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Livre

Vie de Xuanzang : pèlerin et traducteur

Auteur(s) : Huili (615-677)

Résumé

Récits de la vie du moine bouddhiste Xuanzang qui, en 629, est parti en Inde sur les traces du Buddha afin d'approfondir ses connaissances des textes et des diverses idées des écoles du bouddhisme. Le premier texte se concentre sur sa période de formation et son voyage, le second est consacré à son travail de traducteur et à ses relations avec les empereurs. ©Electre 2023


  • Autre(s) auteur(s)
  • Contributeur(s)
  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2023
  • Langues
    • Français
    • , traduit de : Chinois
  • Description matérielle
    • 2 vol. (800 p.) : illustrations en noir et en couleur, cartes ; 19 x 13 cm
  • Collections
  • ISBN
    • 978-2-251-45484-9
  • Indice
    • 951-54 Chine de 220 à 959 (des trois royaumes aux cinq dynasties)
  • Quatrième de couverture
    • En 629, le moine bouddhiste Xuanzang part pour l'Inde, autant pour marcher sur les traces du Buddha que pour approfondir sa connaissance des textes et des idées développées par les diverses écoles du bouddhisme.

      Il revient seize ans plus tard, ayant acquis une réputation de savant incontesté, et se consacre alors à la traduction de plus de soixante-dix ouvrages du canon qu'il a rapportés, après avoir rédigé, à la demande de l'empereur, la description des pays qu'il a visités.

      Son voyage, émaillé de péripéties, fournira le thème de l'un des quatre romans majeurs de la littérature chinoise, le Xiyou ji ou la Pérégrination vers l'Ouest. Parfaitement instruit dans la langue sanskrite, Xuanzang se révèle comme un maître de traduction incomparable qui ne sera pas surpassé.

      Plusieurs biographies de Xuanzang furent rédigées par des disciples. La plus importante, qui fait l'objet de la présente traduction, est d'abord due à Huili qui, dès la disparition du maître ou peut-être même dès son retour en Chine, se chargea de la période de formation et surtout de voyage. Plus de vingt ans après la mort de Tripitaka, « Trois Corbeilles » (selon le surnom que l'on donna à Xuanzang), Yancong ajouta une deuxième partie correspondant à sa vie de traducteur et aux relations qu'il entretint avec les empereurs, en se fondant sur des échanges épistolaires, requêtes, mémoires ou adresses dans le cas de Xuanzang, décrets dans le cas des souverains.

      La Bibliothèque chinoise accueille, en édition bilingue, les classiques de la littérature chinoise en langue classique dans tous les domaines des lettres et des sciences (philosophie, histoire, poésie, politique et militaria, mais aussi médecine, astronomie, mathématiques, etc.).

      Les textes et traductions sont accompagnés d'une longue introduction et d'un appareil critique développé (notes, chronologie, glossaire, cartes et index).

      La possibilité est ainsi offerte au lecteur non sinophone d'entrer de plain-pied dans les ouvrages les plus représentatifs de l'immense production écrite qui caractérise la culture chinoise, depuis l'époque de Confucius (551-479 av. n. è.) jusqu'à la chute du régime impérial en 1911.


  • Origine de la notice:
    • Electre
  • Indisponible : En traitement