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Résumé : Les marginaux du Japon ne sont pas de simples exclus de la modernisation industrielle ; ils forment des communautés héritières de sous-cultures séculaires. P. Pons en fait revivre les traditions et les métamorphoses au rythme des mutations de l'histoire du Japon moderne. En jouant sur les registres de l'historien et du sociologue il dresse un tableau coloré de ce "sous-bois social".

Résumé : Loin de se réduire à un rituel et à un interdit alimentaire, le halal est de plus en plus utilisé pour exprimer un espace normatif concernant de nombreux domaines : restauration, finance, sexualité, mariage, etc. Des historiens, des sociologues, des juristes et des anthropologues se fondent sur des exemples concrets pour analyser les enjeux de cette évolution de la norme et des pratiques. ©Electre 2015

Résumé : Etudes de géographes, de sociologues, d'historiens, etc., sur l'implication à partir des années 1990 des élites urbaines dans l'activité agricole en Afrique et sur la perception de leur action dans les communautés rurales.

Résumé : Selon l'auteur, historien et politologue nord-américain, sous couvert d'une opération humanitaire, l'intervention de l'Otan en 1999 au Kosovo, dirigée par les Etats-Unis, avait pour but de mettre la Yougoslavie sous la suzeraineté de l'économie libérale. ©Electre 2015

Résumé : Cheminant de l'économie matérielle aux créations artistiques, l'oeuvre de G. Duby rayonne bien au-delà des cénacles d'historiens spécialistes du Moyen âge. En forme d'hommages, des études par des historiens universitaires sur des sujets qui lui sont chers : Les sociétés médiévales, niveaux et articulations ; mentalités ; spiritualités féminines, quelques réflexions sur son art d'écrire.

Résumé : L'historien présente une centaine d'objets des XXe et XXIe siècles, dispersés dans des musées à travers le monde, qui témoignent de l'économie de guerre ainsi que des conditions de vie des combattants, des prisonniers, des exilés et des déportés dans divers conflits, depuis la Première Guerre mondiale. Autant de biographies d'objets qui dressent une histoire mondiale de la guerre moderne. ©Electre 2020

Résumé : Un historien relate l'histoire du Crédit coopératif, banque atypique française. Il propose un panorama de l'histoire économique et sociale française et explicite des notions comme la coopération, la mutualité, l'économie sociale, l'économie solidaire, etc.

Résumé : L'historien explique la douloureuse histoire de la Grande Guerre en répondant à de multiples questions : les causes du conflit, la vie dans les tranchées, l'économie en temps de guerre, les femmes, etc.

Résumé : L'historien juge que la société moderne a perdu l'espoir d'un futur meilleur et que le temps présent est le dominant absolu à cause de son urgence et du diktat de l'économie. Il étudie les caractéristiques de ce présent et apporte des solutions pour sortir de cet enfermement et se tourner de nouveau vers l'avenir. ©Electre 2018

Résumé : Trois ouvrages témoignant des recherches menées par l'historien sur l'Europe médiévale, notamment sur l'urbanisation et l'origine des villes, ainsi que sur les conséquences de la progression de l'islam au VIIe siècle. Des articles, essais et discours sur des thèmes comme la méthodologie de l'histoire, l'économie, le commerce ou encore la Belgique complètent l'ouvrage. ©Electre 2023

Résumé : Dans cette étude publiée en 2000, l'historien analyse la question du libéralisme égalitaire hérité des Lumières. Il montre que le projet politique de l'an II était, non pas d'imposer l'égalité par la force, mais de réduire les inégalités dans une société soumise à l'économie de marché et attachée à la défense de la propriété privée. ©Electre 2016

Résumé : Historiens, financiers et juristes proposent une réflexion croisée sur les dettes souveraines et la défaillance financière des Etats. Alors que la crise économique de 2008 a creusé les déficits budgétaires et que la dette de l'ensemble des Etats s'élève à plus de 40.000 milliards de dollars, le risque souverain est devenu l'un des paramètres essentiels de l'économie et de la finance mondialisées.

Résumé : Contributions d'historiens, de responsables de la vie financière nationale et internationale et d'économistes sur les missions passées, actuelles et futures de la Caisse des dépôts. Le point de vue de philosophes, sociologues, psychologues et théologiens sur les problèmes de déontologie, de morale et d'éthique. ©Electre

Résumé : Chercheurs, architectes, ingénieurs, historiens ou encore sociologues, les auteurs interrogent la relation du public aux infrastructures à travers les lieux, objets et situations dans l'histoire. De Bangkok à Saigon en passant par Trieste et Rotterdam, ils étudient son évolution ainsi que son impact sur la vie et sur l'organisation architecturale, urbaine et territoriale. ©Electre 2021

Résumé : Après l'analyse du parcours des hauts fonctionnaires français, l'historien s'interroge sur la composition de la nouvelle Assemblée, dont les membres sont issus pour la plupart du monde de l'économie. A l'aide de données quantitatives, il fait le point sur l'évolution des élites au pouvoir depuis les années 2000. ©Electre 2018

Résumé : Fondé sur des études de cas allant de la nécessité de trouver une source d'énergie alternative au bois sous l'Ancien Régime aux énergies renouvelables en passant par l'évolution des aménagements portuaires et l'arrivée des réseaux numériques, cet ouvrage propose des regards d'historiens sur les processus de passage d'un système technique à un autre et sur les discours d'anticipation sociale. ©Electre 2016

Résumé : De l'Inde à l'Atlantique, l'économie antique est l'objet de transformations liées à l'évolution des ressources et des techniques. Archéologues, historiens, technologues et environnementalistes se penchent sur divers produits qui sont au centre de dynamiques économiques, de leur mise au point à leur diffusion, tels que le coton, le blé, le poivre et les salaisons. ©Electre 2020

Résumé : Etudes d'historiens européens illustrant les recherches actuelles sur les sociétés modernes d'Europe de l'Ouest. Avec des notes introductives et une synthèse sur le thème au programme du Capes et de l'agrégation d'histoire moderne.

Résumé : Drawing explicit lines, across time and a broad spectrum of violent acts, to provide the definitive field guide for understanding and opposing white supremacy in America. Hate, racial violence, exclusion, and racist laws receive breathless media coverage, but such attention focuses on distinct events that gain our attention for twenty-four hours. The events are presented as episodic one-offs, unfortunate but uncanny exceptions perpetrated by lone wolves, extremists, or individuals suffering from mental illness—and then the news cycle moves on. If we turn to scholars and historians for background and answers, we often find their knowledge siloed in distinct academic subfields, rarely connecting current events with legal histories, nativist insurgencies, or centuries of misogynist, anti-Black, anti-Latino, anti-Asian, and xenophobic violence. But recent hateful actions are deeply connected to the past—joined not only by common perpetrators, but by the vast complex of systems, histories, ideologies, and personal beliefs that comprise white supremacy in the United States. Gathering together a cohort of researchers and writers, A Field Guide to White Supremacy provides much-needed connections between violence present and past. This book illuminates the career of white supremacist and patriarchal violence in the United States, ranging across time and impacted groups in order to provide a working volume for those who wish to recognize, understand, name, and oppose that violence. The Field Guide is meant as an urgent resource for journalists, activists, policymakers, and citizens, illuminating common threads in white supremacist actions at every scale, from hate crimes and mass attacks to policy and law. Covering immigration, antisemitism, gendered violence, anti-Black lynching, and organized domestic terrorism, the authors exhume white supremacy as a motivating force in manifold parts of American life. The book also offers a sampling of some of the most recent scholarship in this area in order to spark broader conversations between journalists and their readers, teachers and their students, and activists and their communities. - Note de l'éditeur

Résumé : Recueil d'articles majeurs de l'historien britannique composé en 1991. A l'aide de notions comme l'histoire vue d'en bas, l'économie morale ou la discipline du travail industriel, E.P. Thompson, à partir du cas anglais, analyse les transformations des sociétés européennes entre le XVIIe et le XIXe siècle, scrutant la lutte des gens du peuple pour conserver leur place et leurs droits. ©Electre 2015

Résumé : L'historien met l'accent sur la société et l'économie allemandes pendant la Grande Guerre afin de comprendre les traumatismes profonds que causèrent le conflit et les conditions de la défaite, qui ouvrirent la voix à la montée des extrêmes après la guerre. ©Electre 2016

Résumé : Etude des pratiques destinées à assurer le souvenir d'une personne ou d'un groupe à la fin du Moyen Age, éclairant l'économie ecclésiale et renouvellant l'historiographie sur ce sujet. L'approche comparative montre que, tandis que les historiens français ont retenu surtout la dimension religieuse, les Allemands situent la memoria à la charnière entre religieux, social, économique et politique.

Résumé : L'auteur, à la fois physicien et historien, analyse les rapports entre : sciences, politique et économie, aujourd'hui et dans l'histoire. Il cherche à saisir les diverses manières de produire du savoir au fil du temps et les liens complexes que les savoirs entretiennent avec le fonctionnement des sociétés. Il insiste aussi sur les mutations qui semblent en cours depuis 2 ou 3 décennies.

Résumé : Une présentation synthétique de l'état de la mondialisation au XXIe siècle suivie des points de vue croisés d'historiens, de chercheurs, de politologues ou encore de journalistes qui évoquent la crise du coronavirus, la politique d'Erdogan en Turquie, le Sahel et les relations sino-américaines, entre autres. Des QR codes permettent de visionner des vidéos d'entretiens complétant le sujet. ©Electre 2021

Résumé : L'historien étudie le tournant économique qui marqua le siècle des lumières, à partir de la question des modes de production des grains. Il aborde les problématiques de la richesse, de la subsistance, de la gouvernance, des relations internationales, du droit, de la place des individus, ainsi que de l'articulation entre l'économie de marché et l'économie morale. ©Electre 2017

Résumé : Des politologues, historiens, juristes, sociologues ou élus, catalans, espagnols ou français, analysent les différents aspects du conflit politique entre la Catalogne et l'Espagne, qui a atteint son point culminant avec la déclaration d'indépendance du Parlement de Catalogne le 27 octobre 2017. Le lien entre économie et indépendantisme ainsi que l'autodétermination sont également abordés. ©Electre 2019

Résumé : Les Historiens considèrent que la guerre de Sécession fut la première guerre moderne parce qu'elle fit appel à une mécanisation certaine dans le domaine de la logistique et de la guerre sur mer Il est intéressant de constater dans ce livre le poids de l'économie et de la démographie respective des deux camps pour décider de la victoire finale. A Gettysburg se déroula la bataille décisive qui aboutit à la défaite du Sud. Après avoir expliqué au lecteur français ce qu'étaient devenus les Etats-Unis entre 1778 et 1861, l'auteur nous emmène sur les chemins des Etats confédérés au gré des marches et contremarches militaires, des combats de plus en plus rudes entre frères ennemis, puis nous fait vivre le raid du Général Lee dans les Etats du Nord ; il situe parfaitement le contexte politique d'un affrontement qui ne s'est révélé qu'après coup comme une vraie défaite tant la bataille fut incertaine mais il sait aussi nous décrire par le détail ces trois journées dont est issue l'Amérique d'aujourd'hui. - Note de l'éditeur

Résumé : L'historien montre qu'après la Révolution française, puis avec l'Empire, la construction de la nation se fonde sur un socle d'intérêts matériels préservés par le protectionnisme. La ligne de douane définit donc le marché, jusqu'au moment où l'échelle internationale s'impose et où l'Etat entérine cette ouverture libre-échangiste, ensuite contestée à nouveau sous la Troisième République. ©Electre 2022

Résumé : Certes, ce livre parle de finances et de financiers - et d'économie bien sûr -, mais c'est aussi une aventure étonnante qu'il raconte: celle de pionniers d'un grand dévouement, celle d'hommes dont l'audace a permis à la France d'écrire une page d'histoire coloniale qu'elle peut revendiquer sans honte, voire avec fierté. Seul de son espèce, l'établissement qui fut connut durant un siècle sous le nom de Banque de l'Indochine a reçu de l'Etat le privilège de battre monnaie en Cochinchine et dans les comptoirs français de l'Inde - c'est même essentiellement pour cela qu'il a été créé. On comprend aisément que ses activités de banque commerciale s'en soient trouvées grandement facilitées en Extrême-Orient. En développement rapide, la Banque de l'Indochine s'aventura ensuite en Chine, où elle fit pénétrer le capital français, puis dans le Pacifique et en Afrique... Implantée dans des colonies qui manquaient cruellement de fonds, c'est elle qui assura l'essentiel de la mise en valeur de contrées aussi diverses que l'Indochine, la Nouvelle-Calédonie, Djibouti. De 1929 à 1939, en dépit de la Grande Dépression, elle tint littéralement l'Indochine à bout de bras - en retour, elle retirait de sa position de substantiels profits. Mais la guerre, l'occupation par les Japonais puis la lutte du Vietminh et la défaite française devaient la contraindre à une douloureuse et difficile reconversion. En 1975, elle fusionna avec la Banque de Suez et de l'Union des Mines, filiale de la Compagnie financière de Suez, pour devenir la Banque Indosuez, laquelle demeure fidèle à cette tradition de présence outre-mer (mais c'est là une autre histoire). Lorsqu'il relate - à l'aide d'une documentation inédite provenant des archives de l'établissement - les réalisations concrètes d'une institution financière, lorsqu'il dépeint la vie d'hommes de caractère et d'intelligence, lorsqu'il met en évidence le poids des facteurs économiques et/ou financiers dans la vie des individus et des nations, l'historien enrichit et modifie en profondeur l'intelligence de phénomènes et d'événements tenus pour strictement politiques. Il administre la preuve, s'il en était encore besoin, que l'histoire est totale.

Résumé : Lorsque nombre d’historiens européens racontent l’histoire du monde, ils ont toujours tendance à donner à l’Europe le beau rôle : c’est ici que sont nés l’individualité, la démocratie, la liberté, le capitalisme, et c’est ici, et nulle part ailleurs, qu’ont prospéré des sciences en continuel progrès. Certains attribuent cette supériorité à son climat tempéré, à son comportement sexuel modéré, à sa famille nucléaire, à sa religion chrétienne ou à sa mentalité rationnelle. Les « autres », Chinois, Indiens ou Africains, seraient moins bien lotis : climat défavorable, sexualité débridée, emprise de la collectivité, « despotisme oriental », poids des superstitions, mentalité traditionnelle où domine le sens pratique. Et tant les manuels scolaires que les disciplines académiques ont leur part de responsabilité dans le récit de cette distribution inégale. Histoire, géographie, mais aussi anthropologie, démographie, économie, philosophie, psychologie et sociologie sont ainsi mises au banc des accusées. De nombreux intellectuels, comme Lévy-Bruhl, Piaget ou Jung, mais surtout Max Weber, dont l’influence est aujourd’hui si grande, n’ont cessé d’alimenter les préjugés et, ce faisant, ont contribué à l’effort colonial en le justifiant théoriquement. Or, s’il peut bien exister des différences de trajectoire entre les sociétés, elles ne ressortissent ni aux techniques, ni à la cognition, ni à la culture et encore moins à la civilisation, mais relèvent de part en part de l’histoire et de la politique coloniale et remontent, pour l’essentiel, à 1492, date à partir de laquelle les métaux précieux venus d’Amérique déferlèrent sur l’Europe. Blaut relit l’histoire du monde à l’aune de cet événement en instruisant méticuleusement chacun de ces dossiers. Ce faisant, il nous fait enfin comprendre les causes véritables de l’essor européen, en mettant à distance le narcissisme culturel avec lequel nous sommes d’ordinaire si prompts à envisager l’histoire du monde. - Note de l'éditeur

Résumé : Les historiens M. Rediker et P. Linebaugh mettent en valeur le rôle du "prolétariat atlantique", cette "classe multi-ethnique" qui fut essentielle à l'avènement du capitalisme et à l'économie globale moderne. Ils retracent ainsi l'histoire des insurrections des premiers temps du commerce intercontinental qui trouvèrent leur aboutissement dans les révolutions française, haïtienne et américaine.

Résumé : Dévastée par la guerre, la France de 1944 doit entièrement se reconstruire. Déchirée par quatre années d'autocratisme, elle aspire à un renouveau démocratique. Un double défi, alors que le pays s'apprête à mener deux nouvelles guerres, en Indochine puis en Algérie, et à connaître deux changements de régime. Ce qu'Herrick Chapman appelle la « longue reconstruction » de la France se prolonge jusqu'à la fin de la décolonisation. Le terme même de reconstruction sert de mot d'ordre aux politiques publiques jusqu'au début des années 1960. Il est utilisé aussi bien à gauche par un Pierre Mendès France désireux de rénover l'économie qu'à droite par un Michel Debré soucieux de mener à terme l'œuvre amorcée par le général de Gaulle. Durant ces trois décennies, plus tumultueuses que glorieuses, le nouvel État français, fer de lance de la modernisation, s'infiltre dans toutes les aires de la vie économique et sociale. Loin de se résorber, les tensions entre les transformations imposées d'en-haut par l'élite technocratique et la demande de démocratie des citoyens de base s'institutionnalisent. Elles instillent dans la vie politique française un esprit de contestation toujours actuel. Cet ouvrage de l'historien américain Herrick Chapman, spécialiste de la France et professeur à l'Université de New York, est initialement paru en 2018 chez Harvard University Press, sous le titre France's Long Reconstruction. Traduit de l'anglais (américain) par Odile Demange. En couverture : le général de Gaulle visite l'usine d'Alsthom, en Alsace, 1959

Résumé : L'historien Gilles Laporte vous propose 69 infographies sur l'histoire, la géographie, la population, l'économie, la culture, la politique, la consommation, et même les sports au Québec, de ses origines à aujourd'hui.

Résumé : Mal-logement, droit opposable au logement, Sans Domicile Fixe, Enfants de Don Quichotte … La crise du logement, qu’on croyait réglée à la fin des années 1970, semble revenir aujourd’hui par la grande porte à la faveur des difficultés croissantes d’une partie de la population.C’est dans ce contexte qu’est né cet ouvrage, issu de recherches menées en commun par des historiens. Le logement serait-il, dans les mêmes termes qu’au début du XXe siècle et avec la même gravité, la pierre d’achoppement de notre société contemporaine ? L’histoire récente montre que l’Etat serait devenu, durant les Trente Glorieuses, l’acteur clé du logement sur le territoire. A travers l’étude des acteurs et des échelons décisionnaires, (offices HLM, municipalités), les auteurs montrent comment le désir des habitants se construit précisément en interaction entre des aspirations individuelles et leur formalisation politique et institutionnelle, par des allers-retours, des négociations, des compromis.Ce livre repose sur la conviction qu’à côté des indispensables sommes historiques savantes, il y a place et besoin pour des essais visant à stimuler la réflexion : les textes de cet ouvrage cherchent, à travers des exemples historiques précis, à proposer des pistes de réflexion pour tous ceux, acteurs ou simples citoyens, qui s’interrogent sur la crise actuelle du logement.

Résumé : Cette étude, par un historien allemand, de l'aryanisation de l'économie française au cours de la Seconde Guerre mondiale montre comment la spoliation des biens des Juifs a été initiée par l'occupant allemand et mise en oeuvre par les fonctionnaires français.

Résumé : Produites par des historiens des idées, des mouvements sociaux, de l'économie, des sciences et des techniques, de l'architecture, de l'art et de la musique, seize études abordent tour à tour le contexte international et national des grandes expositions au XIXe et au début du XXe siècle, le climat social troublé et les ambitions des organisateurs, les productions technologiques et industrielles...

Résumé : De nombreux chercheurs (philosophes, historiens, juristes, physiciens, économistes, etc.), décrivent le monde actuel, devenu opaque et hostile, au vu des conflits qui le peuplent. Monde d'exception, selon eux, c'est la 1re fois que se conjuguent au niveau planétaire de telles distorsions : amélioration de la santé publique et pandémies, accroissement des richesses et paupérisation, etc.

Résumé : La thèse de l'historien Robert Conquest impute la déliquescence de ce siècle, non aux forces impersonnelles de l'économie et de la société, mais à l'utopie qui est à la racine des idéologies, du marxisme révolutionnaire au national-socialisme. Il présente donc ici une grande synthèse du XXe siècle, vu à travers son analyse des idéologies.

Résumé : L'auteur, historien et épistémologue de la géographie, étudie les régions du Brésil et leurs productions (sucre, or, diamant, café, coton, caoutchouc). Il retrace ainsi l'histoire économique de ce géant sud-américain en montrant que son développement est inégal et que l'intégration de l'Amazonie dans l'économie nationale nécessite d'autres voies de développement, celles de l'altermondialisation.

Résumé : L'historien retrace l'histoire de la rivalité entre les Etats-Unis et la Chine, en particulier depuis la guerre froide, puis souligne la parenthèse des années 1990 et 2000, période durant laquelle la puissance asiatique a évolué vers une économie de marché. Il recense ensuite les facteurs pouvant conduire à une guerre entre les deux pays et les éléments qui permettraient de l'éviter. ©Electre 2023

Résumé : Cinquième volume de la collection « savoir & faire », cet ouvrage s'organise en trois grands chapitres qui couvrent les principaux domaines d'application du verre. Il ouvre sur les arts du verre, une histoire qui débute plus de quatre mille ans avant notre ère. Après une synthèse sur l'évolution technique et esthétique du matériau depuis ses origines jusqu'aux prémices de l'industrialisation des procédés de fabrication, il traite, entre autres, de l'art du vitrail, du cristal, de la fabrication des miroirs, mais aussi de la place du verre dans l'art moderne et contemporain (Art nouveau, Art déco, Studio Glass...) en réponse, parfois, à l'omniprésence du verre d'origine industrielle qui nous entoure dorénavant au quotidien. Le volet central est consacré à l'usage du verre dans l'architecture. En regard de notre histoire, celle-ci ne s'est libérée que récemment des dimensions réduites que l'on obtenait jusqu'au XIXe siècle pour les verres plats. Ce chapitre aborde l'architecture de verre au travers d'un prisme historique et technique, mais aussi esthétique et philosophique : construire en verre relève en effet d'une quête de la transparence et de la translucidité, des notions tant physiques que conceptuelles renvoyant, pour ces dernières, à des idéologies sensiblement différentes. Introduit par une synthèse historique sur les révolutions industrielles que connut la fabrication du verre, le chapitre final est dédié aux sciences de l'ingénieur et à l'économie du matériau. Il aborde le rôle et la place du verre dans l'instrumentation scientifique, l'optique et d'autres domaines d'applications souvent moins connus du grand public. Il met enfin en perspective les impacts environnementaux liés à ce secteur industriel : les principales problématiques qui concernent sa production, mais aussi la gamme de solutions qu'il apporte afin de rendre nos modes de consommation et de construction plus durables. Riche d'une abondante illustration, cette somme mêle des articles de fond, rédigés par des historiens et des experts, à des entretiens avec des artistes et artisans verriers, des architectes et des designers.

Résumé : Cet ouvrage collectif dirigé par Mike Davis & Daniel B. Monk regroupe une quinzaine de contributions d’architectes, urbanistes, historiens, sociologues… qui, de Kaboul à Prague, « explorent les nouvelles géographies de l’exclusion et les nouveaux paysages de la richesse. » étudient la privatisation des biens, des espaces et des services communs dans des villes comme Budapest, Le Caire, Johannesburg, Hong Kong, Pékin, Dubaï ou Medellin.

Résumé : Le 22 juin 1941, Hitler déclenche la foudre en URSS. L'opération Barbarossa ouvre cinq années de guerre apocalyptiques à l'Est. L'Armée rouge est saignée, l'économie en plein chaos, poussant les autorités soviétiques à lancer le « grand déménagement » des usines et des travailleurs dans des conditions dantesques. Staline voit le sol se dérober sous ses pieds. Dans le chaos des premières semaines de ce conflit sans commune mesure, Staline exhorte les Américains et les Britanniques à lui venir en aide. Roosevelt et Churchill mettent rapidement sur pied plusieurs lignes d'approvisionnement dont une via l'océan Glacial arctique. De l'avis même de Churchill, ce passage de Mourmansk est « la pire traversée au monde ». Et pour cause. Les marins alliés bataillent contre des éléments mortels, la neige, la glace, les icebergs, les tempêtes, mais aussi contre la Luftwaffe, les U-Boote, les bâtiments de surface de la Marine allemande dont quelques fleurons, comme le cuirassé Tirpitz ou l'Admiral Scheer qui mène un raid improbable aux confins de l'océan Arctique, en mer de Laptev, en Sibérie centrale. Analysant les opérations militaires en mer mais aussi à terre, cet ouvrage remet en question le poids de l'aide alliée militaire à l'URSS et notamment celle passant par l'Arctique. Non, l'aide matérielle alliée n'a pas été décisive. Non, l'Armée rouge n'aurait pas perdu face à la Wehrmacht sans le Lend-Lease (loi Prêt-Bail). Oui, les armées soviétiques ne doivent la victoire qu'à elles-mêmes. Ainsi, cette voie arctique a-t-elle été inutile, comme l'ont affirmé certains généraux alliés dès 1941 et les historiens soviétiques durant la Guerre froide ? Les sacrifices des marins et des aviateurs alliés et soviétiques ont-ils réellement été vains ?

Résumé : L'accent est mis sur le foisonnement des formes du religieux (piété, dévotions, sainteté, théologie, réflexion sur l'économie et sur l'Etat), sur la pluralité des rapports entre politique et religion, puis sur l'intrication de ces deux sphères. Des contributions sur les historiens et les croisades, le phénomène des "Cid", la Sicile aux XIIe-XIIIe siècles, le retour du religieux aujourd'hui...

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