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Résumé : "Ils s'en venaient de l'Oural et du Mississipi" : Arrivée et installation autour du carrefour Vavin, en ce début du XXème siècle, des artistes qui "s'en venaient de l'Oural et du Mississipi" (André Salmon). Leur première journée parisienne à la recherche d'un atelier, les rencontres puis le choc visuel devant la première rétrospective Gauguin, en 1906, et l'année suivante, à l'occasion de l'hommage rendu par le Salon d'Automne à Cézanne. "Petite chronique de Montparnasse pendant la guerre 14-18" : La guerre de 14-18 va tout bouleverser. Cendrars, Léger, Derain, Braque, Zadkine, Apollinaire et tant d'autres sont au front. Jean Cocteau fait la navette entre le front et le Dôme. Silvia Beach raconte comment, tandis que les obus éclatent sur Paris, l'art moderne franchit l'océan et conquiert New York grâce à l'exposition "l'Armory Show" qu'évoquent Gabrielle Buffet-Picabia et Marcel Duchamp. Ensuite se produit l'arrivée massive des Américains à Paris, qui pour quelques-uns resteront jusqu'au Krach financier de 1929.

Résumé : "A la recherche de Chaïm Soutine" : Portrait de l'un des grands peintres "Montparno" venu de sa lointaine Lituanie. Lors de l'exposition Soutine qui s'est tenue en 1989 au musée des Beaux-Arts de Chartres, durant plusieurs jours, avec la complicité de son opérateur Michel Lecoq, Jean-Marie Drot a pu "grâce à des lumières rasantes, tenter de saisir la pleine pâte des peintures de Soutine. A quelques pas de la cathédrale, ces tableaux suggéraient à chaque visiteur un voyage vers La Ruche, vers ces ateliers alors si misérables du Montparnasse où s'est jouée et gagnée une des plus fiévreuses batailles de l'art aujourd'hui". "La rue de la Gaîté" : Plusieurs générations d'amateurs ont fréquenté ce haut lieu du music-hall. S'y dont produites les plus grandes figures de la chanson française.

Résumé : "Léon-Paul Fargue, le piéton de Paris" : "Pourquoi, à travers l'image, tenter de reconstituer la longue journée du "Piéton de Paris" ? Tout simplement parce que j'aime son écriture, son élégance, sa drôlerie poivrée, sa nonchalance qui confine à la paresse, sa tendresse pudique de vieux célibataire. Au-delà des feux de son esprit, de son humour si parisien, de ses cocasseries, de ses jeux de mots à nuls autres pareils, Léon-Paul Fargue reste le poète de la solitude, face à un monde dont il pressent, avec plus d'intuition et de finesse encore qu'un Paul Valéry, la désagrégation prochaine." "Le Groupe des six" : Montparnasse, ce fut aussi, et trop souvent on l'oublie, la musique avec les concerts du Groupe des six, rue Huyghens, "Le Groupe des six" (Louis Durey, Georges Auric, Arthur Honegger, Germaine Tailleferre, Francis Poulenc Darius Milhaud) un groupement plus amical qu'esthétique", comme le dit Georges Auric. "Giacometti, un homme parmi les hommes" : Giacometti, le dernier des "Montparnos", un artiste solitaire, sauvage presque, dont l'insatiable et épuisante recherche est douloureusement analysée par lui-même au cours de ces longs entretiens enregistrés dans son atelier de la rue Hyppolite Maindron, puis au Kunsthaus de Zurich, à l'occasion de sa grande rétrospective de 1963.

Résumé : Pour Pierre Bonnard, un tableau est une fenêtre ouverte sur le monde. Dans sa maison du Canet, sur la Côte d'azur, il compose "L'Atelier au mimosa" où la fenêtre encadre un paysage riche de couleurs. D'une apparente simplicité, la toile reste étonnante. Bonnard comme Matisse est fasciné par la lumière du Sud.Ce dernier, handicapé par la maladie, développe la technique des papiers gouachés et découpés. Sa fin de vie est si active qu'elle apparaît comme une renaissance : en 1952, il peint "La Tristesse du roi". C'est une oeuvre à la fois classique, figurative, abstraite, surréaliste et décorative.Le tableau de Picasso "La Crucifixion", insolite dans toute son oeuvre, respecte une symétrie classique mais est peuplé de créatures désarticulées et étranges. Des traits sombres limitent les formes. Rêve métaphorique, il concentre toutes sortes d'images.

Résumé : "Il est l'auteur de la célèbre "Lolita", mais il a écrit bien d'autres livres, par exemple "Ada ou l'ardeur" dont la traduction française paraît cette semaine aux Editions Fayard. C'est un Russe qui a fait des études supérieures en Angleterre, qui est naturalisé américain, qui vit maintenant en Suisse et qui est ce soir sous l'oeil des caméras françaises. Il s'appelle Vladimir Nabokov. 21° numéro d'Apostrophe, numéro spécial consacré à Vladimir Nabokov en direct", annonçait le 30 mai 1975 Bernard Pivot. B.P. : Vladimir Nabokov, quelle est votre langue préférée ? Est-ce le russe, l'anglais ou le français ? V.N. : La langue de mes aïeux est encore celle où je me sens parfaitement chez moi. Mais je ne regretterai jamais ma métamorphose américaine. Le français ou plutôt mon français ne se plie pas si bien au supplice de mon imagination."

Résumé : "Au cinéma, "Hiroshima mon amour", "India Song"... au théâtre, "Les Viaducs de la Seine-et-Oise", "Savannah Bay"... en librairie, "Barrage contre le Pacifique", "Moderato Cantabile", "Le Ravissement de Lol V. Stein"... Ce sont là, dans une oeuvre abondante et très diverse, quelques-uns des titres qui ont rendu célèbre Marguerite Duras. Et voilà que cet auteur singulier, mystérieux, inclassable, obtient un succès populaire inouï avec son dernier livre "L'Amant"..." annonçait à la télévision Bernard Pivot le 28 septembre 1984 avant même que ne soit décerné le prix Goncourt. Au cours de cette rencontre exceptionnelle, diffusée en direct, Marguerite Duras parle de l'écriture, de ses oeuvres précédentes, de politique, de sa mère et de ses frères, de l'alcoolisme et bien entendu de "L'Amant", dont l'histoire appelait de façon urgente d'être écrite.

Résumé : Auteur de "Mémoires d'Hadrien", "L'OEuvre au Noir", "Coup de grâce", Marguerite Yourcenar est reconnue dans le monde entier comme l'un des plus grands écrivains du XXème siècle. En septembre 1979, Bernard Pivot la rencontre dans sa maison de l'île des Monts-Déserts, aux Etats-Unis. Cet entretien, filmé par Nicolas Ribowski, nous conduit dans les profondeurs de son œuvre et dans l'histoire de sa vie. Elle compare ainsi Hadrien et Zénon, le héros de "L'OEuvre au Noir", parle de la Grèce qu'elle considère comme une de ses patries et des poèmes antiques grecs qu'elle vient de traduire. Elle évoque aussi avec humour et complicité son action politique, le féminisme, sa vie. Son élocution conduit à son écriture. C'est une rencontre importante, inoubliable qui nous est ici offerte.

Résumé : En 1989, à l'âge de 82 ans, Jules Roy vient de publier ses mémoires sous le titre de "Mémoires barbares" (Albin Michel). A cette occasion, il reçoit Bernard Pivot dans sa maison à Vézelay, et retrace pour lui les grandes lignes de sa vie. Vie dont le maître mot aura sans doute été la quête de la vérité. Jules Roy évoque son enfance en Algérie, ses études au séminaire puis à l'école d'officiers de Saint-Maixent, son itinéraire politique, ses rapports avec l'armée qu'il quitte pour se consacrer à l'écriture en 1953, dégoûté par les massacres au Tonkin. Il parle de l'amour, des femmes, de ses modèles et de ses rencontres importantes : Kessel, Saint-Exupéry, Camus, Malraux, de Gaulle, Montherlant, Léautaud, Jouhandeau, Nimier...

Résumé : En 1981, après le suicide de sa fille Marie-Jo, Georges Simenon écrit "Mémoires intimes" (Presses de la Cité). Bernard Pivot, à l'occasion de la sortie de ce livre, retrouve Georges Simenon dans sa maison de Lausanne, et lui consacre plus d'une heure d'entretien. Avec une grande simplicité, une sincérité brutale, Georges Simenon parle de sa vie, de son oeuvre, de son travail d'écrivain; Bernard Pivot l'aide à exprimer son désarroi devant l'amour, la mort et l'absence de sa fille. Cette émission réalisée par Nicolas Ribowski est un document exceptionnel.

Résumé : A l'occasion de la parution de "Enfances" aux Editions du Seuil, Bernard Pivot s'est entretenu avec la psychanalyste Françoise Dolto, en novembre 1987, dans le cadre de son émission "Apostrophes". Il a cherché à savoir comment elle était devenue cette "femme majeure de son époque". Françoise Dolto se souvient et raconte sa petite enfance dans une famille bourgeoise, sa jeunesse, ses études de médecine, sa rencontre avec son mari. Mais elle évoque surtout son passage de la pédiatrie à la psychanalyse, son immense respect pour les enfants.

Résumé : Une rencontre avec le peintre Gérard Garouste, filmé dans l'intimité de son atelier de Marcilly-sur-Eure. Le cinéaste s'attache à montrer les différentes étapes du processus de création de l'artiste. Celui-ci fait poser sa femme, photographie ses amis afin d'utiliser ensuite les clichés dans ses fresques.Il explique ses méthodes de travail, parle de ses sources d'inspiration, de son style personnel ou du regard qu'il porte sur l'art moderne. Le peintre crée, travaille ses toiles devant la caméra. Son oeuvre mi-fantastique, mi-figurative, dépassant écoles et chapelles, propose une vision du monde éminemment originale, tour à tour grave, drôle, violente, intemporelle. "...Les peintres sont les grands voyageurs de l'immobile..." dit-il. A travers ce portrait de peintre, le film de J. Calmettes propose une réflexion sur l'art.

Résumé : La conception d'une collection Haute couture depuis les premiers croquis de Karl Lagerfeld jusqu'à la vente des costumes à la clientèle. On assiste au travail quotidien des ouvrières dans les ateliers. Sous forme de feuilleton documentaire se déroulent cinq épisodes sur un mode ludique : l'attente, le doute, les rites, les veillées, la collection.

Résumé : "J'ai décidé de faire de la peinture ma vie" dit Soulages : l'émerveillement ressenti devant l'Abbaye de Conques provoqua sa vocation de peintre dès l'âge de douze ans. Le film permet de découvrir l'univers intérieur de l'artiste et de mieux appréhender son oeuvre. Il aime la solitude et le silence, les grands espaces, la nudité et la simplicité car pour lui, tout cela est synonyme de liberté. Devant la caméra, il se "raconte", parle avec une grande clarté de son art où les rapports au temps et à l'espace sont différents. "La présence de la toile est liée à l'instant même" dit-il. De son "outrenoir" surgit paradoxalement la lumière. Parfois, on le voit dans son atelier, au travail. Pierre Soulages se sent étrangement proche des sculpteurs mésopotamiens ou des artistes qui ont peint les parois de la grotte d' Altamira ou de la grotte Chauvet. Selon lui, la peinture est sans cesse à inventer.

Résumé : A travers 8 documentaires, la maladie d'Alzheimer est abordée du point de vue de ce qu'il est encore possible de vivre et de ressentir pour la personne atteinte afin d'améliorer sa qualité de vie. "Je me souviens mieux quand je peins" montre l'impact positif des pratiques artistiques (peinture, poterie, collage,...) et des activités créatrices comme la danse, la poésie, les visites au musée pour ralentir les effets de la maladie. S'appuyant sur des découvertes scientifiques soulignant que la maladie s'attaque en dernier aux parties du cerveau qui régissent les émotions et la créativité, le film met en valeur des approches thérapeutiques différentes et novatrices de ce fléau.

Résumé : Filmée selon son souhait dans les ateliers de fabrication des Pianos Fazioli à Sacile en Italie, Angela Hewitt explique dans sa langue – exemples musicaux à l’appui – sa conception des œuvres de Bach ainsi que ses raisons et la façon de les jouer sur un piano moderne, passant même du piano au clavecin pour montrer les différences interprétatives. Le film est découpé en chapitres : le phrasé, le son, l'articulation, le doigté, la main gauche, l'utilisation des pédales, le tempo, la dynamique, les altérations rythmiques, le rubato, la danse...Puis à partir d'exemples tirés du "Clavier bien tempéré", Angela Hewitt nous donne des méthodes de travail et de choix d'interprétation. Particulièrement recommandé aux pianistes, ce film permet également aux mélomanes d'écouter Bach autrement.

Résumé : Réalisé à l'occasion de l'exposition "Georges Rouault, les chefs-d'oeuvres de la collection Idemitsu" qui a eu lieu à la Pinacothèque de Paris, ce documentaire, dans un court-métrage, présente le peintre, à la fois révolté permanent, mystique chrétien, artiste fauve, symboliste, expressionniste, réaliste, bref inclassable. Georges Rouault travaille à plat dans son atelier: le trait et la couleur caractérisent sa peinture. Vingt-sept oeuvres du collectionneur japonais Idemitsu qui se passionna pour Rouault sont ensuite commentées. La spiritualité de son art est reconnue par les Japonais. Sa calligraphie le rapproche des grands maîtres de l'art zen.

Résumé : Cet atelier de recherche, créé autour de l'écrivain Raymond Queneau et du mathématicien François Le Lionnais, est un groupe de "poètes scientifiques" qui s'est donné pour tâche d'explorer les potentialités du langage, c'est-à-dire de fournir à la littérature des structures, des règles, des formes, bref, des "modes d'emploi". De ces contraintes formelles résultent des œuvres novatrices et souvent drôles, comme en témoignent, par exemple, les "Exercices de style" de Raymond Queneau. Parmi les Oulipiens les plus célèbres, on compte Georges Perec, Italo Calvino, Marcel Duchamp ou encore Jacques Roubaud. "L'Oulipo, mode d'emploi" est un portrait à la fois historique et actuel de l'Oulipo mélangeant archives, scènes de la vie du groupe et conversations avec ses membres. Semé d'astucieuses animations graphiques, ce film réjouissant nous fait découvrir un monde ludique, surprenant, protéiforme mais contraint - en un mot, oulipien.

Résumé : Pendant huit mois, Henry Colomer a filmé le travail de deux facteurs de clavecins exceptionnels, Philippe Humeau et Emile Jobin, ainsi que les rencontres avec leurs amis interprètes, Yoann Moulin, François Guerrier, Kris Verhelst, Pierre Hantaï et Blandine Verlet.« Ricercar : rechercher. Le ricercar est l’ancêtre de la fugue. Une suite de variations sur un thème qui se développe librement, comme en improvisant. » Avec une sobriété et une liberté qui conservent vivante la passion loin de toute érudition, Henry Colomer, qui avait observé au plus près le travail d’un plasticien dans Iddu, l’atelier de Jean-Michel Fauquet (2009), fait ici le portrait de chercheurs de son juste. Il filme huit mois durant des facteurs de clavecins et leurs amis musiciens. Qu’ils jouent des instruments, les fabriquent ou les réparent, tous font preuve d’une exceptionnelle qualité d’écoute que le film rend techniquement perceptible. Ecoute experte, jusqu’au bout des doigts, du jeune accordeur qui commence avant de sortir ses outils par jouer de l’instrument, « pour le réveiller ». Ecoute historienne du réparateur de clavecins anciens : il y voit des traces d’outils, imagine les gestes faits des siècles plus tôt, entend dans le toucher d’un clavecin flamand « des carillons ».Du bruit du rabot sur le bois aux morceaux enregistrés avec une acuité remarquable, Henry Colomer réussit le pari de filmer la musique baroque, en filmant ceux qui la font au plus concret (magnifiques gros plans sur les mains, le bois, le clavier) mais aussi en captant le ricochet des regards qu’elle suscite entre les musiciens quand ils s’écoutent mutuellement. Défi toujours renouvelé pour le documentaire, l’art le moins visuel se cristallise dans Ricercar en un objet métaphorique : une rosace de clavecin, petite sphère de papier découpé finement ouvragée que son facteur a placée là « pour rien, pour pousser l’inutilité jusqu’à son comble ». (Charlotte. Garson)

Résumé : Qu'ils soient d'origine Gitane, Manouche, Yéniche, Rom ou tout simplement des personnes pauvres qui vivaient en roulotte, des citoyens français ont été internés en tant que "Nomades" durant la Seconde Guerre Mondiale. Plus de vingt-cinq camps, disséminés dans toute la France, ont emprisonné environ 6000 personnes de mai 1940 à mai 1946. Dès 1939, les autorités administratives avaient procédé à leur recensement. A la recherche de cette Histoire occultée, le film recueille les témoignages des quelques personnes encore vivantes ayant subi ces traitements.

Résumé : En 1972, Jean Gaumy fait quelques unes de ses premières photographies à Fécamp (Haute-Normandie), dans une "boucane", une fabrique de harengs fumés. Particulièrement attiré par l'atelier des "filetières", celui des femmes qui découpent le poisson en filets, il décide de revenir dix ans plus tard leur montrer ses photos et réaliser son premier film avec elles, en toute complicité.Ces femmes sont de tous âges, certaines font ce travail pénible et répetitif depuis plus de vingt-cinq ans, toutes débordent d'un enthousiasme, d'une vitalité qui jurent avec la saleté, et la dureté de leur travail.

Résumé : En République démocratique du Congo (appelé Zaïre au moment du tournage), à Kinshasa, à Kisangani, dans les boutiques, les bars, les petits ateliers, les murs ont la parole. Langage de la publicité, mais surtout de l'Histoire (images d'archives de Baudoin 1er, de Lumumba, etc..), de la mythologie (Mammy Wata etc), de la critique sociale., des peintres autodidactes, avec un humour parfois grinçant, proposent une explosion artistique originale, filmée dans son contexte de remous social et culturel.

Résumé : A 22 ans Wolfgang Fasser, musicien, thérapeute et chercheur de sons, perdit la vue suite à une rétinite pigmentaire. Très jeune il a dû se confronter à un monde fait pour les voyants. D'abord physiothérapeute en Suisse, il prit la route de la musicothérapie en s'installant dans un village du Casentino en Toscane près de Poppi où il fonde un atelier "Il trillo" ouvert aux enfants lourdement handicapés, atteints de lésions cérébrales ou de troubles psychiques, paralysés ou autistes. Le film montre Wolfgang Fasser chasseur de sons dans la campagne toscane et Wolgang Fasser thérapeute lors de séances de travail avec les enfants où le dialogue s'intaure grâce aux instruments de musique, aux sons et aux bruits en étroite corrélation avec des exercices tactiles. "J'aimerais aider les enfants à devenir ce qu'ils sont dans leur fort intérieur. J'aimerais aider les enfants à devenir aussi sûrs d'eux qu'ils connaîtront beaucoup de joie dans leur vie, qu'ils auront confiance en eux et qu'ils ressentiront la dignité au travers de toutes les cellules de leur corps."

Résumé : Ces portraits sont ceux de malades ou de soignants suivis ou travaillant à l'Hôpital de jour de Gonesse. Il s'agit ici de donner la parole et de restituer les différentes perceptions de chaque participant. Les patients sont filmés en gros plans ou lors d'activités (ergothérapie, ateliers cuisine, cartes, dominos, piscine). L'infirmière, la psychologue, le médecin, la femme de ménage font également partie du tableau ainsi dressé et sont portraiturés par les patients en quelques mots.

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