En automne 1984, Claude Simon vint à Madrid pour prononcer, à l’Institut Français, une conférence d’une implacable beauté sur la description chez Balzac comme élément de base dans la genèse d’une nouvelle forme de récit. À cette occasion, j’eus avec lui un entretien, publié dans El País, car je trouvais curieuse cette revendication qu’il faisait de Balzac, lui, un insigne représentant de ce que nous appelions « Nouveau Roman » (alors que ce dernier se réclamait beaucoup plus de Flaubert), et...