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Contenu : Les Moines de Saint-Bernardin, 1931 / Stello, du Lapin à Gill, chœurs et orchestre. Le Curé et sa Servante, 1920 / chanté par Lisette Dunan et François Marcel. Les Vieux Messieurs, 1897 / par Yvette Guilbert. O salutaris, 1893 / par l’abbé Benoît, curé de Bierry les belles Fontaines et le Comte d’Anstrude (piano), maire de la commune. Je suis chrétien, 1899, chant religieux avec orgue et carillon. Ave Maria, 1903, voix du Pape Léon XIII, Cité du Vatican. Laudamus Te, 1904 / chœur de la Chapelle Sixtine et solo de A. Moreschi, dernier castrat du Vatican. L’automobile du Pape, 1905 / Eugène Lemercier. Notre Père, 1903 / chanté par Albert Piccaluga, baryton de l’Opéra Comique. La Marche des rois, 1897 / chœurs de l’Opéra de Paris. Carillon de L’Eglise Saint Germain L’Auxerrois de Paris, 1905/06. Manifestation à la Paroisse Sainte-Torgnolle, 1906 / par Pontis et Chœurs. Procès et jugement des manifestants de la Paroisse Sainte-Torgnolle, 1906 / par Pontis et Chœurs. La Vierge à la Crèche, 1905 / chanté par Marie Delna, de l’Opéra de Paris, piano Justin Clérice. La Charité, 1905 / par Jean Noté, baryton de l’Opéra. La bonne de Saint Antoine, 1906 / par Polin. N’égratignez pas l’Jésus, 1908 / Dranem. Hosannah, 1906 / par Affre, ténor de l’Opéra de Paris / Credo du Paysan, 1906, hanté par Léon Carbelly, basse de l’Opéra, avec accompagnement d’orchestre. Cloches de St Pierre de Rome, 1936. Paroles de SS le Pape Pie XI, 1931, prononcées à Radio Vatican le 12 février 1931. Traduction du message de Pie XI, 1931.

Résumé : L'histoire singulière d'Olivier Roellinger, l'un des grands cuisiniers français. Né à Cancale, passionné de voile, Olivier Roellinger était destiné à devenir ingénieur quand, à 20 ans, il est victime d'une sauvage agression dans les rues de Saint-Malo. Deux ans seront nécessaires à sa convalescence. Il repense alors sa vie, devient cuisinier et ouvre en 1982 un restaurant dans sa maison d'enfance. Le film nous montre les sources d'inspiration de sa cuisine : les étals des marchés avec en particulier les Lices de Rennes étroitement liées au souvenir d'une grand-mère, la mer, la Bretagne et les épices que l'on rapporte de voyages au long court et qui permettent une cuisine métissée. “La cuisine ne s’apprend pas réellement. La cuisine, on la vit et on a une folle envie de la faire, et, pour avoir envie de la faire, il faut adorer la vie. Cuisiner, c’est prolonger la vie de chacun, c’est nourrir l’autre, c’est un acte d’amour, et avoir envie de faire plaisir à l’autre ça ne s’apprend pas. Si on a des comptes à régler, vis-à-vis de soi-même, vis-à-vis de la société, on ne peut pas être un bon cuisinier. Comme je dis toujours, un cuisinier ne peut être que bon. On ne peut pas avoir un cuisinier méchant, ça, je n’y crois pas. Alors il y a des méchants qui parfois portent la veste de cuisinier, mais les vrais cuisiniers, eux, ne peuvent être que bons.”Olivier Roellinger

Résumé : Au départ film de commande destiné à devenir un outil pédagogique à l'attention des infirmiers qui ne reçoivent plus de formation spécifique en psychiatrie, Valvert, fait avec subtilité éclater ce cadre pour devenir un documentaire qui certes renseigne, apprend mais surtout aide à ouvrir des perspectives, à poser des questions. Né de la psychiatrie institutionnelle, Valvert, créé au milieu des années 70, est un hôpital psychiatrique proche de Marseille où règne " un esprit d'ouverture et de libre circulation". L'observation du quotidien et une grande place accordée aux patients sont la matière du film où coexistent des entretiens avec des soignants ou du personnel de l'institution comme la bibliothécaire/documentaliste, des moments d'interaction entre patients et soignants, des rites de la vie quotidienne (repas, prise des médicaments). Même s'il y eut des repérages importants et un projet en amont, Valvert, illustre ce que la réalisatrice nomme "une ouverture formelle quant à l'acceptation de plus en plus grande de l'inconnu, du fortuit, au moment du tournage". Et de poursuivre : "Le sujet reste proche de mes thèmes de prédilection : les limites du langage, les bizarreries, le quotidien... une certaine folie finalement. Je crois que le lien existe aussi dans la recherche de situations, de scènes où le rire est possible. Je trouvais important de montrer que dans un lieu comme celui-là, où la violence et l'abattement sont souvent d'une intensité extrême, le sens de la dérision est présent et permet souvent de tenir le coup."

Résumé : En occident, la démocratie est devenue une évidence aujourd'hui. Mais comment peut-on définir la démocratie des droits de l'homme ? Quand peut-on dater son origine ? Quelle est sa relation au religieux ? Quelle est la distinction entre le politique et la politique ?... Autant de questions auxquelles répond avec une grande clarté l'un des plus grands observateurs du monde contemporain, Marcel Gauchet, dans un entretien introductif à sa pensée et à son oeuvre.

Contenu : Cd1 : Last night. Nouvelle vague. Souvenirs, souvenirs. Daniela. Panne d'essence. Je bois du lait. Dactylo rock. Apache. Shakin' all over. Retiens la nuit. Sheila. Twist à saint tropez. Tous les garçons et les filles. J'entends siffler le train. Petit gonzales. Est-ce que tu le sais ?. Dans le train de nuit. Le grand m. L' idole des jeunes. Pour une amourette. J'irai twister le blues. Une petite fille. Le temps de l'amour. Belles, belles, belles. Elle est terrible. Cd2 : SLC twist. T'en va pas comme ça. Il a le truc. Da dou ron ron. Stalactite. Ne sois pas si bête. Pauvre petite fille riche. Be bop a lula. L' école est finie. Ma biche. Pour moi la vie va commencer. Le pantin. Demain tu te maries. Reviens vite et oublie. Même si je suis fou. Si j'avais un marteau. N'y pense plus tout est bien. D'accord, d'accord. N'écoute pas les idoles. Dans mes bras oublie ta peine. Viens sur la montagne. Allo maillot 36-37. A présent tu peux t'en aller. Un verre de whisky. Sur ton visage une larme. Cd3 : SLC surf. Le pénitencier. Laisse tomber les filles. Repose beethoven. Dans le temps. La nuit. Mon amie la rose. Toujours un coin qui me rappelle. On est les rois. Vous les copains. Va t'en va t'en. Le chef de la bande. Poupée de cire, poupée de son. Aline. Mes mains sur tes hanches. Capri c'est fini. Ces bottes sont faites pour marcher. La passionnata. Baby love. Même si tu revenais. Rien n'est changé. Où va-t-elle ?. Angélique. Les élucubrations d'antoine. Qui est 'in' qui est 'out'. Cd4 : SLC jerk. Et moi, et moi, et moi. Noir c'est noir. Céline. Bang bang. J'attendrai. Inventaire 66. 7 heures du matin. Alice. La musique. Apesanteur. Bébé requin. Comme d'habitude. Harley davidson. Le monde est gris, le monde est bleu. Tristesse. Je n'aurai pas le temps. Alouette. La cavalerie. Quelque chose tient mon coeur. Bonnie & clyde. Comme le fleuve aime la mer. Le responsable. Comment te dire adieu. Que je t'aime

Résumé : Portrait des multiples facettes de Florence Delay, traductrice, romancière, essayiste, interprète du "Procès de Jeanne d'Arc" de Robert Bresson, dans ses différents lieux de vie et d'écriture. Florence Delay, qui, dès le prologue, décline son identité en voix-off, se prête à l'exercice avec enthousiasme. Le premier volet du film, les prairies intérieures, explore sa vie intellectuelle et spirituelle : en premier lieu, la double identité qu'elle a acquise grâce à l'espagnol, la langue qu'elle traduit, et son attachement au Pays basque, où elle habite, à l'origine de l'écriture de son roman basque "Etxremendi". Elle se promène dans la prairie d'Iholdy, qu'elle décrit comme une image de son paysage intérieur idéal. La voix posée et cherchant les mots justes, le regard droit, Florence Delay parle aussi de sa relation à la religion, dont elle a " tendance à ne retenir que la joie ". Le réalisateur la montre discutant vivement avec le cardinal Roger Etchegaray des mots " foi ", " croyant ", " espérer ". De la religion à l'écriture, Florence Delay circule aisément. Lisant sa traduction de l'Évangile de Jean, elle parle du choix des mots, de la première phrase, qui est " un don, et du boulot ", de la transformation de l'idée en pensée grâce à l'écriture. Elle se livre à un éloge de la forme brève, la rapportant à son penchant naturel pour la joie. Penchant à l'œuvre avec le dévoilement d'un Nerval gai, joyeux, dans son essai "Dit Nerval", sur lequel revient J. B. Pontalis, directeur de la collection " L'un et l'autre " chez Gallimard. La deuxième partie du film, Face à l'autre, s'intéresse à la relation de Florence Delay au jeu, au théâtre. Elle revient sur l'expérience marquante de " dire les mots de Jeanne ", de les comprendre en les disant (ou bien plus tard), sur son amour passionné, encore perceptible, pour cet état de résistance qu'elle jouait. Elle rend un hommage ému aux qualités d'écriture de Bresson et se souvient avec intensité du tournage du film, dont sont présentés quelques extraits. Florence Delay aujourd'hui écrit et traduit pour le théâtre : on la voit travailler avec Jacques Roubaud sur une scène du Graal Théâtre et regarder la mise en scène par Christian Schiaretti de deux pièces de Calderón qu'elle a traduites. " Si je devais dire en quoi je crois, je répondrais la même phrase que Bergamin : j'ai foi en l'art, j'ai foi dans le jeu et j'ai foi en Dieu ".

Résumé : Les Presses Universitaires de France et Frémeaux & Associés proposent des cours particuliers sur l'histoire de la littérature française, racontée, expliquée et analysée par Alain Viala, professeur émérite à l'Université de Paris Sorbonne Nouvelle, avec des extraits lus par Daniel Mesguich, comédien, metteur en scène et écrivain. À l'issue de la Première Guerre mondiale, tout est à reconstruire. Le traumatisme collectif s'exorcise dans la littérature par un renouveau frénétique, une intensité de création, un désir de révolution. Partout, l'engagement politique et militant s'exprime, autant sur le fond que dans la forme, et vient façonner le besoin vital de créer de toute une génération. Gide, Colette, Aragon, Giono, Valéry, Céline, Éluard. Ce cours d'Alain Viala ouvre les portes de la compréhension d'une littérature remise dans son contexte et dévoile les délicats mécanismes inventés pour conquérir des espaces inconnus dans l'inconscient, dans la pensée, ou dans la beauté.

Contenu : CD 1 : Folias. Folie, par sa seule présence (La). Yo soy la locura. Folie est conduite (La). Origines de la folie. Folia (La). Son lieu de naissance, ses années d'enfance. Ses suivantes. Gamba (La). Des titres qu'a la folie ; Romanesca. Folia. Comment elle perpétue l'espèce humaine. Comment elle fait le bonheur. Si habra en este baldres. Des liens qui unissent. Las vacas. Comment elle prolonge l'enfance ; Folias antiguas. De la folie dans le monde. Browning, woodcock. Elle est necessaire ; Belle qui tiens. Il n'est point de mariage. Cucu, cucucu !. Folie est le bien (La). Todos los buenos soldados. Elle inspire les exploits guerriers ; Battaglia (La). De l'infériorité de cette même sagesse. Elle est mère des arts. Saltarello. Elle revendique la palme. Elle est un guide de sagesse. Folie et l'ignorance (La) ; Desperada. Spagna s. XV (La). Folie des rois. Folie des Evêques. Des rapports de la religion. Folie est le souverain bien (La) ; Dios te salve. Diferencias sobre las vacas. Adieu au lecteur. Hoy comamos y bevamos. CD 2 : Constantinople ottomane ; Muhayyer pesrev. Erasme sur la Guerre contres les Turcs. Taksim. Naissance à Rotterdam ; Une musique de Buscaye. Lorenzo da Medici à Florence ; A Florence la joyose cité. Adage : Fortune sourit aux audacieux (La) ; Fortuna. Erasme prononce ses voeux ; Audi, benigne conditor. Prince Djem au Vatican (Le) ; Taskim & danse. Expulsion des Juifs d'Espagne. Lavava y suspirava. Début du règne de Maximilien I ; Malor me bat. Séjour à Paris ; Benedic anima mea. Mort d'Ockeghem ; Epitaphe pour Jean d'Ockeghem. Déploration sur la mort d'Ockeghem (La). Mariage de Philippe le Beau et Juana la Loca ; Latura tu. Panégyrique de Philippe le Beau (Le) ; Adieu mes amours. Séjour en Angleterre ; Hélas madame. Adage : Amour rend musicien (L') ; De tous biens plaine. Naissance de Charles V ; In te domine speravi. Enchiridion ; Importance des classiques (L') ; Ave maris stella. Éloge de la folie, dédié à Thomas More, Henry VIII roi d'Angleterre, Puzzle-canon II (L'). Ligue de Cambrai ; Scaramella va alla guerra. Guerre parait douce à ceux qui n'en ont pas l'expérience (La). Danza alta. Séjour en Italie. Home again. CD 3 : Machiavel publie 'Il principe' ; Paduana del Re. Anon.. Prince de Machiavel (Le) ; Gallarda. Gesualdo. Conseiller du Duc Charles ; Spagna a 5 (La). Institution du Prince Chrétien ; Hymne. Ottomans envahissent la Syrie (Les) ; Rast Murass'a. Utopie : sur la justice et la prospérité sociale ; Puzzle-canon I. Séjour à Louvain ; Adoramus te domine. Complainte de la paix (La) ; Mille regretz. Ya es tiempo de recoger. Luther fixe ses 95 thèses ; Lettre de Luther à Erasme ; Psalm. Benedictus a 3. Lettre d'Erasme à Martin Luther ; In nomine a 5. Vingtcinquiesme fantasie a 4. Séjour à Bale ; Lettre de Luther à Erasme ; Christ ist erstanden. Erasme à Luther ; Diatribe du libre arbitre ; In nomine. Bataille de Pavie ; Voyage d'Erasme à Paris ; Bataille (La). Lettre d'Erasme à François 1er ; Pavane. Défaite des Ottomans devant Vienne ; Chant ottoman. Bâle passer à la Réforme ; Tu pauperum refugium. M. Luther à Erasme ; Du serf arbitre ; Christ log. Christ ist erstanden à 6. Adage : Mots sont les médecins des âmes malades (Les). Henry VIII fait exécuter Thomas More ; Nomine my death. 12 juillet Erasme meurt à Bâle ; Pie jesu domine. Mort d'Erasme (La). Plangite pierides. Legs spirituel d'Erasme (Le) ; Durezze e ligature. CD 4 : les musiques seules sans les récits. CD 5 : les musiques seules sans les récits. CD 6 : les musiques seules sans les récits

Résumé : "De tout temps, les hommes se sont infligés les uns les autres des violences destructrices, individuelles ou de masse. Quand elle n'y perd pas la vie, chaque victime en est profondément traumatisée. Lorsqu'il est possible d'y recourir s'engage alors parfois une thérapie où chacun va tenter de comprendre, de surmonter cette violence qui est entrée en lui avec fracas... La violence extrême intentionnelle ou organisée provoque des effets qui vont au-delà de l'effroi et de la douleur. Les repères qui soutenaient jusque-là l'individu sont détruits, les fondements de l'humanité même sont touchés". Le film suit le travail de thérapeutes qui, face à des victimes et des agressions très diverses se retrouvent confrontés au visage universel du traumatisme. Ainsi assistons-nous à quelques moments des séances de musicothérapie de Mya, 14 ans, avant le procès qui doit reconnaître son statut de victime d'abus sexuels de la part de son demi-frère. Le recours au son et au rythme dans la thérapie est une aide pour accéder à la parole lors du procès et se reconstruire. Christian Lachal, psychanalyste et ethnopsychiatre, responsable des programmes de santé mentale de MSF (Médecins sans frontières) visite des enfants rescapés, Ahmed Ala et Barra, de Raffah dans la Bande de Gaza lors de séances de thérapies familiales avec traducteur. "Quelquefois on est surpris parce qu'on a l'impression que les gens sont souriants. On les voit dans des maisons et on a presque l'impression que tout va bien ; alors qu'il y a des tirs à côté, des trous dans le mur. Il s'agit déjà d'une hyperadaptation par rapport à une situation anormale qui est une situation de guerre. Dans de telles situations les gens tentent de maintenir coûte que coûte la vie quotidienne. Cette nécessité permet aux populations de supporter l'insupportable." Christian Lachal souligne et interroge le fait que les enfants puissent grandir avec la violence (sans cesse réactivée par les événements, la guerre) sans qu'elle devienne le noyau de leur être, de leur personnalité. Stéphanie, 29 ans, violée à Paris, une après-midi, a décidé de suivre une psychothérapie avec Carole Damiani de l'association Paris Aide aux Victimes. Ce travail de reconstruction repose également sur le corps, comment la victime a vécu l'agression dans son corps, comment le corps a réagi, comment retrouver du plaisir. "Le travail est non seulement intellectuel (la thérapie) mais aussi un travail de sensations (retrouver des émotions corporelles) pour ensuite pouvoir les lier à des mots" (Carole Damiani). Pour Jean, survivant du génocide du Rwanda, réfugié puis adopté par une famille québécoise en 1999, la thérapie s'est engagée à l'hôpital de Montréal avec deux psychologues, Cécile Rousseau et Déogratias Bagilishya d'origine rwandaise. Ces quatre témoignages et le point de vue des différents thérapeutes montrent qu'après un traumatisme le retour comme avant est impossible, qu'il y a perte et deuil nécessaires d'une identité antérieure et émergence d'une nouvelle identité qui peut être fragmentée. "L'histoire de la violence humaine dans ses formes les plus extrêmes porte le jamais plus et la répétition. La conscience de notre côté lumière et de notre côté ombre suppose un position d'ambivalence par rapport à nous-mêmes et aux autres et nous permet, je pense, de devenir de meilleurs humains." (Cécile Rousseau)

Contenu : CD1 : Ça ira ; La Carmagnole / Cambon. La Marseillaise / Gérard Friedman. Le Chant du départ / Georges Thill. Monsieur le Comte d'Artois / Jean-Christophe Benoit. Le Tiers-Etat / Jean-Christophe Benoit. Considérations politiques de Mr. les notables de la halle au pain / Denise Benoit. La Prise de la Bastille / Sextuor de la Cité. Le chant du 14 juillet / Marcel Nobla. Ah ! Ça ira / Jean-Christophe Benoit. Allons Français, au Champ-de-Mars / Gérard Friedman. Not' bon roi s' plait z'à Paris / Marc Ogeret. Tombeau des aristocrates / Marc Ogeret. Le grand projet / Trio Chanteclair. Poursuite et retour de la famille ci-devant royale / Gérard Friedman. Peuple, éveille-toi / Chorale Populaire de Paris. Le bonnet de la liberté / Marc Ogeret. La souveraineté dévolue au peuple / Jean-Christophe Benoit. La Carmagnole / Marcel Nobla. L'émigrante noblesse / Denise Benoît. Adieu des Françaises / Francesca Solleville. Chanson grenadière / Francesca Solleville. Joie du peuple républicain / Paul Barré. Chant de guerre pour l'armée du Rhin (La Marseillaise) / Louis-Jacques Rondeleux. Complainte de Louis XVI aux Français (Ô mon peuple, que vous ai-je donc fait ?) / Jacques Dutey. Confession de Marie-Antoinette / Francesca Solleville. Les voyages du bonnet rouge / Francesca Solleville.. CD2 : Ah! ça ira III / arcel Nobla. La Carmagnole / Jean-Christophe Benoit & Chorale Populaire de Paris. La Marseillaise / Arlette Deguil. Le chant du départ / André Baugé. Veillons au salut de l'Empire (Hymne à la liberté) / Marcel Nobla. Le divorce / Francesca Solleville. Chanson sur la mort de Louis XVI (Vous savez que je fus roi) / J.C. Benoit Chorale Populaire de Paris. En 1793, le vingt-et-un du mois de janvier... / Catherine Maisse. La guillotine / Denise Benoit. Hymne à la raison / Marcel Nobla. Complainte de la mort de Marat / Trio Chanteclair. Le réveil du père Duchesne / Bernard Demigny. Les Sans-culottes / Catherine Ribeiro. Plantation de l'arbre de la liberté / Sextuor de la Cité. Hymne pour l'inauguration d'un temple de la liberté / Gérard Friedman. Le maximum / Paul Barré. Chanson de l'armée de Charette / J.C. Benoit. Nous n'avons qu'un temps à vivre / Sextuor de la Cité. En province comme à Paris (Alleluia) / Marcel Nobla. Le chant du départ / Arlette Deguil. Ode sur Bara et Viala / Gérard Friedman. Ode sur le vaisseau "Le Vengeur" / R. Hémon. Le salpêtre républicain / Marcel Nobla. Les canons ou La réponse au salpêtre / Marcel Vigneron. Conseils aux sans-culottes (Remettez vos culottes) / Bernard Demigny. La liberté des Nègres / Marc Ogeret .. CD3 : Ça ira, du film "Si Versailles m'était conté" / Edith Piaf. La Carmagnole / Toscani. La Marseillaise / Georges Thill. Le chant du départ / Gérard Friedman. Il pleut, il pleut bergère (L'orage) / Denise Benoît. Hymne à l'être suprême / Marcel Nobla. Les rois, les grands, les prêtres / Gérard Friedman. La complainte des émigrés / Catherine Perrier. La guillotine est un bijou... / Guy Severyns. Madame Guillotine a dit... / Guy Severyns. Dans les gardes françaises / Souris. Le réveil du peuple - Catherine Ribeiro. Chant funèbre en l'honneur de Féraud / Marcel Vigneron. Hymne des prisonniers du château du Taureau / Rosalie Dubois. Monsieur de Charette a dit (Prends ton fusil, Grégoire) / Marcel Nobla. La marche des Chouans (N'avez-vous souvenance, Bretons ?) / Marcel Nobla. Voeu des citoyens paisibles / Bernard Demigny. Chanson nouvelle (à l'usage des faubourgs) / Rosalie Dubois. Le Directoire / Bernard Demingy. La prise de Mantoue / Marcel Nobla. Hymne funèbre sur la mort du Général Hoche / Marcel Nobla. Les collets noirs / Bernard Demingy. Le Montagnard exilé (Combien j'ai douce souvenance) / Guy Severyns. Chant du retour, hymne pour la paix / Chorale Populaire de Paris. Colin et Colinette / Lionel Rocheman. Chant pour la fête de le Reconnaissance / Gérard Friedman. Ronde pour la plantation d'un arbre de la liberté / Marcel Vigneron. Femme sensible / André Baugé. La Marseillaise - Emma Calvé.

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