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Livre

Diagnostics difficiles en médecine interne. Volume 2

Résumé

Guide pour l'aide au diagnostic de différentes affections à l'attention des internistes, des généralistes et des spécialistes d'un organe. Il aborde les fièvres inexpliquées, les pathologies inflammatoires, les questions hépato-gastroentérologiques ainsi que les problématiques pneumologiques et cardiovasculaires. Des thématiques transversales et biologiques sont également traitées. ©Electre 2018


  • Contributeur(s)
  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2018
  • Notes
    • Index
  • Langues
    • Français
  • Description matérielle
    • 1 vol. (XXIX-618 p.) : ill. en coul. ; 26 cm
  • Titre(s) d'ensemble
  • Sujet(s)
  • ISBN
    • 978-2-224-03503-7
  • Indice
    • 616 Pathologie générale
  • Tables des matières
      • Diagnostics difficiles en médecine interne

      • Pascal Sève

      • Maloine

      • PréfaceV
      • SommaireVII
      • Listes des collaborateursVIII
      • Algies diffuses1
      • Introduction 1
      • I. Orientation diagnostique 1
      • A. Données cliniques1
      • B. Examens complémentaires4
      • II. Diagnostic étiologique 4
      • A. Algies diffuses aiguës4
      • B. Algies diffuses subaiguës ou chroniques10
      • Conclusion 19
      • Références 19
      • Interprétation d'une élévation de la créatine phosphokinase23
      • Introduction 23
      • I. Quelques rappels biochimiques 24
      • II. Notions à prendre en compte avant de décider de la stratégie diagnostique 24
      • A. Prévalence de l'hyperCPKémie24
      • B. Quelle valeur normale pour la CPK ?25
      • C. Élévation modérée de la CPK (1,5 à 3 fois la normale) et conditions associées25
      • D. Élévation importante de la CPK (> 3 fois la normale)26
      • III. Causes d'élévation de la CPK dans un contexte aigu d'urgence 26
      • A. Origine cardiaque26
      • B. Rhabdomyolyse aiguë26
      • C. Épilepsie généralisée29
      • IV. Causes d'élévation transitoire répétée de la CPK et démarche diagnostique 29
      • V. Causes d'élévation persistante de la CPK 29
      • A. Dans un contexte inflammatoire30
      • B. Pas de contexte inflammatoire30
      • VI. Que faire devant une élévation de la CPK persistante sans aucun élément d'orientation ? 33
      • A. Recherche de macroenzymes34
      • B. Intérêt de l'électromyogramme34
      • C. Intérêt de l'imagerie34
      • D. Intérêt des explorations métaboliques34
      • E. Dépistage de la maladie de Pompe34
      • F. Intérêt de la biologie moléculaire35
      • G. Intérêt de la biopsie musculaire35
      • H. L'hyperCPKémie idiopathique, diagnostic d'élimination35
      • Références 36
      • Diarrhées chroniques39
      • Introduction 39
      • I. Interrogatoire et examen physique 40
      • II. Explorations biologiques de première intention 42
      • A. Place de la calprotectine fécale dans l'exploration d'une diarrhée chronique et précautions d'interprétation44
      • B. Place des explorations de la fonction digestion-absorption dans l'exploration d'une diarrhée chronique44
      • III. Diarrhée chronique lésionnelle et/ou par entéropathie exsudative 46
      • A. Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (MICI)46
      • B. Entéropathies exsudatives46
      • IV. Diarrhées chroniques par malabsorption 47
      • A. La maladie coeliaque (entéropathie au gluten)48
      • B. La maladie de Whipple49
      • C. La maladie de Crohn étendue du grêle49
      • D. La colonisation chronique bactérienne du grêle49
      • E. Les entéropathies auto-immunes50
      • F. L'amylose digestive50
      • G. La maladie des chaînes lourdes alpha (lymphome méditerranéen)50
      • V. Diarrhée chronique hydroélectrolytique 51
      • A. La diarrhée motrice51
      • B. La diarrhée osmotique52
      • C. La diarrhée sécrétoire53
      • Conclusion 54
      • Références 54
      • Douleurs abdominales57
      • Introduction 57
      • I. Rappels cliniques et physiopathologiques 59
      • II. Douleurs d'origine intra-abdominale 60
      • A. Étiologies péritonéales60
      • B. Étiologies hépatiques61
      • C. Étiologies vasculaires64
      • D. Neuropathies et myopathies entériques66
      • E. Autres causes intra-abdominales66
      • III. Douleurs à projection abdominale 67
      • A. Douleurs pariétales67
      • B. Douleurs neurologiques68
      • C. Douleurs d'origine thoracique69
      • D. Douleurs d'origine urologique69
      • E. Douleurs d'origine rétropéritonéale non urologiques69
      • F. Douleurs d'origine gynécologique70
      • IV. Douleurs d'origine générale 70
      • A. Causes iatrogènes ou toxiques70
      • B. Porphyries71
      • C. Oedème angioneurotique72
      • D. Fièvres récurrentes héréditaires73
      • E. Maladie sérique74
      • F. Drépanocytose et autres hémolyses74
      • G. Douleurs abdominales de cause métabolique ou endocrinienne75
      • H. Vascularites et connectivites77
      • I. Étiologies diverses77
      • Conclusion 78
      • Références 78
      • Dyspnées de diagnostic difficile81
      • I. Signification et mécanisme de la dyspnée 81
      • II. Approche diagnostique des dyspnées 83
      • A. Étiologie et caractéristiques générales83
      • B. Approche quantitative84
      • C. Modifications positionnelles de la dyspnée85
      • D. Examen du patient dyspnéique85
      • III. Obstruction des voies de conduction aérienne 87
      • A. Asthme et faux asthmes87
      • B. BPCO, emphysème et bronchiolite89
      • IV. Pneumopathies infiltrantes diffuses 91
      • A. Infections pulmonaires92
      • B. Pneumopathies d'hypersensibilité92
      • C. Pneumopathies interstitielles idiopathiques92
      • D. Pneumopathie interstitielle diffuse des connectivites94
      • E. Syndrome emphysème-fibrose94
      • F. Lymphangite carcinomateuse métastatique95
      • G. Lymphangioléiomyomatose et autres maladies kystiques pulmonaires multiples95
      • H. Syndromes hémorragiques alvéolaires95
      • I. Fibroélastose pleuropulmonaire parenchymateuse96
      • J. Autres pneumopathies infiltrantes diffuses96
      • K. Manifestations pulmonaires iatrogéniques ou toxiques97
      • V. Maladies vasculaires pulmonaires 97
      • A. Embolies pulmonaires fibrinocruoriques aiguës97
      • B. Thromboembolie pulmonaire chronique97
      • C. Autres embolies et obstructions vasculaires pulmonaires98
      • D. Sténoses non tumorales98
      • E. Hypertension pulmonaire99
      • VI. Shunt droite-gauche 100
      • A. Malformations artérioveineuses pulmonaires100
      • B. Shunt au niveau alvéolaire100
      • C. Shunt intracardiaque100
      • D. Syndrome hépatopulmonaire101
      • VII. Insuffisance cardiaque 101
      • A. Cardiopathies non dilatées103
      • B. Péricardites constrictives103
      • C. Tumeurs cardiaques103
      • D. Oedème pulmonaire et insuffisance rénale103
      • VIII. Maladies neurologiques musculaires et/ou diaphragmatiques 104
      • IX. Déconditionnement à l'effort 105
      • X. Dyspnées à composante psychogène 105
      • A. Dyspnée comportementale, syndrome d'hyperventilation105
      • B. Syndrome de panique106
      • C. Dyspnée factice106
      • D. Composante psychogène des dyspnées d'étiologie organique107
      • XI. Dyspkinésies respiratoires des troubles neurologiques extrapyramidaux 107
      • XII. Dyspnées multifactorielles 107
      • Conclusion 107
      • Références 107
      • Éléments traces109
      • I. Définition 109
      • II. Le zinc 110
      • A. Rôles physiologiques du zinc110
      • B. Déficit en zinc110
      • C. Toxicité du zinc113
      • III. Le cuivre 114
      • A. Absorption et élimination du cuivre114
      • B. Rôles physiologiques du cuivre114
      • C. Déficit en cuivre114
      • D. Conséquences cliniques d'une carence en cuivre115
      • E. Toxicité du cuivre116
      • IV. Le sélénium 116
      • A. Sources alimentaires et besoins116
      • B. Rôles physiologiques du sélénium117
      • C. Étiologie des carences et populations à risque117
      • D. Conséquences cliniques du déficit en sélénium117
      • E. Toxicité du sélénium119
      • V. Le manganèse 119
      • A. Rôle physiologique du manganèse119
      • B. Déficit en manganèse119
      • C. Conséquences cliniques du déficit en manganèse120
      • D. Toxicité du manganèse120
      • VI. L'aluminium 121
      • Toxicité de l'aluminium122
      • VII. Les autres éléments traces 123
      • Références 123
      • Fièvres prolongées inexpliquées127
      • Introduction 127
      • A. Définitions127
      • B. Un bilan initial optimisé ou comment éviter qu'une fièvre prolongée devienne expliquée ?128
      • I. Aspects étiologiques des FPI 130
      • A. Fréquence des étiologies130
      • B. Causes infectieuses133
      • C. Fièvres néoplasiques (tumeurs solides et hémopathies)136
      • D. Maladies inflammatoires non infectieuses138
      • E. Causes diverses141
      • F. Absence de cause145
      • II. Démarche diagnostique devant une FPI 145
      • A. Étape clinique145
      • B. Examens complémentaires147
      • III. Évolution et traitements d'épreuve 150
      • A. Évolution quand la cause de la fièvre prolongée est connue151
      • B. Évolution en l'absence de diagnostic final151
      • C. Traitements d'épreuve151
      • IV. Les fièvres intermittentes 151
      • Références 153
      • Fièvre au retour de voyage en zone tropicale157
      • Introduction 157
      • I. Démarche étiologique 158
      • A. Données fournies par l'interrogatoire158
      • B. Données fournies par l'examen clinique159
      • C. Données fournies par le bilan biologique non spécifique160
      • D. Données fournies par le bilan biologique spécifique161
      • II. Principales étiologies et principes de prise en charge 162
      • III. Quelques étiologies méconnues 163
      • Conclusion 165
      • Références 165
      • Fièvre chez l'immunodéprimé167
      • I. Définition de la fièvre dans un contexte d'immunodépression 168
      • II. Mécanismes des complications infectieuses dans un contexte d'immunodépression 168
      • III. Situations d'urgence thérapeutique : l'aplasie et l'asplénie fébriles 168
      • IV. Les aspects microbiologiques à retenir dans les différentes populations d'immunodéprimés 169
      • A. Les bactéries169
      • B. Les virus171
      • C. Les infections fongiques172
      • D. Les infections parasitaires173
      • V. Risque infectieux associé aux biothérapies 173
      • VI. Autres étiologies de fièvre chez les immunodéprimés 174
      • VII. Approche clinique du patient immunodéprimé fébrile 175
      • A. Les données anamnestiques175
      • B. Examen d'un patient immunodéprimé fébrile177
      • C. Les signes cutanés177
      • D. Les manifestations ORL, ophtalmologiques et stomatologiques179
      • E. Les signes digestifs180
      • F. Les signes pulmonaires180
      • G. Les manifestations neurologiques181
      • H. Les manifestations néphro-urologiques181
      • VII. Examens paracliniques 181
      • A. Examens microbiologiques à prescrire en première intention182
      • B. Outils utiles à la détection de virus182
      • C. Diagnostic des infections fongiques et parasitaires183
      • D. Examens orientés ou dits de seconde intention183
      • Références 184
      • Hépatomégalie et masse hépatique187
      • I. Définition 187
      • II. Estimation de l'hépatomégalie 187
      • III. Données cliniques et paracliniques incontournables pour le diagnostic étiologique de l'hépatomégalie 188
      • A. Hépatomégalie diffuse189
      • B. Hépatomégalies tumorales195
      • Références 199
      • Hypercalcémie203
      • Introduction 203
      • I. Physiopathologie 203
      • II. Manifestations cliniques 205
      • A. Signes digestifs205
      • B. Signes cardiovasculaires206
      • C. Signes neuromusculaires206
      • D. Atteinte rénale206
      • E. Autres signes cliniques206
      • III. Étiologies des hypercalcémies 207
      • A. Hypercalcémies dépendantes de la PTH207
      • B. Hypercalcémies non reliées à la PTH209
      • C. Démarche diagnostique213
      • Références 215
      • Hyperferritinémies217
      • I. Bases biologiques 217
      • A. Origine de la ferritine217
      • B. Structure de la ferritine217
      • C. Rôles de la ferritine et homéostasie du fer218
      • D. Dosage de la ferritinémie219
      • II. Principales étiologies des hyperferritinémies 220
      • A. Hyperferritinémies avec surcharge en fer221
      • B. Hyperferritinémies sans surcharge226
      • III. Quand demander un dosage de ferritinémie ? 229
      • Références 229
      • Hypertransaminasémies modérées233
      • I. Définition de la cytolyse 233
      • A. Les transaminases233
      • B. Variations non pathologiques234
      • C. Valeurs normales des transaminases234
      • D. La cytolyse234
      • II. Étiologies de la cytolyse 234
      • A. Cytolyse d'étiologie hépatique234
      • B. Cytolyse d'origine extra-hépatique240
      • III. Stratégie diagnostique 240
      • A. Évaluer la sévérité de l'atteinte hépatique et confirmer le caractère chronique de la cytolyse240
      • B. Rechercher des éléments d'orientation à l'interrogatoire et à l'examen clinique241
      • C. Faire le diagnostic d'une hépatopathie chronique pouvant bénéficier d'un traitement spécifique241
      • D. S'orienter vers une étiologie probable241
      • E. rechercher des causes rares et réaliser une biopsie hépatique241
      • Références 242
      • Hyponatrémie245
      • Introduction 245
      • I. Rappel physiologique 245
      • II. Épidémiologie 246
      • III. Diagnostic positif d'hyponatrémie 246
      • IV. Présentation clinique 246
      • A. Hyponatrémie aiguë ou avec souffrance cérébrale246
      • B. Hyponatrémie chronique246
      • V. Démarche diagnostique devant une hyponatrémie 247
      • A. Analyse de l'osmolarité plasmatique248
      • B. Évaluer la réponse rénale248
      • C. Évaluer le VEC248
      • VI. Principales causes d'hyponatrémie hypo-osmolaire 249
      • A. Hyponatrémie avec VEC diminué249
      • B. Hyponatrémie avec VEC augmenté250
      • C. Hyponatrémie avec VEC normal250
      • VII. Principes du traitement 251
      • A. Traitement préventif251
      • B. Traitement des hyponatrémies aiguës251
      • C. Traitement des hyponatrémies chroniques252
      • Références 252
      • Infarctus cérébraux des adultes jeunes255
      • Introduction : épidémiologie 255
      • I. Étiologie de l'infarctus cérébral : stratégie diagnostique 256
      • II. Situations spécifiques 257
      • A. Infarctus cérébraux cryptogéniques257
      • B. Foramen ovale perméable258
      • C. Dissections artérielles cervicales259
      • D. Étiologies « classiques »260
      • E. Syndrome de vasoconstriction cérébrale réversible261
      • F. États prothrombotiques et recherche d'une thrombophilie262
      • G. Causes génétiques262
      • H. Autres causes rares263
      • Références 264
      • Maladies de surcharge d'expression systémique267
      • I. Les maladies de surcharge pour l'interniste 267
      • II. La maladie de gaucher 268
      • A. Organomégalie268
      • B. Cytopénies268
      • C. Atteinte osseuse269
      • D. Asthénie270
      • E. Complications270
      • F. Comment faire le diagnostic de maladie de Gaucher ?270
      • III. La maladie de Fabry 271
      • A. Atteinte rénale271
      • B. Atteinte cardiaque272
      • C. Manifestations vasculaires cérébrales272
      • D. Symptômes gastro-intestinaux273
      • E. Signes dermatologiques273
      • F. Signes ophtalmologiques et auditifs274
      • G. Douleurs des extrémités et troubles de la sudation274
      • H. Autres manifestations274
      • I. Retentissement sur la qualité de vie274
      • J. Comment faire le diagnostic de maladie de Fabry ?274
      • IV. Les mucopolysaccharidoses 275
      • A. La mucopolysaccharidose de type I (MPS I)275
      • B. Autres mucopolysaccharidoses à présentation systémique276
      • C. Comment faire le diagnostic de mucopolysaccharidose ?277
      • V. La maladie de Niemann-Pick de type B 278
      • A. Organomégalie et cytopénies278
      • B. Atteinte bronchopulmonaire278
      • C. Autres manifestations278
      • D. Comment faire le diagnostic de maladie de Niemann-Pick de type B ?278
      • VI. Le déficit en lipase acide lysosomale 278
      • A. Atteinte hépatique279
      • B. Dyslipidémie279
      • C. Autres manifestations279
      • D. Comment faire le diagnostic de déficit en LAL ?279
      • Références 279
      • Maladies héréditaires du métabolisme : que doit savoir l'interniste ?281
      • Introduction 281
      • I. Classification des MHM 282
      • A. Les maladies par intoxication282
      • B. Les maladies par carence énergétique282
      • C. Les maladies des molécules complexes282
      • II. Le médecin interniste et les MHM 283
      • III. Dans quelles circonstances évoquer une MHM ? 283
      • IV. Diagnostic de MHM dans des situations d'urgence 284
      • A. Encéphalopathies et coma, troubles neuropsychiatriques aigus284
      • B. Accidents vasculaires cérébraux et pseudo-accidents vasculaires cérébraux (« pseudo-strokes »), thrombose veineuse cérébrale287
      • C. Rhabdomyolyse aiguë287
      • V. MHM s'exprimant par des troubles chroniques 287
      • A. Signes musculaires chroniques288
      • B. Signes ostéoarticulaires288
      • C. Hépatosplénomégalie289
      • D. Cardiomyopathie, pathologie thromboembolique290
      • VI. Quelques MHM d'expression systémique 292
      • A. Les maladies mitochondriales ou mitochondriopathies292
      • B. Les maladies lysosomales292
      • C. Les maladies péroxysomales292
      • D. Autres MHM d'expression systématique293
      • Références 294
      • Maladies systématiques d'origine médicamenteuse et toxique295
      • I. Lupus induits 296
      • A. Lupus induits par les médicaments296
      • B. Lupus induits non médicamenteux299
      • II. Syndrome des antiphospholipides 300
      • III. Sclérodermie systémique et syndromes sclérodermiformes 301
      • A. Syndromes sclérodermiformes médicamenteux301
      • B. Dermopathie fibrosante néphrogénique302
      • C. Syndromes sclérodermiformes d'origine toxique304
      • IV. Polymyosites et dermatomyosites 309
      • A. Polymyosites et dermatomyosites induites par les médicaments309
      • B. Polymyosites et dermatomyosites induites par les toxiques310
      • V. Myopathies nécrosantes auto-immunes induites par les statines 310
      • VI. Syndrome de Sjögren et autres affections systémiques 311
      • A. Syndrome de Sjögren médicamenteux311
      • B. Syndrome de Sjögren d'origine toxique312
      • C. Autres affections systémiques médicamenteuses312
      • VII. Connectivites indifférenciées 312
      • VIII. Vascularites 312
      • A. Vascularites systémiques induites par les médicaments312
      • B. Vascularites systémiques à ANCA induites par les médicaments312
      • C. Vascularites induites par les vaccins314
      • D. Vascularites à ANCA induites par la cocaïne et la lévamisole314
      • E. Vascularites induites par d'autres toxiques315
      • IX. Tableaux de pseudo-connectivites d'origine toxique 316
      • A. Vascularites dhypersensibilité316
      • B. Syndrome d'hypersensibilité317
      • X. Syndrome de cléopâtre et syndrome de Shoenfeld 318
      • A. Syndrome de Cléopâtre318
      • B. Syndrome de Shoenfeld319
      • XI. Connectivites induites par les molécules de co-stimulation inhibitrices : checkpoint inhibitors 319
      • A. Rôle des molécules de co-stimulation inhibitrices de CTLA-4319
      • B. Rôle des molécules de co-stimulation inhibitrices de PD-1 et PD-L1320
      • C. Anticorps ciblant les molécules de co-stimulation inhibitrices de CTLA-4, PD1 et PD-L1320
      • D. Effets secondaires liés à l'immunité des anticorps ciblant les molécules de co-stimulation inhibitrices de CTLA-4, PD-1 et PD-L1322
      • E. Maladies auto-immunes associées aux anticorps ciblant les molécules de co-stimulation inhibitrices de CTLA-4, PD-1 et PD-L1323
      • F. Traitements par checkpoint inhibitors de CTLA-4, PD-1 et PD-L1 chez les patients porteurs de maladies auto-immunes préexistantes325
      • Références 326
      • Maladies systémiques pédiatriques : que doit savoir l'interniste ?335
      • I. Particularités pédiatriques de l'interrogatoire et de l'examen clinique 335
      • A. Interrogatoire336
      • B. Examen clinique336
      • II. Maladies auto-inflammatoires et auto-immunes en pédiatrie 336
      • A. Données pédiatriques sur les maladies auto-inflammatoires336
      • B. Les interféronopathies336
      • C. Les lupus monogéniques340
      • III. Autres maladies inflammatoires dysimmunitaires pédiatriques 341
      • A. Déficits immunitaires avec manifestations auto-immunes341
      • B. Vascularites monogéniques345
      • Références 346
      • Myopathies acquises349
      • Introduction 349
      • I. Myopathies idiopathies inflammatoires (MII) 349
      • A. Myosites350
      • B. Myopathies nécrosantes auto-immunes358
      • Myopathies toxiques, iatrogène, endocriniennes 362
      • A. Myopathies iatrogènes et toxiques362
      • B. Myopathies endocriniennes363
      • III. Diagnostics différentiels : les myopathies héréditaires 365
      • A. Déficit musculaire proximal lentement progressif héréditaire365
      • B. Déficit musculaire distal lentement progressif héréditaire367
      • C. Intolérance à l'effort, fatigabilité musculaire367
      • Références 369
      • Neuropathies375
      • I. Démarche diagnostique clinique initiale 375
      • A. Interrogatoire375
      • B. Caractéristiques intrinsèques de la neuropathie375
      • C. Signes neurologiques centraux associés378
      • D. Signes systémiques378
      • II. Bilan paraclinique 378
      • A. Électroneuromyogramme378
      • B. Bilan biologique étiologique378
      • C. Indication de la biopsie neuromusculaire379
      • III. Principales étiologies 380
      • A. Neuropathies dysimmunes380
      • B. Neuropathies alcooliques et carentielles382
      • C. Neuropathies toxiques et médicamenteuses382
      • D. Neuropathies métaboliques et endocriniennes385
      • E. Neuropathies infectieuses385
      • F. Neuropathies associées aux cancers386
      • G. Neuropathies associées aux dysglobulinémies386
      • H. Neuropathies associées aux maladies systémiques387
      • I. Neuropathies héréditaires388
      • Références 389
      • Grands syndromes du péritoine : ascites, pathologies péritonéales tumorales et non tumorales et panniculites391
      • Introduction 392
      • I. Techniques d'imagerie 392
      • II. Ascite 392
      • A. Clinique392
      • B. Exploration biologique392
      • C. Exploration radiologique393
      • D. Étiologie394
      • III. Pathologies péritonéales tumorales et non tumorales 397
      • A. Présentation clinique397
      • B. Pathologies péritonéales tumorales397
      • C. Pathologies péritonéales non tumorales399
      • IV. Panniculite mésentérique 400
      • A. Présentation clinique400
      • B. Présentation radiologique400
      • C. Examen histologique401
      • D. Diagnostic différentiel des panniculites mésentériques idiopathiques401
      • Références 402
      • Pneumopathies interstitielles diffuses405
      • Introduction 405
      • I. Épidémiologie des PIDC 406
      • II. Classification des PIDC de l'adulte 406
      • III. Investigation des PIDC 407
      • A. Anamnèse407
      • B. Examen clinique407
      • C. Imagerie407
      • D. Explorations fonctionnelles et échanges gazeux412
      • E. Biologie sanguine et urinaire412
      • F. Lavage bronchoalvéolaire (LBA)412
      • G. Prélèvements biopsiques413
      • H. Discussion multidisciplinaire415
      • IV. Circonstances de découverte 415
      • V. Diagnostic positif de PIDC 415
      • VI. Diagnostic des PIDC secondaires 415
      • A. PIDC des connectivites415
      • B. PIDC des vascularites416
      • C. PIDC des MICI416
      • D. PIDC dans le cadre d'une dysimmunité416
      • E. PIDC liées à une anomalie innée du métabolisme416
      • F. Syndrome de Hermansky-Pudlak416
      • G. Pneumoconioses416
      • H. Pneumopathies d'hypersensibilité (PHS)417
      • I. Pneumopathies médicamenteuses et post-radiques418
      • J. PID néoplasiques418
      • K. PID liées à une insuffisance cardiaque congestive418
      • VII. Diagnostic de sarcoïdose 418
      • VIII. Diagnostic des PIDC particulières 418
      • A. Histiocytose langerhansienne pulmonaire de l'adulte (HLPA)419
      • B. Lymphangioléïomyomatose (LAM)419
      • C. Lipoprotéinose alvéolaire (LPA)419
      • D. Pneumopathies à éosinophiles420
      • IX. Diagnostic des pneumopathies interstitielles idiopathiques 420
      • A. Fibrose pulmonaire idiopathique420
      • B. Pneumopathie interstitielle non spécifique idiopathique (PINSi)421
      • C. Pneumopathie interstitielle desquamative (DIP)421
      • D. Bronchiolite respiratoire avec pneumopathie interstitielle (BR-ILD)421
      • E. Pneumopathie organisée cryptogénique (POC)421
      • F. Pneumopathies interstitielles idiopathiques rares421
      • X. Diagnostic des PID aiguës ou subaiguës 422
      • XI. Diagnostic des PID de l'enfant 422
      • Conclusion 422
      • Références 422
      • Polyarthralgies et polyarthrites d'évolution récente427
      • Introduction 427
      • I. Physiopathologie 428
      • II. Éliminer les polyarthralgies non dues à une arthropathie 428
      • A. Myalgies diffuses428
      • B. Maladie des calcifications tendineuses multiples428
      • C. Pathologies osseuses plurifocales428
      • D. Origine neurologique428
      • E. Origine viscérale428
      • III. Reconnaître les polyarthralgies non inflammatoires et leurs cadres nosologiques 429
      • A. Les polyarthralgies sont-elles arthrosiques ?429
      • B. Les polyarthralgies sont-elles dues à une chondrocalcinose ?429
      • C. Les polyarthralgies sont-elles iatrogéniques ?429
      • D. Les polyarthralgies sont-elles liées à un syndrome d'hypermobilité articulaire bénigne ?431
      • E. Les polyarthralgies sont-elles symptomatiques d'une maladie de surcharge ?431
      • IV. Reconnaître une polyarthrite récente et orienter le diagnostic étiologique 432
      • A. Analyse du liquide articulaire433
      • B. Démarche étiologique433
      • C. La polyarthrite est-elle infectieuse ?435
      • D. La polyarthrite est-elle post-infectieuse ?437
      • E. La polyarthrite est-elle microcristalline ?438
      • F. La polyarthrite est-elle iatrogénique ?438
      • G. La polyarthrite est-elle une spondyloarthrite ?439
      • H. La polyarthrite est-elle auto-immune ?439
      • I. La polyarthrite est-elle symptomatique d'une vascularite systémique ?442
      • J. La polyarthrite est-elle auto-inflammatoire ?443
      • K. La polyarthrite est-elle granulomateuse ?445
      • L. La polyarthrite est-elle maligne ?445
      • Références 446
      • Intrications somatopsychiques : repères pour l'interniste449
      • Remarques préliminaires 450
      • I. Dépression, symptomatologie somatique et troubles organiques 452
      • A. Comorbidité de la dépression et des affections somatiques452
      • B. Formes somatisées de la dépression452
      • C. Diagnostic de la dépression en milieu médical453
      • D. Syndromes dépressifs d'origine organique453
      • II. Troubles anxieux, symptomatologie somatique et troubles organiques 455
      • A. Comorbidité des troubles anxieux et somatiques455
      • B. Formes somatisées des troubles anxieux455
      • C. Troubles anxieux d'origine organique456
      • III. Troubles somatoformes du DSM-IV 459
      • A. Le trouble somatisation459
      • B. Le trouble de conversion459
      • C. Le trouble (somatoforme) douloureux459
      • D. L'hypocondrie459
      • E. Le trouble somatoforme indifférencié460
      • IV. Troubles à symptomatologie somatique et apparentés du DSM-5 460
      • A. Trouble à symptomatologie somatique (somatic symptom disorder)460
      • B. Crainte excessive d'avoir une maladie (illness anxiety disorder)460
      • C. Trouble de conversion (trouble à symptomatologie neurologique fonctionnelle)461
      • D. Facteurs psychologiques influençant d'autres affections médicales463
      • E. Troubles factices464
      • V. Syndromes somatiques fonctionnels 465
      • A. Syndrome de l'intestin irritable465
      • B. Syndrome fibromyalgique467
      • C. Syndrome de fatigue chronique469
      • D. Aperçu de quelques autres syndromes somatiques fonctionnels471
      • VI. Principes de prise en charge des troubles fonctionnels 472
      • A. Reconnaître les symptômes comme réels et la plainte comme légitime472
      • B. Adopter une démarche diagnostique classique473
      • C. ... tout en se méfiant des étiquettes réductrices473
      • D. Les effets pervers de la recherche d'organicité et la question de la réassurance473
      • E. Pratiquer une médecine « centrée sur le patient »473
      • F. Quand faire appel aux psychiatres et/ou psychologues ?474
      • Références 474
      • Syncopes et lipothymies477
      • I. Définitions 477
      • II. Épidémiologie 478
      • A. Prévalence des syncopes dans la population générale478
      • B. Recours médical478
      • III. Classifications et physiopathologie 478
      • A. Diagnostic différentiel des syncopes478
      • B. Classification et physiopathologie des syncopes478
      • IV. Pronostic 484
      • A. Risque de mortalité484
      • B. Risques de récidive et de lésions traumatiques485
      • V. Impact sur la qualité de vie 485
      • VI. Considérations économiques 485
      • VII. Évaluation initiale 485
      • A. Le diagnostic de syncope486
      • B. Diagnostic étiologique486
      • VIII. Tests diagnostiques 487
      • A. Le massage sinocarotidien487
      • B. Les tests à l'orthostatisme487
      • C. Monitoring du rythme cardiaque487
      • D. Explorations électrophysiologiques488
      • E. Imagerie cardiaque489
      • F. Épreuve d'effort489
      • G. Cathétérisme cardiaque489
      • H. Évaluation psychiatrique489
      • I. Évaluation neurologique490
      • IX. Traitement 490
      • A. Principes généraux de traitement des syncopes490
      • B. Syncope réflexe et des syndromes d'intolérance à l'orthostatisme490
      • C. Troubles du rythme et de la conduction cardiaque491
      • D. Cardiopathie structurelle492
      • E. Autres cardiopathies492
      • Références 493
      • Syndromes auto-inflammatoires d'origine génétique495
      • Introduction 495
      • I. Les quatre fièvres récurrentes héréditaires « historiques » 499
      • A. Fièvre méditerranéenne familiale499
      • B. Syndrome TRAPS501
      • C. Syndrome d'hyperimmunoglobulinémie D502
      • D. Cryopyrinopathies ou CAPS502
      • II. Autres fièvres récurrentes héréditaires monogéniques 503
      • A. Fièvre périodique associée à des mutations de NLRP 12503
      • B. Déficit en protéine A20503
      • C. Mutations de TNFRSF11A503
      • D. Mutations de l'OTULIN503
      • III. Autres maladies auto-inflammatoires génétiques 503
      • A. Maladies auto-inflammatoires de transmission mendélienne503
      • B. Interféronopathies de type 1505
      • C. Maladies auto-inflammatoires associées à un déficit immunitaire505
      • IV. Diagnostics différentiels 506
      • A. Syndrome de Schnitzler506
      • B. Maladie de Still de l'adulte506
      • V. Approche diagnostique globale des syndromes auto-inflammatoires 506
      • Références 509
      • Syndrome inflammatoire513
      • I. Définition 513
      • II. Les marqueurs biologiques du syndrome inflammatoire 514
      • A. Les protéines de l'inflammation514
      • B. Cinétique des protéines de l'inflammation514
      • C. Électrophorèse des protéines sériques515
      • D. Vitesse de sédimentation516
      • E. Protéine C réactive517
      • F. Procalcitonine517
      • G. Autres marqueurs518
      • H. Modifications de l'hémogramme au cours du syndrome inflammatoire521
      • III. Conduite à tenir devant un syndrome inflammatoire 521
      • IV. Étiologies du syndrome inflammatoire 524
      • A. Infections524
      • B. Pathologies tumorales525
      • C. Maladies systémiques526
      • D. Autres527
      • V. Évolution 528
      • VI. Complications 528
      • VII. Traitements 529
      • Conclusion 529
      • Références 529
      • Thromboses veineuses profondes : enquête étiologique533
      • Introduction 534
      • I. Thromboses veineuses profondes des membres inférieures et/ou embolies pulmonaires 534
      • A. Incidence de la maladie thromboembolique veineuse534
      • B. Facteurs favorisations ou étiologiques535
      • II. Thromboses veineuses profondes de siège insolite 547
      • A. Thromboses veineuses des membres supérieurs547
      • B. Thromboses veineuses digestives548
      • Références 550
      • Troubles psychiatriques secondaires à une affection médicale générale553
      • Introduction 554
      • I. Principales affections médicales responsables de troubles psychiques 554
      • A. Les maladies héréditaires du métabolisme554
      • B. Les causes endocriniennes558
      • C. Les causes infectieuses559
      • D. Les causes inflammatoires et systémiques561
      • E. Les affections neurologiques562
      • F. Les troubles psychiatriques d'origine génétique564
      • II. Bilan étiologique à réaliser devant un tableau psychiatrique atypique 564
      • Références 566
      • Uvéites569
      • Introduction 569
      • I. Classification anatomique et sémiologie ophtalmologique 570
      • A. Classification anatomique570
      • B. Examen clinique ophtalmologique570
      • C. Analyse de l'évolution de l'uvéite572
      • D. Latéralité572
      • II. Étiologies des uvéites 572
      • A. Uvéites infectieuses572
      • B. Uvéites associées à une maladie systémique575
      • C. Uvéoméningites578
      • D. Pseudo-uvéites ou masquerade syndromes580
      • E. Uvéites d'origine médicamenteuse580
      • F. Uvéites symptomatiques d'une maladie ophtalmologique581
      • III. Éléments d'orientation selon le type anatomoclinique de l'uvéite 582
      • A. Uvéite antérieure aiguë582
      • B. Uvéite antérieure chronique582
      • C. Uvéite intermédiaire582
      • D. Uvéites postérieures582
      • E. Uvéites totales583
      • IV. Place de l'examen clinique et du bilan paraclinique 583
      • A. Recherche de signes extra-ophtalmologiques583
      • B. Bilan paraclinique584
      • Références 586
      • Vascularites systémiques d'étiologie déterminée589
      • Introduction 589
      • I. Vascularites associées aux maladies de système 590
      • A. Vascularite rhumatoïde590
      • B. Vascularite lupique590
      • C. Vascularite au cours du syndrome de Sjögren590
      • D. Vascularite au cours de la sclérodermie systémique591
      • E. Vascularite au cours de la sarcoïdose591
      • F. Vascularites au cours des autres maladies de système591
      • II. Vascularites d'origine infectieuse 591
      • A. Vascularites cryoglobulinémiques associées au virus de l'hépatite C592
      • B. Vascularites cryoglobulinémiques associées à d'autres agents infectieux592
      • C. Périartérites noueuses associées au virus de l'hépatite B592
      • D. Autres vascularites infectieuses593
      • III. Vascularites d'origine toxique 593
      • A. Vascularites médicamenteuses à dépôts de complexes immuns593
      • B. Vascularites médicamenteuses associées aux ANCA593
      • C. Vascularites associées aux traitements anti-TNF-alpha593
      • D. Vascularites induites par la prise de lévamisole594
      • IV. Vascularites paranéoplasiques 594
      • A. Vascularites associées aux hémopathies malignes594
      • B. Vascularites associées aux cancers solides594
      • C. Granulomatose lymphomatoïde de Liebow594
      • D. Cas particuliers des vascularites cryoglobulinémiques associées aux hémopathies lymphoïdes594
      • Conclusion 595
      • Références 595
      • Carences vitaminiques et hypervitaminoses597
      • Introduction 597
      • I. Les vitamines liposolubles : A, D, E, K 598
      • A. Vitamine A598
      • B. Vitamine D599
      • C. Vitamine E600
      • D. Vitamine K600
      • II. Les vitamines hydrosolubles 601
      • A. Vitamine B1 (thiamine)601
      • B. Vitamine B2 (riboflavine)602
      • C. Vitamine B3 (vitamine PP, niacine)602
      • D. Vitamine B5603
      • E. Vitamine B6603
      • F. Vitamine B8 (biotine)604
      • G. Vitamine B9604
      • H. Vitamine B12 (cobalamine)605
      • I. Vitamine C606
      • Références 607
      • Index609

  • Origine de la notice:
    • FR-751131015 ;
    • Electre
  • Disponible - 616 DIA

    Niveau 3 - Médecine