« Une violence à soi » tel pourrait être le sous-titre de cet ouvrage qui, dans une perspective résolument féministe, s’adresse à un lectorat pluridisciplinaire. Son originalité tient en ce qu’il offre, par le biais de disciplines telles que l’histoire, la psychanalyse ou la linguistique, ainsi que sous l’angle de théories récentes sur la narratologie, le postcolonialisme, le traumatisme ou la glottophagie, une diversité d’approches sur un sujet d’actualité trop longtemps resté tabou(extrait de la 4ème de couv.)