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Résumé : Cité millénaire du nord de la Mésopotamie, Diyarbakir est une ville cosmopolite peuplée de Kurdes, d'Arméniens et de Juifs. Mêlant sa propre histoire à celle de la ville natale, l'auteur propose une vision à la fois drôle et perçante de la Turquie, ponctuée d'anecdotes et de souvenirs personnels.

Résumé : De Jeanne d'Arc à Napoléon, la vie privée des Français est présentée entre famille et murs, habitat et confort, vêtements et soins du corps, nourriture, culture, religion et travail, ainsi que les problèmes de société, l'ordre public, les déplacements à travers le pays, l'armée et la guerre.

Résumé : Loin d'avoir disparu, quelque sept millions de Mayas vivent aujourd'hui sur leur ancien domaine. Ils vivent dans des hameaux éparpillés, continuent de semer leur maïs, de communier avec leurs dieux et de peindre la vie, comme l'attestent les murs colorés de leurs villages.

Résumé : Recueil de soixante récits inédits tirés de légendes populaires inspirées des murs de ces sociétés : chasse, commerce, agriculture, accouchements, jeux... Ces histoires ont été rapportées par Georges Bloy, aventurier, chasseur et défenseur des Moïs, en Indochine à la fin du XIXe siècle. Elles sont suivies de deux textes biographiques, dont l'un écrit par Léon Bloy, frère de Georges. ©Electre 2015

Résumé : Cette étude s'appuie sur des sources égyptiennes de la Basse Epoque pharaonique et de la période des Ptolémées. Les documents rédigés sur papyrus, sur les murs des tombes ou sur des bas-reliefs apportent un éclairage sur les aspects sociaux et juridiques du mariage et du divorce, ainsi que sur les droits de l'épouse et des enfants.

Résumé : « Le projet de Jérusalem terrestre était d'accompagner un roman en cours d'écriture, de presser l'éponge lorsqu'elle était trop pleine. Plongé dans le contraire d'un “pays sans légendes”, embarqué dans le berceau de tous les mythes, craignant d'être peu à peu débordé par l'avalanche d'informations qui me tombait dessus chaque jour, j'ai très vite éprouvé ce besoin de faire le tri entre ce qui pourrait servir au roman et ce qui ne servirait pas, toutes ces petites brisures du réel qui ne pourraient pas coller, toutes ces considérations par trop théoriques qu'il est bien difficile de caser dans la bouche d'un personnage, tous ces faits trop précis, ces myriades de chiffres, ces illustrations nécessaires, qui ne trouveraient pas leur place ou tiendraient dans d'encombrantes annexes ou de superflues notes de bas de pages. Jérusalem terrestre, au contraire s'autoriserait à coller des petits bouts de vécu, des fragments de discours. Au fur et à mesure, il est apparu que le roman ne s'écrirait que lorsque je serais libre enfin de réinventer Israël et la Palestine, de changer les noms peut-être, de déformer les lieux sans doute. C'est alors que le journal a pris son autonomie, c'est alors que l'urgence d'écrire et de raconter ce que je voyais chaque jour s'est installée ; les procédés romanesques ont fait alors leur incursion dans la grisaille du documentaire et le journal est devenu une sorte de roman parallèle... ». De son séjour à Jérusalem, Emmanuel Ruben rapporte un texte qui interroge les cartes, met au jour les frontières, les limites, les murs qui sillonnent aussi bien la géographie d'une région aux contours flous que celle, intime, de ses habitants.

Résumé : Le XXIe siècle a débuté, dans bon nombre de pays, avec des progrès législatifs conséquents pour les personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, transgenres, intersexes (LGBTI). Le mariage pour tous, l'ouverture à l'adoption pour les couples de même sexe, des lois réprimant les discriminations liées aux identités de genre et aux orientations sexuelles… autant de dispositions qui s'appliquent dans de nombreux pays de l'hémisphère Nord et quelques pays du Sud, même si quelques-uns, ici ou là, y voient encore une perversion de l'Occident et considèrent toujours les personnes LGBTI comme de dangereux délinquants, des malades chroniques, des pécheurs sans remords. Les jeunes « sont » le monde d'aujourd'hui et, à ce titre, le façonnent. Les jeunes LGBTI sont donc une partie de ce monde et de ses artisans. Mais ils investissent également d'autres mondes, à la marge, plus ouverts à leurs identités. Ils investissent des « lieux autres », réels et imaginaires, où ils peuvent enfin exister, être reconnus et, lorsqu'ils ont été symboliquement mis à mort, renaître. Il peut y avoir des passages d'un monde à l'autre, mais il peut aussi y avoir des frontières infranchissables, des murs de la honte. Le risque, c'est que ces deux mondes soient tellement étrangers l'un à l'autre et deviennent tellement inconciliables qu'aucun échange ni aucun partage ne puisse advenir. Cette enquête auprès des jeunes LGBTI plaide pour un métissage des cultures, pour une ode à la diversité, pour une attention distinctive à toutes les existences. (source : 4e de couverture)

Résumé : L'art des femmes Ndebele (dans le Zimbabwe méridional) qui, chaque année après les pluies, recouvrent de peintures polychromes les murs des maisons. Un sens très sûr de la couleur qui s'applique également aux costumes rituels qu'elles endossent lors des cérémonies sacrées.

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