par Zevi, Bruno (1918-2000)
Éditions du Linteau
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Disponible - 72.02 ZEV
Niveau 3 - Arts
Résumé
Initialement publié en 1996 pour clore une série d'études sur l'histoire de l'architecture en Italie, cet ouvrage fait un parallèle entre l'architecture populaire ou vernaculaire et les dialectes italiens. ©Electre 2016
- Contributeur(s)
- Éditeur(s)
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Date
- DL 2016
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Notes
- Bibliogr. p. 137-139
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Langues
- Français
- , traduit de : Italien
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Description matérielle
- 1 vol. (149 p.) : ill. ; 18 cm
- Titre(s) en relation
- Sujet(s)
- Lieu
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ISBN
- 978-2-910342-94-4
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Indice
- 72.02 Architecture, théorie
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Quatrième de couverture
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Un livre est très important. Personne n'a jamais payé le vrai prix d'un livre ; on ne paie que l'impression. Un livre est un don et doit être considéré comme tel. Accorder attention et estime à l'auteur renforce la puissance de l'écriture.
En poésie, les dialectes sont parfois le support de l'inspiration : Pasolini, entre autres, écrivait ses poèmes en dialecte frioulan.
Pourquoi n'en est-il pas de même en architecture ? Pourquoi ne pas utiliser des dialectes urbains ? des jargons architecturaux ? des patois spatiaux ? Telles furent les idées qui guidèrent l'auteur lors de la construction des quartiers neufs de Matera dans l'Italie méridionale.
« Le livre, comme livre, appartient à l'auteur, mais comme pensée, il appartient - le mot n'est pas trop vaste - au genre humain. Toutes les intelligences y ont droit. Si l'un des deux droits, le droit de l'écrivain et le droit de l'esprit humain, devait être sacrifié, ce serait, certes, le droit de l'écrivain, car l'intérêt public est notre préoccupation unique, et tous, je le déclare, doivent passer avant nous. »
Victor Hugo,
Discours d'ouverture du Congrès littéraire international, 1878.
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Origine de la notice:
- FR-751131015
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Disponible - 72.02 ZEV
Niveau 3 - Arts
