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Livre

La préfecture de police

Résumé

L'étude, consacrée à la préfecture de police, s'interroge sur les conditions dans lesquelles une institution aussi dérogatoire au droit commun a pu persister dans le paysage administratif français. Elle aborde la pérennité de cette institution, sa complexité ainsi que sa singularité.


  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2008
  • Notes
    • Bibliogr. p. 539-566. Webliogr. p. 566. Index
  • Langues
    • Français
  • Description matérielle
    • Texte imprimé
    • 1 vol. (X-584 p.) ; 24 cm
  • Collections
  • Sujet(s)
  • Lieu
  • ISBN
    • 978-2-275-03352-5
  • Indice
    • 347.3 Sociétés par actions, sociétés anonymes
  • Quatrième de couverture
    • Bibliothèque de droit public

      Tome 258

      Créée par la loi du 28 pluviôse an VIII (17 février 1800), la préfecture de police est l'institution chargée du maintien de l'ordre public à Paris et dans ses environs. Elle constitue l'un des éléments majeurs qui distinguent le statut de Paris de celui des autres communes. Malgré son importance et sa spécificité, celle-ci a peu retenu l'attention des juristes. Ce relatif désintérêt peut surprendre dès lors que son existence est à l'origine de nombreuses questions qui intéressent le droit public, plus particulièrement le droit des collectivités territoriales et le droit de la police administrative.

      L'objet de cette étude est de s'interroger sur les conditions dans lesquelles une institution aussi dérogatoire au droit commun a pu être maintenue dans le paysage administratif français. La réponse à cette interrogation se fait en trois temps. Dans un premier temps, il est montré que la préfecture de police est une institution qui, bien qu'héritée de l'Ancien Régime, s'est adaptée à l'État moderne et s'est progressivement enracinée dans l'organisation administrative française. Dans un deuxième temps, il est montré que son maintien s'est opéré au prix de la fiction selon laquelle elle serait une institution à la fois étatique et communale, fiction qui peut être contestée sur le plan des principes juridiques. Dans un troisième temps, il est montré que le rang de capitale de Paris ne peut à lui seul expliquer l'existence et la persistance de l'institution : si la préfecture de police a été maintenue, c'est aussi, et surtout, en raison de sa coïncidence avec un modèle d'État marqué par une profonde centralisation.


  • Tables des matières
      • La prefecture de police

      • Olivier Renaudie

      • L.G.D.J

      • PréfaceV
      • Liste des principaux sigles et abréviationsIX
      • SommaireXIII
      • Introduction1
      • Première partie
        Une institution durable
      • Chapitre 1 - La genèse de l'institution19
      • Section 1 : La lieutenance générale de police, ancêtre de la préfecture de police 19
      • § 1. L'organisation lacunaire de la police parisienne avant 166720
      • A) La diversité des polices compétentes dans la capitale21
      • 1° La multiplicité des autorités de police21
      • 2° La multiplicité des forces de police22
      • B) Le développement de l'insécurité dans la capitale24
      • C) La volonté de réformer la police parisienne : la mise en place d'un conseil de révision de la police de la ville de Paris en octobre 166626
      • § 2. L'édit du 15 mars 1667 : l'affirmation de l'autorité du pouvoir royal sur la police de la capitale27
      • A) L'initiation d'une réforme d'envergure de la police parisienne27
      • 1° L'instauration d'un nouveau magistrat28
      • 2° La suppression des justices seigneuriales28
      • 3° La réorganisation des quartiers de police29
      • B) Des compétences étendues30
      • 1° La notion de police sous l'Ancien Régime30
      • 2° Les compétences « administratives »32
      • 3° Les compétences judiciaires33
      • C) Un statut original34
      • § 3. Une efficacité exemplaire36
      • A) L'organisation efficace de la police parisienne36
      • 1° La mise en place d'un véritable appareil bureaucratique37
      • 2° L'autorité du lieutenant général de police sur l'ensemble des forces de police de la capitale38
      • B) L'édit d'octobre 1699 : la volonté de transposer le système parisien aux villes de province40
      • 1° La réforme envisagée40
      • 2° L'échec de sa mise en oeuvre42
      • C) La lieutenance générale de police de Paris, un modèle en Europe43
      • Section 2 : Les tentatives de municipalisation de la police parisienne sous la révolution francaise 45
      • § 1. L'affirmation de la police comme fonction municipale46
      • A) La reconnaissance de l'existence d'affaires communales46
      • B) La police municipale, fonction propre aux municipalités48
      • 1° La thèse d'Henrion de Pansey49
      • 2° La thèse de Miriel49
      • C) L'exercice autonome de la police municipale50
      • § 2. L'application à Paris du droit commun municipal52
      • A) Paris, point particulier d'une législation générale53
      • B) Le débat politique relatif au statut de Paris54
      • C) La mise en place d'une nouvelle administration55
      • § 3. La succession de divers organismes municipaux en charge de la police de la capitale57
      • A) La gestion du provisoire (juillet 1789-novembre 1790)58
      • B) L'institutionnalisation d'une organisation municipale de la police parisienne (21 mai 1790-18 octobre 1794)60
      • C) La remise en cause du système sous la Convention et le Directoire (18 octobre 1794-11 octobre 1795)61
      • Section 3 : La création de la préfecture de police : rupture et continuité 63
      • § 1. Le contexte particulier de la réforme de la police parisienne64
      • A) La rationalisation de la police sous le Directoire64
      • B) Fouché, un ministre de la Police générale influent66
      • C) Les différents projets de réforme de la police parisienne68
      • § 2. La loi du 28 pluviôse an VIII : l'affirmation solennelle de l'autorité du pouvoir central sur la police parisienne70
      • A) Le consensus autour de la création du préfet de police70
      • B) Le préfet de police, un représentant du pouvoir central spécialement chargé de la police à Paris72
      • 1° Le préfet de police comme élément de réforme du statut de Paris72
      • 2° Le préfet de police comme élément de réforme de la police73
      • C) Dubois, premier préfet de police75
      • § 3. L'arrêté du 12 messidor an VIII : la détermination des compétences du préfet de police par référence à celles de ses prédécesseurs76
      • A) Les différents projets relatifs aux compétences du préfet de police76
      • 1° Le projet de Fouché77
      • 2° Le projet de Frochot78
      • 3° Le projet de Dubois79
      • B) Le préfet de police, héritier des compétences du lieutenant général de police81
      • C) La présentation moderne des compétences du préfet de police83
      • Chapitre 2 - L'enracinement de l'institution87
      • Section 1 : La consolidation de la préfecture de police (1800-1859) 87
      • § 1. Une organisation renforcée88
      • A) Des bureaux spécialisés88
      • B) Des forces de police sous l'autorité exclusive du préfet de police90
      • C) Un service de lutte contre l'incendie efficace92
      • § 2. Des pouvoirs de police judiciaire accrus94
      • A) L'article 10 du Code d'instruction criminelle de 180894
      • B) L'utilisation privilégiée de cette disposition par le préfet de police96
      • C) Un pouvoir illimité ?98
      • § 3. Une compétence territoriale étendue100
      • A) L'arrêté du 3 brumaire an IX : l'extension de certaines compétences du préfet de police au département de la Seine et aux communes de Saint-Cloud, Meudon et Sèvres100
      • B) La loi du 7 août 1850 : l'extension de certaines compétences du préfet de police à la commune d'Enghien102
      • C) La loi du 10 juin 1853 : l'extension de la compétence de principe du préfet de police à l'ensemble des communes du département de la Seine103
      • Section 2 : La limitation des compétences du préfet de police au profit du préfet de la seine (le décret du 10 octobre 1859) 104
      • § 1. Le contexte d'un nouveau partage de compétences105
      • A) Les conflits entre le préfet de police et le préfet de la Seine105
      • B) Haussmann, un préfet de la Seine influent107
      • C) L'hostilité du préfet de police109
      • § 2. Le nouveau partage de compétences opéré par le décret111
      • A) Les attributions transférées111
      • B) La préservation d'un pouvoir d'évocation et de codécision113
      • C) Le recentrage sur les missions de police114
      • § 3. La pratique postérieure au décret : la persistance de conflits115
      • A) L'intervention du ministre de l'Intérieur115
      • B) L'intervention du juge117
      • C) L'intervention du législateur119
      • Section 3 : La consécration du caractère indispensable de l'institution (1859-1964) 120
      • § 1. L'exclusion des réformes relatives à l'organisation territoriale administrative et policière121
      • A) La loi du 10 août 1871 sur l'organisation départementale121
      • B) La loi du 5 avril 1884 sur l'organisation municipale122
      • C) La loi du 23 avril 1941 portant organisation générale des services de police126
      • § 2. La prévalence du statu quo malgré les contestations129
      • A) Les tentatives de suppression129
      • B) Les tentatives de municipalisation131
      • C) Les tentatives d'« étatisation »134
      • § 3. L'accroissement de l'efficacité de l'institution137
      • A) Le préfectorat de Louis Lépine138
      • B) La préfecture de police, laboratoire policier140
      • C) L'extension des compétences143
      • Chapitre 3 - La persistance de l'institution147
      • Section 1 : La persistance malgré la réorganisation de la région parisienne et la création de la police nationale (1964-1971) 147
      • § 1. La loi du 10 juillet 1964 : une extension problématique148
      • A) Un principe clair148
      • B) Une application ambiguë150
      • C) Le choix d'une solution intermédiaire152
      • § 2. La loi du 9 juillet 1966 : une intégration manquée ?154
      • A) Des origines controversées155
      • B) La fusion des personnels157
      • C) Une autorité fonctionnelle préservée159
      • 1° La notion de mise à disposition159
      • 2° La mise à disposition envisagée par la loi du 9 juillet 1966160
      • § 3. Le décret du 20 juillet 1971 : une compétence territoriale limitée162
      • A) Le choix de la départementalisation163
      • B) Une institution affaiblie164
      • C) Le maintien de certaines compétences interdépartementales167
      • Section 2 : La persistance malgré les réformes du statut de Paris (1975-2002) 169
      • § 1. La loi du 31 décembre 1975169
      • A) L'alignement de Paris sur le droit commun170
      • B) Le maintien de la préfecture de police172
      • § 2. Les autres textes173
      • A) La loi du 31 décembre 1982174
      • B) La loi du 29 septembre 1986176
      • C) La loi du 27 février 2002179
      • Section 3 : La persistance malgré les réformes de la police (1995-2007) 180
      • § 1. La loi du 21 janvier 1995181
      • A) Le maintien de l'unité de la préfecture de police181
      • B) Le pouvoir de coordination du préfet de police183
      • § 2. Les autres textes184
      • A) Les textes ayant suscité un débat sur la préfecture de police184
      • 1° La loi du 15 avril 1999184
      • 2° La loi du 15 novembre 2001186
      • B) Les textes n'ayant pas suscité un débat relatif à la préfecture de police188
      • Conclusion de la première partie193
      • Deuxième partie
        Une institution complexe
      • Chapitre 1 - L'ambivalence du statut197
      • Section 1 : L'ambivalence de l'autorité197
      • § 1. Le principe de l'ambivalence198
      • A) Le préfet de police en tant que représentant de l'État198
      • 1° La nomination198
      • 2° La suppléance, l'intérim et la délégation200
      • 3° La subordination hiérarchique206
      • B) Le préfet de police en tant que représentant de la commune de Paris208
      • 1° L'exécution des délibérations du conseil de Paris208
      • 2° Les délégations du conseil de Paris212
      • 3° Les questions des conseillers de Paris214
      • § 2. Les manifestations de l'ambivalence217
      • A) Les actes217
      • 1° La nature et la forme des actes217
      • 2° La publicité des actes222
      • 3° La contestation des actes225
      • B) La responsabilité231
      • 1° Les principes232
      • 2° La mise en oeuvre des principes233
      • Section 2 : L'ambivalence de l'institution 238
      • § 1. Le dualisme budgétaire239
      • A) Le budget de l'État239
      • 1° Le principe de la participation de l'État240
      • 2° L'étendue du budget de l'État241
      • B) Le budget spécial242
      • 1° La nature du budget spécial243
      • 2° L'étendue du budget spécial246
      • § 2. Le dualisme des personnels248
      • A) L'affectation de personnels étatiques248
      • 1° Les personnels actifs de police248
      • 2° Les personnels administratifs, techniques et scientifiques252
      • 3° Les personnels militaires256
      • B) Le concours de personnels communaux258
      • 1° Les personnels administratifs, techniques et scientifiques258
      • 2° Les personnels actifs de police261
      • Chapitre 2 - L'enchevêtrement des missions et des compétences267
      • Section 1 : L'enchevêtrement des compétences de l'autorité 267
      • § 1. Le préfet de police en tant qu'autorité de police administrative268
      • I. Le préfet de police, autorité de police administrative générale268
      • A) Sur le territoire de la commune de Paris269
      • 1° Une compétence de nature diverse270
      • 2° Une compétence limitée275
      • 3° Une compétence de principe278
      • B) Sur le territoire du département de Paris288
      • C) Sur le territoire de Paris et des trois départements de la petite couronne290
      • 1° Le secours et la défense contre l'incendie290
      • 2° La sécurité civile293
      • II. Le préfet de police, autorité de police administrative spéciale294
      • A) Le préfet de police, autorité expresse de police spéciale294
      • 1° Les polices spéciales exercées au nom de l'État294
      • 2° Les polices spéciales exercées au nom de la commune de Paris301
      • B) Le préfet de police, autorité de police spéciale par habilitation implicite304
      • 1° Le principe304
      • 2° La mise en oeuvre du principe307
      • § 2. Le préfet de police en tant que représentant de l'État dans le département310
      • A) Le contrôle administratif310
      • B) Le pouvoir de substitution312
      • C) La direction de certains services déconcentrés de l'État314
      • D) Le droit d'élever un conflit315
      • § 3. Le préfet de police en tant que préfet de la zone de défense de Paris317
      • A) Un environnement original317
      • 1° L'originalité de la zone de défense de Paris317
      • 2° L'originalité statutaire du préfet de la zone de défense de Paris318
      • B) Des compétences diverses319
      • 1° La défense non militaire320
      • 2° La sécurité civile322
      • 3° L'ordre public324
      • § 4. Le préfet de police en tant que chef de service328
      • A) Le chef328
      • 1° La qualité de chef de service328
      • 2° Les actes susceptibles d'être édictés329
      • B) Les services332
      • Section 2 : L'enchevêtrement des missions de l'institution 334
      • § 1. Les services exerçant leur mission à Paris335
      • A) La direction de la police générale335
      • B) La direction des transports et de la protection du public335
      • C) La direction de la police urbaine de proximité336
      • D) La direction de l'ordre public et de la circulation337
      • § 2. Les services exerçant leur mission à Paris et dans les trois départements de la petite couronne338
      • A) La brigade des sapeurs-pompiers de Paris338
      • B) Les services interdépartementaux dépendant de la direction des transports et de la protection du public340
      • C) La direction de la police judiciaire341
      • D) L'inspection générale des services342
      • E) La direction opérationnelle des services techniques et logistiques343
      • F) Le secrétariat général pour l'administration de la police de Paris344
      • § 3. Les services exerçant leur mission dans la région Île-de-France346
      • A) Le secrétariat général de la zone de défense de Paris346
      • B) La direction régionale des renseignements généraux347
      • C) Le service régional de la police des transports348
      • Chapitre 3 - La contestation du dualisme353
      • Section 1 : Le dualisme de l'autorité 353
      • § 1. Les arguments d'ordre administratif353
      • A) L'impossible organe exécutif354
      • 1° Une exclusion de principe354
      • 2° Un artifice législatif356
      • B) L'improbable police municipale358
      • 1° La recherche d'un critère358
      • 2° L'application du critère360
      • § 2. Les arguments d'ordre constitutionnel361
      • A) Les décisions de référence362
      • B) L'interprétation des décisions de référence364
      • Section 2 : Le dualisme de l'institution 365
      • § 1. Un budget spécial illusoire365
      • A) Un budget cofinancé366
      • 1° Le principe du cofinancement366
      • 2° La mise en oeuvre du cofinancement368
      • B) Un budget dévoyé370
      • 1° Le principe de dévoiement du budget371
      • 2° La mise en oeuvre du principe de dévoiement du budget372
      • § 2. Un partage des responsabilités incertain373
      • A) Le contre-exemple des communes à police d'État374
      • 1° Les textes de référence374
      • 2° L'interprétation juridictionnelle des textes376
      • B) L'hypothèse de l'exercice d'un pouvoir de substitution380
      • 1° L'intérêt de l'hypothèse380
      • 2° Le rejet de l'hypothèse382
      • Conclusion de la deuxième partie385
      • Troisième partie
        Une institution singulière
      • Chapitre 1 - Le constat389
      • Section 1 : La préfecture de police au sein de la police nationale 389
      • § 1. Une identité propre390
      • A) La permanence de cette identité390
      • 1° La construction390
      • 2° La préservation392
      • B) Les manifestations de cette identité394
      • 1° Le discours394
      • 2° Les réformes395
      • § 2. Des services propres397
      • A) Un service de contrôle propre398
      • B) Un service d'archives propre400
      • Section 2 : Le préfet de police au sein du corps préfectoral 402
      • § 1. Un préfet unique en son genre403
      • A) La distinction du préfet de police et des préfets délégués pour la police403
      • B) La distinction du préfet de police et des préfets titulaires des attributions issues de l'arrêté du 12 messidor an VIII405
      • 1° Le préfet du Rhône (1851-1884)405
      • 2° Les préfets des départements dont le chef-lieu dépasse 40 000 habitants (1855-1867)410
      • § 2. Un préfet à part413
      • A) Une fonction distinctive413
      • B) Une fonction politique416
      • Chapitre 2 - L'explication421
      • Section 1 : Un contexte spécifique 421
      • § 1. La dimension politique422
      • A) La notion de capitale422
      • 1° La définition de la capitale422
      • 2° Les fonctions de la capitale425
      • B) L'essence de la préfecture de police : protéger les organes suprêmes de l'État dans la capitale428
      • 1° La justification du principe428
      • 2° Les illustrations430
      • § 2. Le cadre juridique431
      • A) La distinction entre les affaires d'intérêt local et les affaires d'intérêt national432
      • B) Les principes constitutionnels434
      • 1° Le principe d'indivisibilité de la République435
      • 2° Le principe d'égalité437
      • Section 2 : L'héritage institutionnel 439
      • § 1. Les exemples étrangers439
      • A) Les capitales dénuées de particularisme policier440
      • 1° Berlin440
      • 2° Bruxelles443
      • 3° Madrid447
      • B) Les capitales dotées d'un particularisme policier451
      • 1° Tokyo452
      • 2° Washington, D.C.456
      • 3° Londres461
      • § 2. L'exception française468
      • A) L'importance attachée au centre468
      • B) Le désintérêt pour la périphérie471
      • Chapitre 3 - Les perspectives d'évolution475
      • Section 1 : Une institution en sursis ? 475
      • § 1. L'hypothèse d'une disparition476
      • A) Un contexte favorable476
      • B) Une suppression possible478
      • 1° La montée en puissance du maire de Paris478
      • 2° Les exemples étrangers479
      • § 2. Les éléments en faveur du maintien480
      • A) Les considérations propres à l'institution481
      • 1° Les considérations administratives481
      • 2° Les considérations politiques483
      • B) Les considérations externes à l'institution484
      • 1° Le développement du terrorisme484
      • 2° La multiplication des préfets spécialisés486
      • Section 2 : La nécessaire adaptation 489
      • § 1. Un nouveau périmètre d'action489
      • A) La régionalisation490
      • B) L'européanisation493
      • 1° L'européanisation du préfet de police493
      • 2° L'européanisation de la préfecture de police496
      • § 2. De nouvelles modalités d'action500
      • A) La concertation501
      • B) La contractualisation505
      • 1° Les contrats locaux de sécurité505
      • 2° L'externalisation de certaines activités509
      • Conclusion de la troisième partie516
      • Conclusion519
      • Annexes523
      • Bibliographie et sources539
      • Index alphabétique567
      • Table des matières571

  • Origine de la notice:
    • Electre
  • Disponible - 343.7 REN

    Niveau 3 - Droit