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Résumé : En automne 2008, Alfred Brendel effectuait sa tournée d'adieux en tant que concertiste, mais cela ne signifiait pas un renoncement de sa part à la musique ni à la sphère publique. "Je suis heureux d'avoir encore quelque chose à communiquer. Car mon évolution musicale n'est pas terminée, et je voudrais en faire profiter les autres. A 80 ans, mon cerveau est peut-être devenu plus sélectif, mais il ne cesse d'approfondir son rapport à la musique". Assis au piano, le pianiste autrichien parle de sa vision de la musique et illustre ses propos en jouant des extraits.

Résumé : "Mon désir de réaliser ce film trouve son origine et son élan initial dans une image – qui deviendra la toute première, une image donc qui donne à voir et entendre un étrange attelage composé du percussionniste sénégalais Adama Dramé, des Percussions de Strasbourg et des Percussions de Treffort. Cette scène suscita en moi le désir de savoir de quoi, de quel travail elle résultait. Et c’est sans doute le véritable sujet du film que de tenter de répondre à cette question : qu’est-ce qui à rendu possible un "faire la musique" d’une telle intensité, d’une telle force." ( Alain Fabbiani)Les Percussions de Treffort ont été fondées en 1979 par Alain Goudard, suite à une sortie de l'ESAT à un concert des Percussions de Strasbourg.Le film retrace, à partir d’entretiens et d’images de spectacles, l'histoire de cette formation. Le sujet n'est pas le handicap, mais les enjeux de la création collective : apprendre à s'écouter, à écouter les autres, à jouer ensemble, trouver la bonne forme musicale, la place du corps, de la représentation... Sont ainsi abordées, en toute simplicité, les questions les plus essentielles et les plus délicates de toute interprétation musicale.

Résumé : Les vedettes de ce documentaire ne sont pas les pianistes qui répètent leurs prochains concerts. Mais Stefan Knüpfer, une des chevilles ouvrières du Konzerthaus de Vienne, et le collaborateur privilégié des plus grands, qui participe à leur côté à la quête du « son parfait ». On suit, par exemple, avec passion la saga de la préparation de l’enregistrement de « l’art de la Fugue » de Bach par Pierre-Laurent Aimard. Celui-ci a choisi le piano n°109, mais il devra en trouver un autre et faire encore d’autres choix déchirants avant le jour J de l’enregistrement.« Depuis que nous réalisons des films, nous connaissons le travail continu qu'exige un tel projet et l'influence de ce travail sur nous-mêmes et nos vies. Cela nous a permis de comprendre mieux la relation spéciale qu'ont Stefan Knüpfer et les pianistes à leur profession voire vocation. Notre estime pour ces personnes'surdimensionnelles' est devenue dès lors encore plus grand. Nous avons senti la passion des héros de notre film dès les premières recontres et nous voulons que les spectateurs soient aussi émus de cette passion. Au seuil de de la puissance humaine se trouve quelque chose d'inommable, quelque chose de plus grand que la vie. Peu importe si on l'appelle "l'infini" , ou "l'art'' , ou "dieu". Nous l'appelons tout simplement Pianomania. »

Résumé : “La répétition d’une œuvre musicale constitue une sorte de drame dont le sujet est le passage difficile du plan de l’écriture à celui de l'exécution. Le public, guidé par la présence, les explications et les exigences du chef d’orchestre et parfois du compositeur, participe lui-même à cette construction de la musique.” Pierre Schaeffer a constitué au sein de l’ORTF un véritable laboratoire d’innovations : le service de la recherche. Soucieux d’expérimenter de nouvelles relations au public, il a produit de 1965 à 1968 une série de portraits de grands musiciens. Proposées par le réalisateur Gérard Patris et par le musicien Luc Ferrari, ces émissions associent directement le public à l’audition musicale et lui permettent de mieux pénétrer le langage des œuvres. Programme du DVD 1: Hermann Scherchen dirige « L’Art de la Fugue » de J.S. Bach (1967). Parallèlement, son épouse évoque son souvenir devant ses enfants (Scherchen disparaît peu de temps après le tournage). Edgar Varese est mort quelques jours avant le filmage de la répétition d’une de ses œuvres. Un hommage particulier lui est rendu par les témoignages de Ferdinand Ouellette, Iannis Xenakis, Olivier Messiaen, Hermann Scherchen, André Jolivet, Pierre Schaeffer, Pierre Boulez et Marcel Duchamp. Deux de ses oeuvres sont interprétées : "Ionisation", dirigée par Konstantin Simonovic et «Déserts» par Bruno Maderna. Programme du DVD 2 : Olivier Messiaen dirige "Et Expecto Resurrectionem Mortuorum" (1965), Karlheinz Stockhausen "Momente" (1965). Le dernier titre est une rencontre en 1966 avec Cecil Taylor, l’un des créateurs du free jazz. Avec quelques autres musiciens : le bassiste Ron Silva, le saxophoniste Jimmy Lyons et le batteur Andrew Cyrille, ils improvisent une recherche de thèmes et de variations.

Résumé : Dans ce film documentaire, Jean-Gabriel Périot dresse en creux le portrait d’un groupe de femmes pour qui la musique est un moyen de résister et de sortir de l’isolement. Le compositeur Thierry Escaich collabore à cette réalisation en composant la musique originale du film, interprétée par neuf musiciens de l’Opéra national de Paris.

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