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Livre

Immunologie : le cours de Janis Kuby

Résumé

Présente les principes de l'immunologie en intégrant les dernières découvertes de ce domaine. Les notions difficiles sont explicitées par des schémas en couleur et illustrées par des encarts sur les applications cliniques. En fin de chapitres, des questions de révision sont proposées.


  • Autre(s) auteur(s)
  • Contributeur(s)
  • Éditeur(s)
  • Date
    • DL 2014
  • Notes
    • Traduit de l'américain
    • Glossaire. Index
  • Langues
    • Français
    • , traduit de : Anglais
  • Description matérielle
    • 1 vol. (XXI-800 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 30 cm
  • Collections
  • Titre(s) en relation
  • Sujet(s)
  • ISBN
    • 978-2-10-070543-6
  • Indice
    • 616.97(07) Immunologie clinique, maladies immunitaires. Manuels
  • Quatrième de couverture
    • Initialement rédigé par Janis Kuby, qui fut une enseignante prestigieuse, actualisé par des immunologistes de renom, cet ouvrage présente les principes de l'immunologie en intégrant les dernières découvertes du domaine.

      Les nombreux mécanismes de la réponse immunitaire et les différents types de cellules intervenant dans le système immunitaire sont décrits. Les données fondamentales de base sont enrichies des résultats de la recherche les plus récents et permettent de comprendre les mécanismes des dysfonctionnements à l'origine de nombreuses maladies. Les notions difficiles sont clairement explicitées par des schémas en couleur et illustrées par des encarts. En fin de chapitres, des questions de révision sont proposées, ainsi que des adresses de sites internet pour aller plus loin.

      Dans cette nouvelle édition profondément remaniée l'ordre des chapitres a été revu pour refléter la séquence des événements de la réponse immunitaire, les techniques d'analyse ont été actualisées et les questions de révision ont été renouvelées. Un nouveau chapitre, «La réponse immunitaire dans l'espace et le temps», resitue chaque événement de la réponse immunitaire dans une histoire complète en s'appuyant notamment sur les techniques d'imagerie les plus récentes.


  • Tables des matières
      • Kuby Immunologie

      • Judith A. Owen/Jenni Punt/Sharon A. Stranford

      • Dunod

      • À propos des auteurs V
      • Icônes utilisées dans ce livre VI
      • Liste des encarts XXI
      • Avant-propos XXIII
      • Remerciements XXVII
      • Avant-propos de l'édition française XXXI
      • Partie I Introduction
      • Chapitre 1 Vue d'ensemble du système immunitaire 1
      • Une perspective historique de l'immunologie 2
      • Les premiers essais de vaccination ont tracé la voie de l'immunologie2
      • La vaccination constitue un défi mondial permanent3
      • L'immunologie, ce n'est pas uniquement des vaccins et des maladies infectieuses4
      • L'immunité implique des éléments à la fois cellulaires et humoraux6
      • Comment les substances étrangères sont-elles reconnues par le système immunitaire ?9
      • Les concepts importants pour comprendre la réponse immunitaire chez les mammifères 11
      • Les pathogènes existent sous de nombreuses formes et doivent, en premier lieu, franchir les barrières naturelles12
      • La réponse immunitaire est rapidement ajustée pour faire face à l'attaque12
      • Les molécules de reconnaissance des pathogènes sont codées par la lignée germinale ou générées au hasard14
      • La tolérance empêche que le système immunitaire ne détruise l'hôte15
      • La réponse immunitaire est composée de deux bras interconnectés : l'immunité innée et l'immunité adaptative16
      • Les réponses immunitaires adaptatives génèrent une mémoire17
      • Le bon, la brute et le truand du système immunitaire 19
      • Des réponses immunitaires inappropriées ou dysfonctionnelles peuvent aboutir à tout un éventail de problèmes19
      • La réponse immunitaire rend la greffe de tissus difficile22
      • Le cancer représente un défi unique pour la réponse immunitaire22
      • Résumé 23
      • Références bibliographiques 23
      • Sites web utiles 24
      • Questions de révision 24
      • Chapitre 2 Cellules, organes et microenvironnements du système immunitaire 27
      • Les cellules du système immunitaire 27
      • Les cellules souches hématopoïétiques ont la capacité de se différencier en plusieurs types de cellules sanguines28
      • L'hématopoïèse est le processus par lequel les cellules souches hématopoïétiques se différencient en cellules sanguines matures32
      • Les cellules de la lignée myéloïde sont les premières à répondre à une infection33
      • Les cellules de la lignée lymphoïde régulent la réponse immunitaire adaptative37
      • Les organes lymphoïdes primaires - Lieu de maturation des cellules immunitaires 41
      • La moelle osseuse fournit des niches pour l'autorenouvellement et la différenciation des cellules souches hématopoïétiques en cellules myéloïdes et en lymphocytes B41
      • Le thymus est un organe lymphoïde primaire où les cellules T parviennent à maturité43
      • Les organes lymphoïdes secondaires - Lieu d'initiation de la réponse immunitaire 48
      • Les organes lymphoïdes secondaires sont répartis à travers le corps et partagent des caractéristiques anatomiques communes48
      • Les organes lymphoïdes sont connectés entre eux et aux autres tissus par deux systèmes circulatoires différents : le sang et la lymphe48
      • Le ganglion lymphatique est un organe lymphoïde secondaire très spécialisé50
      • La rate orchestre la réponse immunitaire contre les agents pathogènes véhiculés par le sang53
      • Les MALT organisent la réponse contre les antigènes qui pénètrent dans les tissus muqueux54
      • La peau est une barrière de l'immunité innée qui contient des tissus lymphoïdes57
      • Les tissus lymphoïdes tertiaires organisent et maintiennent la réponse immunitaire60
      • Résumé 60
      • Références bibliographiques 61
      • Sites web utiles 62
      • Questions de révision 62
      • Chapitre 3 Récepteurs et signalisation : les récepteurs des cellules B et T 65
      • Interaction ligand-récepteur 66
      • L'interaction récepteur-ligand a lieu via de multiples liaisons non covalentes66
      • Comment pouvons-nous quantifier les forces des interactions récepteur-ligand ?66
      • Les interactions entre le récepteur et son lignand peuvent être multivalentes67
      • Les niveaux d'expression des récepteurs et des ligands varient au cours de la réponse immunitaire68
      • Les concentrations des cytokines et d'autres ligands peuvent êtres localement très élevées68
      • Stratégies communément rencontrées dans de nombreuses voies de signalisation 69
      • La liaison d'un ligand peut induire des changements conformationnels, et/ou l'agrégation des récepteurs71
      • Certains récepteurs nécessitent des molécules accessoires pour activer la cellule71
      • L'agrégation des récepteurs induite par le ligand peut modifier la localisation du récepteur71
      • La phosphorylation des tyrosines est une étape précoce commune à de nombreuses voies de signalisation73
      • Les protéines adaptatrices rassemblent les éléments de la voie de signalisation74
      • La phosphorylation des résidus sérine ou thréonine est également une modalité courante de la signalisation74
      • La phosphorylation des phospholipides membranaires permet de relocaliser sur la membrane plasmique les protéines contenant des domaines PH75
      • Le signal induit par l'hydrolyse de PIP2via la PLC provoque une augmentation de la concentration cytoplasmique en ions calcium75
      • L'ubiquitination peut inhiber ou favoriser la transduction du signal76
      • Voies de signalisation les plus communes 77
      • La voie de la PLC induit un relargage calcique et l'activation de la PKC77
      • La cascade des kinases Ras/Map active la transcription via AP-178
      • La PKC active le facteur de transcription NF-KappaB79
      • La structure des anticorps 80
      • Les anticorps sont formés de plusieurs domaines Immunoglobuline80
      • Les anticorps partagent une structure commune formée de deux chaînes légères et deux chaînes lourdes81
      • Il existe deux principales classes de chaînes légères d'anticorps85
      • Il existe cinq principales classes de chaînes lourdes d'anticorps85
      • Les anticorps ou les fragments d'anticorps peuvent servir d'antigènes86
      • Chacun des domaines des chaînes lourdes et légères des anticorps a une fonction spécifique88
      • La cristallographie à rayons X a permis de définir les bases structurales de la liaison antigène anticorps90
      • La transduction du signal dans les lymphocytes B 91
      • La liaison de l'antigène entraîne le recrutement de molécules adaptatrices et d'enzymes sur le complexe membranaire BCR-IgAlpha/IgBêta92
      • Les lymphocytes B utilisent la plupart des cascades de signalisation précédemment décrites93
      • Les lymphocytes B reçoivent également des signaux via leurs corécepteurs95
      • Récepteur des lymphocytes T et signalisation 95
      • Le récepteur des lymphocytes T est un hétérodimère possédant des régions variables et constantes95
      • Le complexe de signalisation des lymphocytes T inclut le CD398
      • Les corécepteurs des lymphocytes T CD4 et CD8 lient également le CMH99
      • Lck est la première tyrosine kinase activée dans les cellules T100
      • Les lymphocytes T utilisent les mêmes stratégies de signalisation en aval que les cellules B100
      • Résumé 101
      • Références bibliographiques 102
      • Sites web utiles 102
      • Questions de révision 103
      • Chapitre 4 Récepteurs et signalisation : cytokines et chimiokines 105
      • Les propriétés générales des cytokines et des chimiokines 106
      • Les cytokines régulent l'activation, la prolifération et la différenciation de cellules cibles107
      • Les cytokines ont de nombreuses fonctions biologiques107
      • Les cytokines peuvent provoquer et maintenir l'activation de sous-populations de lymphocytes T spécifiques107
      • L'activation des cellules peut modifier l'expression de récepteurs et de molécules d'adhésion109
      • Les cytokines sont concentrées entre la cellule sécrétrice et la cellule cible110
      • La signalisation à travers de multiples récepteurs permet d'ajuster finement la réponse cellulaire111
      • Les six familles de cytokines et récepteurs associés 111
      • Les cytokines de la famille de l'IL-1 déclenchent les signaux pro-inflammatoires113
      • Les hématopoïétines (cytokines de classe I) présentent des motifs de structure tridimensionnelle communs, mais induisent différentes fonctions dans les cellules cibles116
      • La famille des interférons (cytokines de classe II) a été découverte la première119
      • Les membres de la famille du TNF peuvent donner des signaux de développement, d'activation, ou de mort123
      • La famille de l'IL-17, découverte récemment, regroupe des cytokines pro-inflammatoires127
      • Les chimiokines dirigent la migration des leucocytes à travers le corps129
      • Antagonistes des cytokines 133
      • L'antagoniste du récepteur de l'IL-1 bloque le récepteur de la cytokine IL-1133
      • Les antagonistes de cytokines peuvent provenir du clivage d'un récepteur de cytokine134
      • Certains virus ont développé des stratégies pour détourner l'activité des cytokines134
      • Maladies en relation avec les cytokines 134
      • Le choc septique est fréquent et potentiellement létal134
      • Le choc toxique bactérien est provoqué par les superantigènes qui induisent la production de cytokines par les lymphocytes T135
      • Implication des cytokines dans les cancers d'origine hématopoïétique137
      • Des tempêtes cytokiniques sont probablement à l'origine de nombreuses morts lors de l'épidémie de grippe espagnole en 1918137
      • Les utilisations thérapeutiques des cytokines et de leurs récepteurs137
      • Résumé 138
      • Références bibliographiques 138
      • Sites web utiles 139
      • Questions de révision 140
      • Partie II L'immunité innée
      • Chapitre 5 L'immunité innée 141
      • Les barrières anatomiques contre l'infection 143
      • Les barrières épithéliales protègent de l'entrée des pathogènes143
      • Les protéines et les peptides antimicrobiens tuent les envahisseurs145
      • La phagocytose 147
      • Les microorganismes pathogènes sont reconnus par des récepteurs situés sur les phagocytes147
      • Les pathogènes phagocytés sont tués par de multiples mécanismes151
      • La phagocytose contribue au recyclage des cellules et à l'élimination des cellules mortes152
      • Induction des réponses cellulaires innées 152
      • Les récepteurs cellulaires de reconnaissance des motifs moléculaires activent les réponses contre les pathogènes et les cellules endommagées153
      • Les récepteurs de type Toll reconnaissent de nombreux types de molécules sur les pathogènes153
      • Les récepteurs de lectines de type C lient des glucides à la surface des pathogènes extracellulaires158
      • Des récepteurs induits par l'acide rétinoïque lient l'ARN viral dans le cytosol des cellules infectées160
      • Les récepteurs de type NOD sont activés par une grande variété de PAMP, DAMP et d'autres substances délétères160
      • L'expression des protéines de l'immunité innée est induite par la signalisation via les PRR160
      • La réponse inflammatoire 166
      • L'inflammation résulte de réponses innées provoquées par une infection, une lésion tissulaire ou des substances délétères167
      • Les protéines de la phase aiguë contribuent à l'immunité innée et à l'inflammation168
      • Les cellules Natural Killer (NK) 168
      • Régulation des réponses innées et inflammatoires 169
      • Les réponses innées et inflammatoires peuvent être dangereuses169
      • Les réponses innées et inflammatoires sont régulées positivement et négativement172
      • Les pathogènes ont développé des mécanismes pour échapper aux réponses innées et inflammatoires173
      • Interactions entre immunité innée et adaptative 173
      • Le système immunitaire inné active et régule les réponses immunitaires adaptatives174
      • Les adjuvants activent les réponses immunitaires innées pour augmenter l'efficacité des immunisations176
      • Certains mécanismes d'élimination des pathogènes sont communs aux réponses immunitaires innées et adaptatives176
      • Ubiquité de l'immunité innée 177
      • Les plantes utilisent les réponses immunitaires innées pour combattre les infections177
      • Comparaison des réponses immunitaires innées des invertébrés et des vertébrés177
      • Résumé 180
      • Références bibliographiques 181
      • Sites web utiles 182
      • Questions de révision 182
      • Chapitre 6 Le système du complément 187
      • Les principales voies d'activation du complément 189
      • La voie classique est initiée par la fixation d'anticorps190
      • La voie des lectines est initiée quand des protéines solubles reconnaissent des antigènes microbiens195
      • La voie alterne peut être initiée de trois manières différentes196
      • Les trois voies d'activation du complément convergent vers la formation de C5 convertase200
      • C5 initie la formation du complexe d'attaque membranaire (CAM)200
      • Les différentes fonctions du complément 201
      • Les récepteurs du complément connectent les pathogènes «marqués» par le complément aux effecteurs cellulaires201
      • Le complément augmente les défenses de l'hôte contre les infections204
      • Le complément sert d'interface entre l'immunité innée et adaptative207
      • Le complément participe à la phase de contraction de la réponse immunitaire207
      • Le complément module l'élimination synaptique du CNS210
      • La régulation de l'activité du complément 210
      • L'activité du complément est régulée passivement par des protéines de la surface cellulaire210
      • Le C1-Inhibiteur, C1 INH, favorise la dissociation du complexe C1211
      • Les facteurs accélérateurs de la dissociation favorisent la dissociation des C3 convertases211
      • Le facteur I dégrade C3b et C4b212
      • La protectine inhibe l'attaque du CAM213
      • Les carboxypeptidases peuvent activer les anaphylatoxines C3a et C5a213
      • Les déficits en complément 213
      • Les stratégies microbiennes d'échappement au complément 214
      • Certains pathogènes interfèrent avec la première étape de l'activation du complément par les immunoglobulines215
      • Certains pathogènes fixent et inactivent des protéines du complément215
      • Des protéases microbiennes détruisent des protéines du complément215
      • Certains pathogènes imitent ou se lient à des protéines de régulation du complément215
      • L'évolution du système du complément 216
      • Résumé 219
      • Références bibliographiques 220
      • Sites web utiles 221
      • Questions de révision 221
      • Partie III L'immunité adaptative : récepteurs de l'antigène et CMH
      • Chapitre 7 Organisation et expression des gènes codant les récepteurs lymphocytaires 225
      • La structure énigmatique des gènes d'immunoglobuline 226
      • Les chercheurs ont proposé au départ deux modèles théoriques pour expliquer la génétique des anticorps226
      • Des percées expérimentales ont révélé que la chaîne légère est codée par de multiples segments de gènes227
      • L'organisation multigénique des gènes d'Ig 231
      • Les gènes de chaîne légère kappa comprennent des segments V, I et C231
      • Les gènes de chaîne légère lambda associent chaque segment J à un segment C particulier231
      • La structure du gène de chaîne lourde comprend des segments VH, D, JH et CH232
      • Le mécanisme de la recombinaison V(D)J 232
      • La recombinaison est guidée par les séquences signal233
      • Les segments de gènes sont réunis par la recombinase RAG1/2234
      • La recombinaison V(D)J aboutit à un gène de région variable d'Ig fonctionnel235
      • La recombinaison V(D)J peut se produire entre segments transcrits en sens identique ou opposé239
      • Cinq mécanismes engendrent la diversité des anticorps au sein des cellules B naïves239
      • Expression du récepteur des cellules B 242
      • L'exclusion allélique garantit que chaque cellule B ne synthétise qu'une seule paire de chaîne lourde et de chaîne légère242
      • La révision des récepteurs (editing) potentiellement autoréactifs se produit sur les chaînes légères243
      • La transcription des gènes d'Ig est strictement contrôlée244
      • Les cellules B matures expriment à la fois des récepteurs IgM et IgD par un processus d'épissage alternatif246
      • Les gènes des récepteurs des cellules T et leur expression 247
      • La compréhension de la structure protéique du TCR a été déterminante pour la découverte des gènes du TCR247
      • Le gène de chaîne Bêta a été découvert simultanément dans deux laboratoires différents249
      • La recherche du gène de la chaîne Alpha a conduit à la découverte inopinée du gène de la chaîne Gamma250
      • Les gènes du TCR subissent un processus de réarrangement très similaire à celui des gènes d'Ig251
      • L'expression du TCR est contrôlée par exclusion allélique253
      • L'expression des gènes de TCR est strictement contrôlée253
      • Résumé 256
      • Références bibliographiques 256
      • Sites web utiles 257
      • Questions de révision 258
      • Chapitre 8 Complexe majeur d'histocompatibilité et présentation de l'antigène 261
      • Structure et fonction des molécules du CMH 262
      • Les molécules du CMH de classe I sont constituées d'une chaîne lourde Alpha et d'une chaîne légère, la Bêta2-microglobuline262
      • Les molécules du CMH de classe II sont constituées de deux chaînes glycoprotéiques distinctes262
      • Les molécules du CMH de classe I et de classe II sont polymorphes au niveau de la région qui lie les peptides263
      • Organisation générale et transmission héréditaire du CMH 267
      • Les gènes du CMH codent trois classes majeures de molécules268
      • L'arrangement exon/intron des gènes du CMH de classe I et de classe II est un reflet de la structure en domaine des protéines correspondantes270
      • Les groupes d'allèles des gènes du CMH transmis héréditairement sont appelés haplotypes271
      • Les molécules du CMH sont exprimées de manière codominante271
      • Les molécules du CMH de classe I et de classe II présentent une diversité au niveau des espèces et au niveau individuel273
      • Conséquences fonctionnelles du polymorphisme du CMH276
      • Rôle et expression du CMH 278
      • Les molécules du CMH présentent des antigènes intracellulaires et extracellulaires278
      • Les molécules du CMH de classe I sont exprimées à la surface de toutes les cellules nucléées de l'organisme278
      • Les molécules du CMH de classe II sont principalement exprimées par les cellules présentatrices d'antigènes279
      • L'expression des molécules du CMH peut évoluer selon les situations279
      • Les lymphocytes T reconnaissent les peptides présentés par les molécules du CMH du Soi283
      • Preuve de l'existence de deux voies d'apprêtement et de présentation284
      • La voie endogène d'apprêtement et de présentation des antigènes 285
      • Les peptides destinés à être présentés par les molécules du CMH de classe I sont générés par le protéasome285
      • Transport des peptides du cytosol vers le réticulum endoplasmique rugueux (RER)286
      • Assemblage des peptides et des molécules du CMH de classe I287
      • La voie exogène d'apprêtement et de présentation des antigènes 288
      • Les peptides sont générés à partir des antigènes internalisés et dégradés dans des vésicules endocytaires288
      • La chaîne invariante guide le transport des molécules du CMH de classe II vers les vésicules endocytaires289
      • Les peptides s'assemblent aux molécules du CMH de classe II en déplaçant la protéine CLIP289
      • Présentation croisée d'antigènes exogènes 291
      • Les cellules dendritiques sont les principales cellules exerçant la présentation croisée292
      • Mécanismes et fonctions de la présentation croisée292
      • Présentation des antigènes non protéiques 293
      • Résumé 294
      • Références bibliographiques 295
      • Sites web utiles 295
      • Questions de révision 296
      • Partie IV L'immunité adaptative : développement
      • Chapitre 9 Le développement des lymphocytes T 299
      • Développement précoce des thymocytes 301
      • Les thymocytes passent par quatre stades double négatifs301
      • Les thymocytes peuvent exprimer soit un TCRAlphaBêta soit un TCRGammaDelta302
      • Les thymocytes DN subissent la sélection-Bêta aboutissant à leur prolifération et différenciation303
      • Sélections positive et négative 304
      • Les thymocytes «apprennent» la restriction au CMH dans le thymus305
      • Les cellules T subissent la sélection positive et négative305
      • La sélection positive assure la restriction au CMH307
      • La sélection négative (tolérance centrale) assure la tolérance au Soi310
      • Le paradoxe de la sélection : pourquoi n'éliminons-nous pas toutes les cellules que nous sélectionnons positivement ?312
      • Un modèle alternatif peut expliquer le paradoxe de la sélection thymique313
      • La sélection positive et la sélection négative ont-elles lieu au même stade de développement, ou de manière séquentielle ?314
      • L'engagement vers une lignée 314
      • Un certain nombre de modèles ont été proposés pour expliquer l'engagement vers une lignée314
      • Les lymphocytes double positifs peuvent se développer vers d'autres types de lymphocytes316
      • Sortie du thymus et maturation finale 316
      • Autres mécanismes de maintien de la tolérance au Soi 316
      • Les Treg régulent négativement les réponses immunitaires317
      • Des mécanismes de tolérance périphérique protègent aussi contre les thymocytes autoréactifs318
      • L'apoptose 318
      • L'apoptose permet aux cellules de mourir sans déclencher une réponse inflammatoire318
      • Différents stimuli peuvent initier l'apoptose, mais tous activent les caspases318
      • L'apoptose des cellules T périphériques est liée à la voie extrinsèque (Fas)320
      • La sélection négative dans le thymus induit la voie intrinsèque (via les mitochondries)321
      • Les membres de la famille Bcl-2 peuvent inhiber ou induire l'apoptose321
      • Résumé 324
      • Références bibliographiques 325
      • Sites web utiles 326
      • Questions de révision 327
      • Chapitre 10 Le développement des lymphocytes B 329
      • Les sites de l'hématopoïèse 330
      • Le site de production des cellules B change pendant la gestation330
      • L'hématopoïèse qui a lieu dans le foie foetal diffère de celle de la moelle osseuse332
      • Le développement des cellules B dans la moelle osseuse 332
      • Les stades de l'hématopoïèse sont définis par des marqueurs de surface, l'expression de facteurs de transcription et les réarrangements des gènes des immunoglobulines334
      • Les étapes précoces de la différenciation lymphocytaire aboutissent à la production d'un progéniteur lymphoïde commun337
      • Les étapes ultérieures du développement des cellules B résultent en l'engagement du phénotype B339
      • Les cellules B immatures de la moelle osseuse sont extrêmement sensibles à l'induction de la tolérance344
      • Beaucoup de cellules B autoréactives, mais toutes ne sont pas supprimées dans la moelle osseuse344
      • Les cellules B exportées de la moelle osseuse sont encore fonctionnellement immatures345
      • Les cellules B B-2 primaires et matures migrent vers les follicules lymphoïdes349
      • Le développement des cellules B-1 et des cellules B de la zone marginale 350
      • Les cellules B-1 dérivent du développement d'une lignée différente351
      • Les cellules de la zone marginale partagent des caractéristiques phénotypiques et fonctionnelles avec les cellules B-1 et surviennent au stade T2352
      • Comparaison du développement des cellules B et T 352
      • Résumé 354
      • Références bibliographiques 355
      • Questions de révision 356
      • Partie V L'immunité adaptative : réponses effectrices
      • Chapitre 11 Activation, différenciation et mémoire des lymphocytes T 357
      • L'activation des lymphocytes T et l'hypothèse des deux signaux 358
      • Les signaux de costimulation sont requis pour l'activation et la prolifération optimales des lymphocytes T359
      • L'anergie clonale résulte de l'absence d'un signal de costimulation362
      • Les cytokines fournissent le signal 3364
      • Les cellules présentatrices d'antigène ont des propriétés uniques de costimulation365
      • Les superantigènes constituent une classe spéciale d'activateurs des cellules T366
      • La différenciation des lymphocytes T 368
      • Les cellules T auxiliaires sont divisées en sous-populations distinctes370
      • La différenciation des sous-populations de cellules T auxiliaires est régulée par des cytokines polarisantes371
      • Les sous-populations de cellules T auxiliaires effectrices se distinguent par trois propriétés372
      • Les cellules T auxiliaires pourraient ne pas être irrévocablement engagées vers une lignée378
      • Les cellules T auxiliaires jouent des rôles clés dans l'homéostasie immunitaire et en pathologie378
      • La mémoire des lymphocytes T 379
      • Les lymphocytes T naïfs, effecteurs et mémoires présentent une grande différence phénotypique379
      • TCM et TEM se distinguent par leur localisation et leur engagement vers des fonctions effectrices380
      • Quand et comment les cellules mémoires apparaissent-elles ?380
      • Quel signal induit la génération de cellules mémoires ?381
      • Les cellules mémoires reflètent-elles l'hétérogénéité des cellules effectrices générées au cours de la réponse primaire ?381
      • Existe-t-il des différences entre les cellules mémoires T CD4 et T CD8 ?381
      • Comment les cellules mémoires peuvent-elles survivre plusieurs années ?381
      • Résumé 381
      • Références bibliographiques 382
      • Sites web utiles 383
      • Questions de révision 383
      • Chapitre 12 Activation, différenciation et mémoire des lymphocytes B 385
      • Les réponses cellulaires B thymo-dépendantes 388
      • Les antigènes thymo-dépendants requièrent l'aide de cellules TH pour engendrer une réponse humorale388
      • La reconnaissance de l'antigène procure un signal de survie aux cellules B matures389
      • Les cellules B rencontrent l'antigène dans les ganglions lymphatiques et dans la rate390
      • La reconnaissance de l'antigène provoque un étalement de la membrane de la cellule B391
      • Pourquoi les BCR s'agrègent-ils consécutivement à la liaison à l'antigène ?391
      • L'agrégation des BCR induit l'internalisation puis la présentation de l'antigène par la cellule B392
      • Les cellules B activées migrent pour trouver les cellules T spécifiques de l'antigène393
      • Les cellules B activées rejoignent les follicules pour former des centres germinatifs, ou migrent vers les espaces extrafolliculaires395
      • Les plasmocytes se forment au sein des foyers primaires395
      • D'autres cellules B activées gagnent les follicules et fondent un centre germinatif396
      • L'hypermutation somatique et la sélection par l'antigène se produisent dans le centre germinatif398
      • La commutation isotypique se produit dans le centre germinatif, après contact avec l'antigène401
      • La plupart des cellules B nouvellement formées sont éliminées à la fin de la réponse humorale primaire402
      • Certaines cellules du centre germinatif poursuivent leur maturation jusqu'au stade plasmocytaire403
      • La mémoire cellulaire B procure une réponse rapide et intense en cas de réinfection404
      • Les réponses cellulaires B thymo-indépendantes 406
      • Les antigènes T-indépendants stimulent la production d'anticorps sans nécessiter l'aide des cellules T406
      • Deux nouvelles sous-populations de cellules B prennent en charge la réponse aux antigènes T-indépendants407
      • La régulation négative des cellules B 411
      • Le signal négatif émis par le CD22 éteint la signalisation superflue du BCR411
      • La signalisation négative transmise par le récepteur FcGammaRIIB inhibe l'activation des cellules B411
      • Les cellules B-10 exercent un rôle de régulateur négatif en sécrétant de l'IL-10411
      • Résumé 412
      • Références bibliographiques 413
      • Sites web utiles 413
      • Questions de révision 414
      • Chapitre 13 Réponses effectrices : l'immunité effectuée par les cellules et les anticorps 415
      • Les fonctions effectrices des anticorps 416
      • Les anticorps induisent la clairance et la destruction des pathogènes de différentes manières416
      • Les fonctions effectrices des anticorps419
      • Les récepteurs Fc participent aux fonctions effectrices des anticorps423
      • Les réponses effectrices cellulaires 427
      • Les lymphocytes T cytotoxiques reconnaissent et éliminent les cellules infectées ou tumorales via l'activation de leurs récepteurs428
      • Les cellules Natural Killer reconnaissent et tuent les cellules infectées et les cellules tumorales par leur absence de CMH de classe !436
      • Les cellules NKT font le lien entre le système immunitaire inné et adaptatif441
      • Techniques de mesures de la cytotoxicité cellulaire 444
      • La co-culture de cellules T avec des cellules étrangères stimule la réaction mixte lymphocytaire444
      • L'activité des CTL peut être démontrée par la lyse à médiation cellulaire445
      • La réaction du greffon versus l'hôte est une indication, in vivo, d'une cytotoxicité à médiation cellulaire446
      • Résumé 446
      • Références bibliographiques 447
      • Sites web utiles 448
      • Questions de révision 448
      • Chapitre 14 La réponse immunitaire dans l'espace et le temps 451
      • Avant l'introduction de l'antigène 455
      • La circulation des lymphocytes naïfs entre les organes lymphoïdes secondaires et tertiaires455
      • Le scan des cellules stromales ganglionnaires par les lymphocytes461
      • La recherche de l'antigène le long des réseaux réticulaires461
      • Pendant la réponse innée 463
      • Le parcours des cellules présentatrices d'antigènes à travers les ganglions drainants pour présenter l'antigène aux cellules T464
      • Le transport des antigènes entiers non apprêtés aux zones B des ganglions465
      • Pendant la réponse adaptative 467
      • Les lymphocytes T CD4 naïfs s'immobilisent après l'engagement de leur TCR467
      • Les lymphocytes B viennent chercher l'aide des lymphocytes T CD4 à la frontière entre le follicule et le paracortex du ganglion468
      • L'imagerie dynamique et la controverse sur le comportement des lymphocytes B dans les centres germinatifs470
      • Les interactions multicellulaires favorisent l'activation des lymphocytes T CD8 dans les ganglions471
      • Les lymphocytes activés quittent le ganglion et recirculent472
      • Une synthèse de nos connaissances actuelles473
      • La contraction de la réponse immunitaire entre les 10e et 14e jours474
      • Le comportement des cellules immunitaires dans les tissus périphériques 474
      • Les intégrines et les récepteurs de chimiokines régulent la migration des lymphocytes effecteurs vers les tissus périphériques474
      • Les lymphocytes effecteurs réagissent à la présence de l'antigène dans de nombreux tissus475
      • Résumé 480
      • Références bibliographiques 481
      • Sites web utiles 482
      • Liens vers les vidéos 482
      • Questions de révision 483
      • Partie VI Le système immunitaire chez l'Homme sain et l'Homme malade
      • Chapitre 15 Allergies, hypersensibilités et inflammation chronique 485
      • L'allergie : une réaction d'hypersensibilité de type I 486
      • Les anticorps IgE sont responsables des hypersensibilités de type I487
      • De nombreuses allergies peuvent entraîner une réponse de type I487
      • Les anticorps IgE agissent en créant des ponts, en présence des allergènes, entre les récepteurs FcEpsilon à la surface des cellules immunitaires innées487
      • La signalisation via les récepteurs d'IgE est finement régulée491
      • Les cellules immunitaires innées produisent des molécules responsables des symptômes de l'hypersensibilité de type I491
      • Les hypersensibilités de type I sont caractérisées par des réponses précoces et tardives494
      • Il existe différentes catégories de réactions d'hypersensibilité de type I494
      • L'hypersensibilité de type I a une base génétique497
      • Diagnostic et traitements des réactions d'hypersensibilité de type I498
      • L'hypothèse hygiéniste a été émise pour expliquer l'augmentation de l'incidence des allergies501
      • Les réactions d'hypersensibilité induites par des anticorps (type II) 501
      • Des réactions de transfusion sont un exemple d'hypersensibilité de type II501
      • La maladie hémolytique du nouveau-né est provoquée par des réactions de type II503
      • L'anémie hémolytique peut être induite par des médicaments504
      • L'hypersensibilité induite par des complexes immuns (type III) 504
      • Les complexes immuns peuvent altérer les tissus505
      • L'hypersensibilité liée aux complexes immuns peut guérir spontanément505
      • Des autoantigènes peuvent être impliqués dans les réactions dues aux complexes immuns505
      • Les réactions d'Arthus sont des réactions d'hypersensibilité de type III localisées506
      • L'hypersensibilité retardée (DTH de type IV) 506
      • Le démarrage d'une réponse DTH de type IV implique la sensibilisation par un antigène507
      • La phase effectrice d'une réponse DTH classique est induite par une seconde exposition à un antigène sensibilisant507
      • Détection de la réaction DTH par un test cutané508
      • La dermatite de contact est un type de réponse DTH508
      • L'inflammation chronique 509
      • Des infections persistantes peuvent induire une inflammation chronique509
      • Il existe des causes non infectieuses à l'inflammation chronique510
      • L'obésité est associée à une inflammation chronique510
      • L'inflammation chronique peut provoquer des maladies systémiques510
      • Résumé 513
      • Références bibliographiques 515
      • Sites web utiles 515
      • Questions de révision 516
      • Chapitre 16 Tolérance, autoimmunité et greffe 517
      • Établissement et maintien de la tolérance 518
      • La séquestration de l'antigène est un moyen de protéger les antigènes du Soi contre une attaque par le système immunitaire519
      • La tolérance centrale limite le développement de cellules T et B autoréactives520
      • La tolérance périphérique contrôle les cellules autoréactives circulantes520
      • Autoimmunité 526
      • Maladies autoimmunes spécifiques d'organes526
      • Maladies autoimmunes systémiques529
      • Des facteurs intrinsèques et extrinsèques augmentent la susceptibilité aux maladies autoimmunes531
      • Un certain nombre de mécanismes ont été proposés pour l'induction de l'autoimmunité533
      • Des maladies autoimmunes peuvent être traitées par immunosuppression générale ou spécifique534
      • Immunologie des greffes 536
      • Bases immunologiques du rejet de greffe537
      • La cinétique des différentes étapes du rejet de greffe est prédictible542
      • Un traitement immunosuppresseur peut être soit général, soit spécifique d'une cible543
      • La tolérance immunitaire aux allogreffes est favorisée dans certaines circonstances545
      • Certains organes sont plus faciles à transplanter que d'autres547
      • Résumé 549
      • Références bibliographiques 550
      • Sites web utiles 551
      • Questions de révision 551
      • Chapitre 17 Maladies infectieuses et vaccination 553
      • Réponse innée anti-infectieuse et rôle des barrières physiologiques 554
      • Infections virales 555
      • De nombreux virus sont neutralisés par les anticorps556
      • Les réponses cellulaires sont importantes pour le contrôle et l'élimination du virus556
      • Les virus peuvent échapper aux mécanismes de défense de l'hôte556
      • La grippe a été responsable de pandémies parmi les plus importantes de l'Histoire557
      • Infections bactériennes 561
      • Des réponses immunitaires différentes contre les bactéries extracellulaires et les bactéries intracellulaires561
      • Échappement des bactéries aux mécanismes de défense de l'hôte563
      • La tuberculose est principalement contrôlée par les lymphocytes T CD4564
      • La diphtérie (Corynebacterium diphteriae) peut être contrôlée par immunisation avec un toxoïde inactivé565
      • Maladies parasitaires 565
      • Les parasites protozoaires sont à l'origine de nombreuses maladies dans le monde565
      • Diverses maladies sont dues à des vers parasites (helminthes)569
      • Les maladies fongiques 569
      • L'immunité innée contrôle la plupart des infections fongiques571
      • L'immunité adaptative contre les infections fongiques peut être acquise571
      • Maladies infectieuses émergentes et réémergentes 572
      • De nouvelles maladies infectieuses sont réapparues récemment572
      • Des maladies peuvent réémerger pour des raisons variées574
      • Vaccins 574
      • L'immunité protectrice peut être obtenue par immunisation active ou immunisation passive574
      • Il existe différentes stratégies de vaccination avec leurs avantages et leurs inconvénients578
      • Les vaccins conjugués ou multivalents améliorent l'immunogénicité et les réponses584
      • Des adjuvants sont ajoutés aux vaccins afin d'améliorer la réponse immunitaire585
      • Résumé 587
      • Références bibliographiques 587
      • Sites web utiles 588
      • Questions de révision 588
      • Chapitre 18 Les déficits immunitaires 593
      • Les déficits immunitaires primitifs 593
      • Les déficits immunitaires combinés perturbent l'immunité adaptative596
      • Les déficits immunitaires des lymphocytes B sont associés à une diminution de la production d'un ou plusieurs isotypes d'anticorps601
      • Des anomalies des composants de l'immunité innée peuvent aussi perturber les réponses adaptatives601
      • Les déficits en complément sont relativement fréquents603
      • Un déficit immunitaire qui perturbe les mécanismes régulateurs peut se manifester par de l'autoimmunité603
      • Les déficits immunitaires sont traités par thérapie de remplacement604
      • Les modèles animaux de déficit immunitaire ont été utilisés en immunologie fondamentale604
      • Les déficits immunitaires secondaires 606
      • L'épidémie de SIDA est responsable de millions de morts à travers le monde607
      • Le rétrovirus VIH est l'agent causal du SIDA608
      • Le VIH-1 se transmet par contact intime avec des fluides corporels610
      • Les études in vitro ont révélé la structure et le cycle de vie du VIH-1612
      • L'infection par le VIH-1 provoque une dégradation progressive de la fonction immunitaire615
      • Les recherches actuelles portent sur les mécanismes de progression vers le SIDA616
      • Des médicaments qui inhibent la réplication rétrovirale619
      • Seul un vaccin permettrait d'arrêter l'épidémie de SIDA621
      • Résumé 623
      • Références bibliographiques 623
      • Sites web utiles 624
      • Questions de révision 624
      • Chapitre 19 Cancer et système immunitaire 627
      • Cancer : origine et terminologie 627
      • La transformation maligne 628
      • Des altérations de l'ADN peuvent induire une transformation maligne628
      • La découverte des oncogènes, une clef dans la compréhension du développement des cancers629
      • Les gènes associés au cancer sont impliqués dans la survie et la prolifération cellulaire629
      • La progression cancéreuse : un processus en plusieurs étapes633
      • Les antigènes de tumeur 633
      • Les antigènes spécifiques de tumeurs ont une expression restreinte aux cellules tumorales634
      • Les antigènes associés aux tumeurs sont des protéines normales avec un profil d'expression particulier636
      • La réponse immunitaire antitumorale 638
      • L'immunoédition peut à la fois protéger et favoriser la croissance tumorale638
      • Les principaux mécanismes immunologiques permettant l'élimination du cancer ont été identifiés639
      • Certaines réponses inflammatoires sont protumorales642
      • Les cellules tumorales peuvent échapper au système immunitaire643
      • L'immunothérapie des cancers 644
      • Les anticorps monoclonaux permettent de cibler les cellules tumorales644
      • Utilisation des cytokines pour augmenter la réponse immunitaire antitumorale646
      • Utilisation des lymphocytes T spécifiques de tumeurs amplifiés in vitro et réinjectés aux patients647
      • Les nouveaux vaccins thérapeutiques peuvent augmenter les réponses immunitaires antitumorales647
      • La manipulation des molécules de costimulation peut améliorer l'immunité antitumorale647
      • L'association de plusieurs thérapies donne des résultats encourageants648
      • Résumé 649
      • Références bibliographiques 650
      • Sites web utiles 650
      • Questions de révision 651
      • Partie VII Méthodes expérimentales
      • Chapitre 20 Systèmes expérimentaux et méthodes 653
      • La production d'anticorps 654
      • Les anticorps polyclonaux sont sécrétés par des clones multiples de cellules B spécifiques d'antigènes654
      • Un anticorps monoclonal est le produit d'une seule cellule B stimulée654
      • Les anticorps monoclonaux modifiés pour l'utilisation en laboratoire ou en clinique655
      • Les techniques basées sur l'immunoprécipitation 656
      • L'immunoprécipitation en solution656
      • L'immunoprécipitation d'antigènes solubles en gel656
      • L'immunoprécipitation permet la caractérisation de molécules exprimées par des cellules657
      • Les réactions d'agglutination 657
      • Les réactions d'hémagglutination permettent de détecter n'importe quel antigène lié à la surface des globules rouges658
      • Les réactions d'inhibition de l'hémagglutination permettent de doser des virus et des anticorps antiviraux658
      • Les agglutinations bactériennes permettent de doser des anticorps antibactériens658
      • Les dosages d'anticorps basés sur la liaison à des supports solides 659
      • Les dosages radio-immunologiques permettent de mesurer les concentrations en protéines des fluides corporels659
      • Les dosages ELISA utilisent des anticorps ou des antigènes liés de manière covalente à des enzymes660
      • La conception d'un ELISA doit tenir compte de diverses options méthodologiques661
      • Des tests ELISA, appelés ELISPOT, quantifient les molécules sécrétées par des cellules662
      • Le Western blot permet d'identifier une protéine spécifique dans un mélange complexe de protéines663
      • Les méthodes pour déterminer l'affinité des interactions antigène-anticorps 664
      • La dialyse à l'équilibre permet de mesurer l'affinité d'un anticorps pour un antigène665
      • La résonance plasmonique de surface est maintenant communément utilisée pour les mesures de l'affinité d'un anticorps666
      • Visualisation microscopique des cellules et des structures subcellulaires 668
      • L'immunocytochimie et l'immunohistochimie utilisent des anticorps couplés à une enzyme sur des tissus fixés668
      • La microscopie électronique utilise des particules d'or pour visualiser des antigènes668
      • Les techniques d'imagerie basées sur l'immunofluorescence 668
      • La fluorescence permet de visualiser des cellules et des molécules668
      • L'immunofluorescence utilise des anticorps couplés à des sondes fluorescentes669
      • La microscopie confocale à fluorescence fournit des images en trois dimensions d'une précision extraordinaire669
      • La microscopie multiphotonique est une variante de la microscopie confocale669
      • L'imagerie intravitale permet l'observation de réponses immunitaires in vivo670
      • La cytométrie en flux 670
      • Le tri magnétique de cellules 673
      • Analyse du cycle cellulaire 673
      • L'incorporation de thymidine tritiée (H3) a été l'une des premières méthodes pour évaluer la division cellulaire676
      • Les tests colorimétriques de mesure de la division cellulaire sont rapides et permettent de ne plus utiliser d'isotopes radioactifs677
      • Les analyses de division cellulaire basées sur le bromodéoxyuridine utilisent des anticorps pour détecter l'ADN nouvellement synthétisé678
      • L'iodure de propidium permet d'analyser le cycle cellulaire678
      • Le carboxy-fluorescéine succinimidyl ester permet de suivre la division cellulaire678
      • Les tests de mort cellulaire 679
      • Le test de libération du Cr51 a été le premier test utilisé pour mesurer la mort cellulaire679
      • L'annexine V couplée à de la fluorescence mesure la phosphatidylsérine dans l'enveloppe lipidique externe des cellules apoptotiques679
      • Le test TUNEL mesure la fragmentation de l'ADN générée lors de l'apoptose679
      • Les tests utilisant les caspases mesurent l'activité des enzymes impliquées dans l'apoptose680
      • Les approches biochimiques permettant l'analyse des voies de transduction du signal 680
      • Des inhibiteurs biochimiques sont souvent utilisés pour identifier les intermédiaires de voies de signalisation681
      • Plusieurs méthodes sont utilisées pour identifier les protéines qui interagissent avec des molécules d'intérêt681
      • Les systèmes expérimentaux sur animal entier 682
      • La recherche sur l'animal est sujette à des directives qui protègent les sujets de recherche non humains682
      • Les lignées de souris recombinantes peuvent réduire les variations expérimentales682
      • Les lignées congéniques résistantes sont utilisées pour étudier les effets des gènes sur les réponses immunitaires683
      • Des expériences de transfert adoptif permettent l'étude in vivo de populations de cellules isolées684
      • Les animaux transgéniques portent des gènes qui ont été introduits artificiellement684
      • Les technologies de knock-in et de knock-out permettent de remplacer un gène endogène par sa copie non fonctionnelle ou artificielle684
      • Le système Cre/lox permet la délétion de gènes inductibles dans des tissus sélectionnés687
      • Résumé 689
      • Références bibliographiques 690
      • Questions de révision 691
      • Annexe I Antigènes CD 693
      • Annexe II Cytokines 723
      • Annexe III Chimiokines et récepteurs de chimiokines 729
      • Glossaire 731
      • Réponses aux questions de révision 751
      • Index 779

  • Origine de la notice:
    • FR-751131015
  • Disponible - 616.97(07) KUB

    Niveau 3 - Médecine