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Résumé : Bien que la violence ait diminué à l'échelle historique dans les sociétés occidentales, la sensibilité à la violence ne cesse de croître. Cette étude fait le point sur diverses formes de violences, qu'elles soient urbaines, à l'école, au travail, institutionnelles, etc., et convoque anthropologie, sociologie, histoire, psychologie et science politique pour chercher comment lutter contre elles.

Résumé : Mal-logement, droit opposable au logement, Sans Domicile Fixe, Enfants de Don Quichotte … La crise du logement, qu’on croyait réglée à la fin des années 1970, semble revenir aujourd’hui par la grande porte à la faveur des difficultés croissantes d’une partie de la population.C’est dans ce contexte qu’est né cet ouvrage, issu de recherches menées en commun par des historiens. Le logement serait-il, dans les mêmes termes qu’au début du XXe siècle et avec la même gravité, la pierre d’achoppement de notre société contemporaine ? L’histoire récente montre que l’Etat serait devenu, durant les Trente Glorieuses, l’acteur clé du logement sur le territoire. A travers l’étude des acteurs et des échelons décisionnaires, (offices HLM, municipalités), les auteurs montrent comment le désir des habitants se construit précisément en interaction entre des aspirations individuelles et leur formalisation politique et institutionnelle, par des allers-retours, des négociations, des compromis.Ce livre repose sur la conviction qu’à côté des indispensables sommes historiques savantes, il y a place et besoin pour des essais visant à stimuler la réflexion : les textes de cet ouvrage cherchent, à travers des exemples historiques précis, à proposer des pistes de réflexion pour tous ceux, acteurs ou simples citoyens, qui s’interrogent sur la crise actuelle du logement.

Résumé : Cet ouvrage collectif aborde la question de la transition éducative accélérée par la crise sociosanitaire liée à la COVID-19 d’un point de vue didactique (savoir-enseigner) et politique (gouvernance). La formation en présence suppose des pratiques pédagogiques qui réunissent physiquement dans un même lieu la communauté étudiante dans le but de lui permettre d’acquérir des connaissances et de développer des compétences. La formation à distance lui permet plutôt d’acquérir des connaissances et de développer des compétences dans des lieux distants de l’université et souvent avec des contraintes minimales d’horaire et de déplacement. Certains acteurs et actrices du milieu universitaire souhaitent cette transition entre la formation en présence et la formation à distance, du moins en situation de crise pandémique. Cette transition suscite néanmoins bon nombre d’inquiétudes légitimes chez d’autres personnes, inquiétudes qui se traduisent en enjeux. Divisé en huit chapitres, La transition formation en présence-formation à distance à l’université s’articule autour des deux grandes thématiques savoir- enseigner et gouvernance. Les différentes contributions traitent entre autres de la supervision des stagiaires universitaires à distance, de la place des émotions dans un contexte de formation en ligne et de l’histoire institutionnelle de l’Université TÉLUQ. Ce livre s’adresse à toutes les personnes impliquées dans le changement des pratiques en formation à distance.

Résumé : Révolution, constitution, décentralisation : ce triptyque éclaire et rythme la carrière juridique intense de Michel Verpeaux : « révolution » qui ne l'a jamais vraiment quittée, depuis sa thèse aux ouvrages, articles et directions de thèses qui l'y ramènent souvent ; « constitution » dans toutes ses facettes avec une affection particulière pour l'histoire constitutionnelle, le droit constitutionnel, le contentieux constitutionnel dans sa dimension à la fois institutionnelle, procédurale et substantielle ; « décentralisation » dont il est aujourd'hui l'un des grands spécialistes, qu'il s'agisse de l'histoire de la décentralisation, du droit des collectivités territoriales ou encore de l'outre-mer... À ces axes de recherche, qui forgent l'identité scientifique et la réputation de Michel Verpeaux, s'ajoutent des incursions régulières dans des champs plus inédits et sur lesquels il a souvent été précurseur : les lois organiques, le statut constitutionnel du Parquet, la réforme du travail législatif, le statut des langues régionales ou minoritaires... Directeur de centres et d'instituts (IPAG, CRDC...), d'associations (secrétaire général de l'AFDC ; président de l'AFDCL), membre du comité Balladur de réforme des collectivités territoriales, membre de plusieurs jurys d'agrégation, Michel Verpeaux s'est investi pleinement dans la vie universitaire dans tous ses aspects. Sa curiosité, son ouverture d'esprit, son goût de la transmission expliquent qu'ait surgi autour de lui, non pas une école, mais un cercle large et fidèle d'étudiants, de doctorants, de docteurs et d'amis, de Dijon à Paris 1 en passant par Paris II. Derrière la richesse de ses travaux, derrière la densité de sa carrière se cache un homme discret, insatiable, exigeant avec lui-même auquel ses collègues, amis français et étrangers, doctorants entendent rendre hommage et lui témoigner estime et affection.

Résumé : Les évènements politiques, religieux et sociaux du XXIe siècle invitent à la réflexion historique. L'expérience plurimillénaire du monde méditerranéen ancien est riche d'enseignement sur le plan des mutations politiques, institutionnelles, religieuses, économiques et sociales. Les institutions politiques et sociales grecques et romaines constituent le coeur de cet ouvrage. Les grandes civilisations antiques telles le Proche Orient ancien, l'Égypte, Israël qui ont précédé la Grèce et Rome sont également esquissées. Jean Gaudemet avait, entre 1972 et 2000, effectué la mise à jour de six éditions successives. La mise à jour de la 7e édition avait été faite, grâce aux notes qu'il avait laissées, par deux de ses filles : Marie-Odile Greffe, Maître de conférences honoraire en histoire ancienne (Nancy II) et Brigitte Basdevant, Professeur d'histoire du droit (Paris XI). Pour cette 8e édition, Emmanuelle Chevreau a mis à jour les références bibliographiques

Résumé : "En 1968, la Hochschule für Gestaltung d’Ulm, école allemande que l’on présente comme la principale héritière du Bauhaus, est menacée de fermeture. L’idée de son possible transfert à Paris émerge alors sous le nom d’« Institut de l’environnement ». Un bâtiment, élaboré par Robert Joly avec la complicité de Jean Prouvé, est inauguré un an plus tard, rue Érasme, sur le terrain de l’École nationale supérieure des arts décoratifs (ENSAD).Voulue par André Malraux, cette nouvelle institution aux allures de laboratoire pédagogique revendique une orientation pluridisciplinaire totalement singulière dans le paysage français. Des praticiens d’horizons différents y évoluent : accompagnés par un « collège d’enseignants-chercheurs », de jeunes urbanistes, architectes, designers industriels, spécialistes en communication visuelle et théoriciens en sciences humaines apprennent à collaborer dans la perspective d’améliorer l’aménagement du cadre de vie. Deux promotions de quatre-vingts « stagiaires », dont l’artiste Daniel Dezeuze et le collectif de graphistes Grapus font partie, garderont un souvenir ému de cette aventure. L’école fut démantelée dès l’été 1971, reconfiguré en un centre de recherche spécialisé, cloisonné et le bâtiment Érasme fut finalement récupéré par l’ENSAD en 1975 et détruit au début des années 1990, malgré un projet de réhabilitation esquissé par Roger Tallon. Fruit d’une longue enquête, nourri par des documents d’archives inédits ainsi que par de nombreux témoignages d’anciens acteurs de l’Institut de l’environnement, l’ouvrage de Tony Côme propose de revenir en détail sur l’histoire de cette expérience institutionnelle exceptionnelle, mais à présent oubliée. « L’institut de l’environnement , c’est un peu l’abbaye de Thélème, le lieu idéal des études, sauf que nous, on l’a eu pour de vrai. C’était un pur rêve éveillé. Ce n’était pas seulement un rêve : on a agi pour cela » . François Miehe, membre fondateur du collectif Grapus, entretien". (Editeur)

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