, tel est l’objet de ce film.

Résumé : Montage de 700 photographies de Robert Doisneau commentées par le photographe.

Résumé : "La mort accomplit un fulgurant montage de notre vie", écrivait Pier Paolo Pasolini. "Celle de Pasolini a donné lieu à tous les montages possibles", commente Alain Bergala qui, avec ces "Fioretti" déployés entre le cimetière de Casarsa où Pasolini est enterré aux côtés de sa mère et les environs d'Ostie où fut découvert son corps, nous en propose une illustration des plus convenues. Poète, romancier, dramaturge, essayiste, Pasolini est moins connu comme écrivain que pour sa filmographie, les passions qu'il suscita et l'odeur de scandale qui lui est attachée en raison de son homosexualité, de ses engagements politiques et esthétiques, de la masse de procès qui lui furent intentés (pour détournement de mineurs, obscénité ou atteinte à la religion d'Etat...) et de sa mort violente qui reste inexpliquée. Ce portrait qui mêle archives, citations, images de Rome ou du Frioul et témoignages (Laura Betti, Ninetto Davoli), n'évite aucun poncif, mais rend à Pasolini ce qui, de "Poesie a Casarsa" (en dialecte frioulan) au monumental "Pétrole", fut sa vocation première : la quête d'un langage poétique du monde, qui soit en prise directe avec la réalité, sinon la Réalité même. (Images de la culture)

Résumé : Michel Amarger et Frédérique Devaux proposent un panorama du cinéma dit "expérimental" sous la forme d’un documentaire atypique en plusieurs épisodes. Parcourant le monde, ils recueillent la parole d’une soixantaine de cinéastes (Jonas Mekas, Joseph Morder, Boris Lehman, Peter Kubelka, etc.), montrent leur manière de travailler, des extraits de leurs films, mais aussi le fonctionnement des coopératives et associations liées à cette production. Ce long documentaire chemine de par le monde en quatre parties. La première dresse une cartographie des structures variées qui ont une fonction d’aide à la création, souvent technique (laboratoires, table de montage, tireuse optique), et/ou font office de centres pour la promotion, la diffusion et la conservation des films. La seconde et la troisième parties, sous la forme subjective et fictionnelle du journal filmé, vont à la rencontre des cinéastes, recueillent leur point de vue sur le cinéma tout en les montrant au travail, sous l’angle triple du discours, du processus de création, et de la technique. Des Etats-Unis au Japon, en passant par l’Algérie, l’Autriche ou le Sénégal, les thèmes et les pratiques les plus divers sont abordés : journal filmé, travail sur pellicule, étude du mouvement, cinéma corporel... une palette infinie de productions que la quatrième partie, alternant entre le documentaire et son propre "work in progress", ne cesse d’exposer et de détailler.

Résumé : Recueil de contributions consacrées au genre du documentaire cinématographique. Ces textes viennent enrichir les tables rondes organisées à Paris dans le cadre du Festival parlé, un événement en lien avec Cinéma du réel, le 44e Festival international du film documentaire. ©Electre 2022

Résumé : Recueil de contributions consacrées au genre du documentaire cinématographique. Ces textes viennent enrichir les tables rondes organisées à Paris dans le cadre de la 3e édition du Festival parlé, un événement en lien avec Cinéma du réel, le 45e Festival international du film documentaire. ©Electre 2023

Résumé : Le cirque Plume se penche sur son passé et sur son présent, fier d'une grande aventure collective qui a contribué au renouvellement du spectacle de cirque traditionnel en l'orientant vers les arts de la rue (mime, poésie, musique).

Résumé : Durée : 50 min. "Pour la première fois, Bartabas a accepté la présence d’une caméra dans le secret de son quotidien d’homme de cheval. Jour après jour, la caméra va s’immiscer dans le secret de son univers créatif. Que le décor soit celui de la carrière de Zingaro à Aubervilliers où vivent les chevaux où la scène de la Maison de la Culture de Bobigny où se joue Le Centaure et l’Animal, nous accompagnerons en image et en son les gestes, les paroles et les regards de cet écuyer saltimbanque d’exception." (catalogue Compagnie des Indes).

Résumé : Rencontre avec René Vautier, cinéaste engagé entre le documentaire et la fiction, auteur d'"Afrique 50" et d'"Avoir 20 ans dans les Aurès".

Résumé : Portrait d'une comédienne de théâtre et de cinéma, qui fut aussi une militante passionnée de la cause féministe.

Résumé : Portrait en forme d'autobiographie de Gérard Depardieu, comédien, filmé en 1999 dans sa propriété du Château de Tigné, en Anjou. De nombreuses images d'archives (extraits de spectacles, de films et scènes de tournages) viennent éclairer la personnalité et le talent de l'homme de théâtre comme de l'acteur de cinéma et de télévision.

Résumé : A partir d'une photographie aérienne du camp d'Auschwitz, Farocki réalise un essai cinématographique sur la guerre et l'utilisation de la photographie. Dans la reconnaissance militaire, la photographie utilise les images pour la détection et la destruction. La photo de la région d'Auschwitz prise par les avions alliés était destinée au repérage des industries. Les soldats chargés de l'analyser n'ont ainsi pas décelé le camp. Farocki développe ici un ensemble de questions sur "ce qui engendre ou n'engendre pas une image".

Résumé : Pendant plus de quarante ans, Georges Rouquier a célébré les beautés du monde rural et montré ses difficultés avec la conviction et la sincérité qui illuminent l'ensemble de son oeuvre de documentariste, du "Tonnelier" (1942) à "Biquefarre" (1983). C'est justement sur cette terre de l'Aveyron, qui a vu naître "Biquefarre" trente-sept ans après l'immortel chef-d'oeuvre "Farrebique" (1946), que ses amis cinéastes ont voulu rendre hommage au "patron". Hommage vivant à travers les entretiens avec Georges Rouquier, avec sa femme, Maria Rouquier, avec les protagonistes du cycle aveyronnais, qui expriment leur admiration pour l'homme et analysent l'impact que les films ont eu sur leur conception du passé et de l'avenir de l'agriculture.

Résumé : Art martial somptueusement chorégraphié par les esclaves du Brésil des origines, la capoeira est aujourd'hui enseignée dans les académies de Santa Lucia, Salvador de Bahia ou Rio de Janeiro par des maîtres qui transmettent avant tout l'esprit pacifiste de ces joutes rassemblant hommes, femmes et enfants dans une ronde libératrice.

Résumé : En 1994, à l'invitation du Centre international de poésie Marseille et de l'Ecole des Beaux-Arts, le philosophe Roger Laporte donne aux étudiants quatre leçons introductives à la philosophie de Heidegger.Les trois premières leçons figurent dans ce DVD. La quatrième "Heidegger et le politique", trop détériorée, n'a pas pu être restaurée.

Résumé : François Truffaut, avec qui elle fit ses débuts en 1957 dans "Les Mistons", la comparait à Michel Simon pour son côté atypique et naturel. André S. Labarthe et Estelle Fredet dressent un portrait convivial de Bernadette Lafont en la filmant chez elle, en entretien avec Jean Douchet et Dominique Païni. Lors de cette rencontre ponctuée d'extraits de films et d'images d'archives, ils reviennent sur sa carrière, ses rencontres, son travail d'actrice. Chez elle à Paris, où se croisent musiciens et autres jeunes amis, Bernadette Lafont se remémore ses premiers rôles dans les films de Claude Chabrol, notamment "A double tour" (1959) et "Les Bonnes Femmes" (1960), et parle de son rapport au maquillage et à la composition de ses personnages. "Mes rôles, je les danse" explique-t-elle. Elle évoque ses souvenirs du tournage de "La Maman et la Putain" de Jean Eustache (1973), et, à propos du film d'Olivier Peyon "Les Petites Vacances" (2006), elle raconte sa difficulté à assumer la tension et la rage de ce personnage de grand-mère : "Je savais que dans ce rôle-là je pourrais mettre toutes mes souffrances, et je les y ai mises." Mais pour cette comédienne hédoniste qui met tout son naturel dans ses compositions, "il faut qu'il y ait du plaisir" : "On ne dit pas je vais travailler, mais je vais jouer", précise-t-elle. A. S. Labarthe nous prévient : "Où commence la vie, où s'arrête le cinéma, difficile de le savoir avec Bernadette Lafont." La vie de Bernadette s'est arrêtée en juillet 2013.

Résumé : Avec les témoignages de nombreux intervenants (amis, acteurs, cinéastes, critiques), Pierre Léon dresse un portrait à facettes du cinéaste Jean-Claude Biette (1942-2003). Extraits de ses huit films, apparitions dans d'autres films, documents inédits, scènes de tournages, et un moment de mise en scène reconstituée par Pierre Léon de sa pièce "Barbe Bleue" : le film décrit la personnalité singulière et secrète de ce touche-à-tout mal connu. Trois "présentateurs" assis dans un théâtre, Pierre Léon, Françoise Lebrun et Pascal Cervo, mènent la ronde des interventions. Cette troupe d’amis éclatée évoque un phobique des groupes (Jean Narboni), traversant le cinéma de Pasolini et des Straub, s’intégrant au sein de la famille de cinéastes produits par Paul Vecchiali, ou à la revue "Trafic", à sa création, dont il trouve le titre. Famille encore, avec les acteurs Jean-Claude Bouvet et sa mère Paulette, ou ce couple de cinéma : Howard Vernon et l’émouvante Sonia Saviange. Sont évoqués aussi l’humour et l’intelligence de Biette, son goût pour le secret (Sylvie Pierre), qui donnent à ses films d’une grande précision une étrangeté domestique (Louis Skorecki) par laquelle il marqua et libéra les cinéastes. La mise en scène de "Barbe Bleue", jouée par nos trois présentateurs, achève de montrer cette part secrète et déroutante du sujet Biette, peu connu du grand public, et dont la place de création était devenue à la fin fort difficile.

Résumé : Emmanuel Vernières se concentre sur la parole de Paul Vecchiali, filmé face caméra, et montre la cohérence d’une démarche esthétique et morale. De son premier court métrage perdu, "Les Petits Drames" (1961), à la présentation au festival de Cannes de "À vot’ bon cœur", le cinéaste retrace sa carrière, et ainsi, tout un pan du cinéma français – les metteurs en scène alliés qui disparaissent, et la difficulté, toujours plus grande, à faire un film. Enfant, c’est le regard de Danièle Darrieux, au hasard d’un magazine, qui lui donne envie de faire du cinéma. Cet amour des actrices ne quittera plus Vecchiali, qui offre à Hélène Surgère le rôle d’une comédienne dans "Femmes femmes" (1974), son premier succès, et celui de l’amoureuse menteuse de "Corps à cœur" (1978). Mais si les amis sont fidèles (Noël Simsolo, Françoise Lebrun), les financiers restent sceptiques. En créant dès 1970 Diagonale, le cinéaste produit ses films et ceux de ses collaborateurs. Cet aspect familial ne doit pas faire oublier le brio d’une mise en scène lyrique qui privilégie les mouvements de caméra amples : "Once More" (1987), film qui suit sur dix ans des personnages marqués par l’arrivée du Sida, est composé uniquement de plans séquences. Extrêmes, souvent incompris, les films de Vecchiali ne cherchent pas à flatter les attentes du spectateur. Car, selon le cinéaste, "l’artiste est celui qui rend sensible aux autres ce qui n’est sensible qu’à lui-même."

Résumé : Parce qu’il se déplace dans la Rome d’aujourd’hui comme dans l’œuvre de Rossellini, Carlo Lizzani joue le rôle du guide. Il propose une monographie qui suit chronologiquement la carrière du cinéaste italien, compilant des images d’archives - Ingrid Bergman et François Truffaut disent leur admiration pour le Maître - et de larges extraits de films, tels "Paisà" (1946) ou "Allemagne année zéro" (1948). Finie la période des "Téléphones Blancs", ces marivaudages d’avant 1940. Avec Rossellini émerge le néo-réalisme italien. Caméra à l’épaule, le cinéaste prend pour sujet les ravages de la guerre. Son œuvre relève du combat. Elle est à l’image du prêtre de "Rome ville ouverte" (1945), qui, tout en maudissant les bourreaux qui viennent de torturer un résistant, évoque la supériorité de l’esprit sur le corps. Un auteur est un homme qui s’engage pour la communauté, considère le cinéaste. Et jamais ne l’abandonne son intransigeance : Ingrid Bergman doit quitter Hollywood pour venir jouer dans ses films et doit se laisser réellement frapper par son partenaire sur le plateau de "Stromboli" (1950). En Italie comme aux États-Unis, le tempérament du cinéaste lui valut quelques déconvenues mais l’œuvre a fini par s’imposer. Carlo Lizzani termine justement par une séquence où des étudiants américains applaudissent celui qui, avec "Le Messie" en 1976, avait fait scandale outre-atlantique.

Résumé : "Diesel" est un road movie documentaire et musical qui dresse le portrait d'une génération, d'un mouvement musical, d'un état d'esprit : celui de la scène punk-rock des années 1990 ̧2000... Imaginé comme un documentaire au coeur de l'industrie du disque, "Diesel" balaie les clichés du "punk" et aborde la crise du disque, la débrouille "Do It Yourself", la vie d'un groupe en tournée... à travers les rencontres et interviews de ceux qui font cette scène musicale indépendante en France, en Suisse, au Canada, aux Etats-Unis, des années 1990 à aujourd'hui. En tournée depuis les années 2000, avec UncommonMenFromMars, NoFx, Burning Heads, Against Me!, les Wampas, Guerrilla Poubelle, Franck Turner, Dirty Fonzy..., David Basso les a suivis, rencontrés, interviewés, photographiés et filmés pour constituer la centaine d'heures d'interviews, de live, de moments de tournées, véritable matière première du film qui s'écrit actuellement.

Résumé : Duo de choc, duo d'improvisation concertante, duo des corps et des souffles. La chorégraphe Mathilde Monnier et le clarinettiste Louis Sclavis expliquent ce qui les a poussés, sept années durant, à se confronter, s'inspirer et finalement, se rejoindre.

Résumé : La reine de coeur n'est autre que la digitale, reine des plantes cardiotoniques depuis le 18°siècle. Sa substance active, la digitaline, peut être selon les dosages ou remède ou poison.

Résumé : Reporters : En 1981, à Paris, des photographes de presse de l'agence Gamma suivent l'actualité. Raymond Depardon les filme dans leur travail quotidien.. Dix minutes de silence pour John Lennon : 14 décembre 1980, après le meurtre de John Lennon, la foule lui rend un hommage silencieux en se rassemblant dans le Central Park de New York. En un long plan séquence, Raymond Depardon filme, et observe, quelques unes des milliers de personnes présentes ce jour-là.

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