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Méthodologies du droit et des sciences du droit

Résumé

L'étude distingue et met en évidence la pluralité des méthodes utilisées dans les textes juridiques et dans les analyses effectuées par les différentes sciences du droit. L'ambition est de donner des grilles de compréhension et d'interprétation des arrêts, des textes juridiques, des commentaires ainsi que des controverses doctrinales. ©Electre 2022


  • Éditeur(s)
  • Date
    • DL 2022
  • Notes
    • Bibliogr. Index
  • Langues
    • Français
  • Description matérielle
    • 1 vol. (XIV-482 p.) ; 24 cm
  • Collections
  • Autre(s) édition(s)
  • Sujet(s)
  • ISBN
    • 978-2-247-21694-9
  • Indice
    • 340 Droit (études générales)
  • Quatrième de couverture
    • Méthodologies du droit et des sciences du droit

      En matière de méthodologie, les juristes ont le plus souvent eu pour réflexe de se réapproprier des modèles provenant d'autres champs de savoir. Cette attitude présente plusieurs difficultés. Elles reposent tout d'abord sur une part de fiction. Les juristes ne sont ni des mathématiciens, ni des physiciens, ni des biologistes, ni des historiens, ni encore des sociologues. Tout au mieux font-ils comme s'ils Tétaient. Par ailleurs, bien que les réappropriations méthodologiques opérées visent fréquemment à ériger le savoir juridique au rang de science, cette prétention n'est pas exempte d'ambiguïtés, ni de malentendus. Cela tient essentiellement au fait que, dans le domaine juridique, il existe deux niveaux de langage, à savoir le langage du droit lui-même et le langage du savant qui l'appréhende. Du point de vue d'une méthodologie analytique, ces deux niveaux devraient être rigoureusement distingués. Toutefois leur confusion est régulièrement entretenue. Pour certains, en effet, les juristes feraient d'autant plus preuve de science qu'ils se révèleraient capables de reproduire, parfois en vue de les prédire, les méthodes, les raisonnements et les solutions retenus par les autorités normatives qu'ils observent. Pour d'autres également, le métier de juriste est avant tout celui d'un bon connaisseur de la technique du droit positif. Cette proximité gardée à l'égard de l'objet analysé est mal comprise par les autres sciences humaines et sociales qui situent les efforts de distanciation et d'objectivation au rang des premiers réquisits méthodologiques du savoir scientifique.

      Dès lors, les réflexions méthodologiques dépassent les enjeux internes au champ juridique. Elles sont cruciales pour qui veut comprendre les déplacements épistémologiques dont sont porteuses l'évolution des techniques de connaissance (technologies de l'information et de la communication, dématérialisation des corpus, sciences ouvertes) et l'affirmation d'objets transverses (environnement, bioéthique, santé, sécurité, globalisation...) qui défient les découpages disciplinaires hérités du siècle dernier. Cette troisième édition a été enrichie de nouveaux développements sur le pragmatisme et les méthodes de l'interdisciplinarité.


  • Tables des matières
      • Méthodologies du droit et des sciences du droit

      • Philippe Jestaz

      • Véronique Champeil-Desplats

      • Dalloz

      • Introduction1
      • 1 Dégagements terminologiques et conceptuels3
      • A. Méthodologie, méthodes 3
      • B. La complexité des chemins 6
      • C. Sciences et méthodologies du point de vue des juristes 9
      • 2 Pluralité des méthodes, pluralité des méthodologies juridiques11
      • A. Méthodologies descriptives, méthodologies prescriptives 13
      • B. Méthodologies du droit, méthodologies des sciences du droit 17
      • C. Méthodes du droit, méthodes des sciences du droit.... 19
      • 3 Méthodologies juridiques en France22
      • 4 Orientations méthodologiques28
      • A. Jugement de valeur, neutralité axiologique, discours critique 29
      • B. Discours-objet et métadiscours 30
      • C. Point de vue interne, point de vue externe 33
      • D. Contexte de la découverte et contexte de la justification : entre le naïf et le stratège 35
      • E. Controverses et méthodologies concurrentes 36
      • 5 Problématique et plan de l'ouvrage38
      • Plan45
      • Première partie
      • Méthodologies des sciences du droit
      • Approche historico-épistémologique
      • Chapitre 1. Les soubassements formalistes des méthodologies juridiques : les modèles des sciences exactes, physiques et de la nature
      • Section 1. Le temps des omniscients 55
      • 1 Des jurisconsultes à la Renaissance : entre logique, dialectique et grammaire56
      • A. Les méthodes héritées des jurisconsultes romains 56
      • 1° La casuistique et ses modes de raisonnement57
      • 2° Ordonner : compiler, classer58
      • 3° Définir60
      • B. Gloses et commentaires du Moyen Âge à la Renaissance : entre approche grammairienne et emprise scolastique 61
      • 2 Du mos mathematicus à l'emprise des sciences physiques et de la nature65
      • A. Le règne de la raison mathématique 67
      • 1° Le rationalisme jusnaturaliste ou l'alliance de la métaphysique et des mathématiques67
      • 2° L'utilitarisme benthamien : la rigueur mathématique sans la nature71
      • B. Du physicien au biologiste, de la mécanique à l'organique 74
      • 1° La métaphore du corps au XVIIIe siècle : à la recherche du Newton des sciences morales75
      • 2° La métaphore du corps au XIXe siècle : organicisme et biologisme79
      • a. État, corps et théories de l'organe 80
      • b. Les dérives biologistes des théories corporatistes au XXe siècle 82
      • Section 2. Les formalismes de la dogmatique conçue comme science 83
      • 1 La structuration formaliste des sciences du droit privé85
      • A. De l'exégèse à la synthèse 85
      • 1° L'Exégèse : reconstruction d'un programme méthodologique86
      • a. La répétition des codes et des lois 87
      • b. Recherche de l'intention de l'auteur et interprétation littérale 87
      • c. La formulation de principes 87
      • d. Le syllogisme 88
      • 2° Systématique et synthèse : le modèle de la science du droit allemande89
      • a. La systématique de l'École historique allemande et son exacerbation pandectiste 90
      • b. La Begriffsjurisprudenz de Rudolf von Jhering 93
      • B. Le redéploiement du formalisme au sein de la dogmatique contemporaine : modélisation à partir du cas français 95
      • 1° Formalismes et introduction de la méthode expérimentale96
      • 2° Les fonctions évaluative, prescriptive et prédictive de la dogmatique101
      • 2 La structuration formaliste des sciences du droit public102
      • A. L'émergence d'une science du droit administratif : entre adaptation et rejet du modèle de l'exégèse 103
      • B. Construction et reconstruction de sciences juridiques de l'État et du droit constitutionnel 106
      • 1° Le tournant des XIXe et XXe siècles : la science juridique de l'État et du droit constitutionnel au cour des querelles de méthodes106
      • a. L'antécédent allemand : les formalismes et positivisme de la science du droit public 107
      • b. La recherche d'une science juridique du droit constitutionnel et de l'État en France 109
      • 2° La reconstruction d'une science juridique du droit constitutionnel à la fin du XXe siècle : le paradigme contentieux114
      • Section 3. Les formalismes des théories du droit 117
      • 1 Formalismes et positivisme méthodologique120
      • A. Les exigences du positivisme méthodologique 121
      • 1° La neutralité axiologique121
      • 2° La séparation des faits et des valeurs123
      • 3° L'observation du droit positif123
      • 4° La vérification des propositions scientifiques125
      • B. La délimitation de l'objet de la science du droit 127
      • 1° La définition stricte de l'objet de la science du droit127
      • a. Le formalisme stricto sensu de l'objet : le droit positif 128
      • b. Le formalisme strictissimo sensu de l'objet : la structure et la forme du droit 130
      • 2° Les possibilités d'un positivisme méthodologique par-delà les formes131
      • 2 Formalisations des discours juridiques et métajuridiques : les usages différenciés de la logique133
      • A. Logique et normativisme : position et évolution du problème chez Hans Kelsen 136
      • 1° Logique des propositions normatives et logique des normes : la Théorie pure du droit de 1934136
      • 2° L'application indirecte de la logique aux normes : la seconde Théorie pure du droit137
      • 3° Le tournant empirique de la Théorie générale des normes : le rejet de toute logique138
      • B. Logique et empirisme : critique de la logique et logique comme outil critique chez Alf Ross 139
      • 1° L'impossible logique formelle, l'imparfaite logique déontique141
      • 2° La pseudo-logique du langage juridique ou l'appui logique comme moyen de justification a posteriori....142
      • C. Logique, formalisation et rigueur du langage scientifique : la méthode analytique 144
      • 1° Clarté et univocité des propositions primitives : l'art de la distinction146
      • 2° Cohérence et logique des raisonnements148
      • D. La logique comme modèle de rationalité juridique : la « forma-moralisation » des raisonnements juridiques 151
      • 1° Les visées évaluatives et prescriptives de la formalisation151
      • 2° Les voies de la formalisation des raisonnements juridiques153
      • Chapitre 2. Aménagements et dépassements des formalismes : l'attrait des sciences humaines et sociales
      • Section 1. Les critiques des formalismes juridiques 162
      • 1 Les dangers axio-téléologiques associés aux formalismes juridiques163
      • A. L'aveuglement aux contextes sociopolitiques 163
      • 1° La négation du progrès et du sens de l'histoire164
      • 2° La négligence de la finalité du droit166
      • 3° Les compromissions idéologiques : le cas de la doctrine sous Vichy167
      • B. Rejets et correctifs 170
      • 1° Débats épistémologiques170
      • 2° Repositionnements dogmatiques172
      • 2 Les insuffisances heuristiques associées aux formalismes juridiques173
      • A. L'inadaptation des méthodes de conceptualisation 174
      • 1° L'écueil de la conceptualisation en vase clos175
      • 2° La méconnaissance de la réalité et de la complexité des objets scientifiques177
      • a. Méthode passive et droit vivant 177
      • b. La pluri-dimensionnalité des objets de recherche 181
      • B. Une vision simplificatrice des phénomènes juridiques 184
      • 1° L'aveuglement face à la réalité des sources du droit184
      • a. Le droit, produit social : du droit vivant au pluralisme juridique 185
      • b. De la loi à la jurisprudence 188
      • 2° L'incapacité à saisir l'intégralité des normes juridiques192
      • a. Critique spiritualo-philosophique 192
      • b. Critique historico-sociologique 193
      • c. Critique néo-objectiviste 195
      • 3° La conception réductrice du raisonnement judiciaire196
      • a. La mystificatrice Mechanical jurisprudence 196
      • b. La logique du raisonnement judiciaire à l'épreuve de la dialectique 199
      • 4° L'idéalisation de la systématisation des ordres juridiques200
      • Section 2. Les dépassements des formalismes juridiques : de l'appropriation des méthodes des sciences sociales à l'émancipation disciplinaire 202
      • 1 Méthodes historico-comparatives, histoire du droit et droit comparé204
      • A. L'importance acquise par l'histoire chez les juristes anglais, américains et allemands 205
      • 1° La diversité des usages de l'histoire en pays de common law jusqu'au tournant du XXe siècle205
      • a. Les usages de l'histoire et la formation du droit non-écrit au Royaume-Uni 206
      • b. Les usages antagoniques de l'histoire dans les théories du raisonnement judiciaire : le cas des États-Unis du début du XXe siècle 208
      • 2° Les méthodes historiques chez quelques juristes allemands du XIXe siècle212
      • a. L'École historique allemande 212
      • b. Les réinvestissements de l'histoire dans la seconde moitié du XIXe siècle 215
      • B. L'intégration des méthodes historiques et comparatives chez les juristes français du début du XXe siècle 218
      • 1° La méthode historique critique de Maurice Deslandres221
      • 2° De la méthode historique à la méthode comparative chez Raymond Saleilles225
      • 3° La complémentarité des méthodes chez Adhémar Esmein230
      • C. Les destinées contrastées des méthodes historiques et comparatives 234
      • 1° L'histoire du droit234
      • 2° Méthodes comparatives et droit comparé : le renouveau des questions méthodologiques237
      • 2 De la méthode sociologique à la sociologie du droit : la diversité des sollicitations du social243
      • A. Les conceptions diversifiées des orientations méthodologiques de la science juridique conçue comme science sociale 244
      • 1° Des rapports différenciés à la neutralité axiologique244
      • a. Les finalités sociales de la science 245
      • b. Les doutes épistémologiques 247
      • 2° Du naturalisme à l'empirisme247
      • B. La pluralité des degrés d'engagement vers la sociologie 251
      • 1° Des alliances à géométrie variables252
      • a. Le droit comme mise en forme du social chez Raymond Saleilles 253
      • b. De la Sociological jurisprudence à la psychosociologie radicale des réalistes américains 254
      • c. Formalisme juridique et psycho-sociologie chez Alf Ross 255
      • 2° L'édification de sociologies du droit258
      • 3 Les rapports méthodologiques aux sciences politique et économique264
      • A. De la science politique comme méthode éclectique à la science politique comme discipline 264
      • B. De l'économie politique à l'analyse économique du droit 267
      • Conclusion271
      • Deuxième partie
      • Méthodes d'analyse et de production des discours juridiques
      • Approche analytique
      • Chapitre 1. Distinguer les niveaux de discours
      • Section 1. Formes et fonctions prescriptives des discours juridiques 276
      • 1 Les conceptions classiques de la forme prescriptive276
      • A. Les modalités de formulation de la prescription : forme déontique et clarté des énoncés 277
      • B. Les exigences constitutionnelles de normativité, d'intelligibilité et de clarté des textes législatifs 282
      • 2 La diversité des formes des énoncés juridiques contemporains284
      • A. Les expressions de la diversité 285
      • 1° Prescription, impératif et présent de l'indicatif285
      • 2° Les énoncés déclaratifs et promotionnels286
      • B. De l'énoncé à la signification normative 288
      • Section 2. Formes et fonctions descriptives des métadiscours juridiques 291
      • 1 La pluralité des types d'énoncés des métalangages juridiques292
      • A. Les énoncés susceptibles d'être logiquement vrais ou faux et empiriquement vérifiables ou falsifiables 292
      • 1° Enoncés descriptifs, énoncés empiriques292
      • 2° Les énoncés analytiques295
      • 3° Le cas des énoncés prédictifs296
      • B. Les énoncés ni vrais, ni faux : des reconstructions vraisemblables, probables, cohérentes à l'évaluation 298
      • 1° Les théories298
      • 2° Les énoncés explicatifs302
      • 3° Les énoncés prescriptifs et évaluatifs303
      • 2 Objectivité et idéal de neutralité axiologique dans la science du droit305
      • A. L'émergence des exigences de neutralité axiologique et d'objectivité : efforts du savant et autonomisation d'un discours 307
      • B. Conditions de possibilité et effets de la neutralité axiologique et de l'objectivité 309
      • 1° Neutralité et objectivité : des exigences rattrapées par leurs contextes310
      • a. Le rattrapage en amont par les bagages « pré-conceptuels » du savant 310
      • b. Le rattrapage lié à la proximité du chercheur à l'égard de son objet 311
      • c. Le rattrapage en aval de la proposition descriptive par le contexte sociopolitique 313
      • 2° L'objectivité comme objectivation314
      • C. Neutralité, objectivité et critique du droit 317
      • Chapitre 2. Décomposer, recomposer
      • Section 1. Définir 321
      • 1 Les formes de définition324
      • A. Les définitions informatives 325
      • 1° Définition par genre et différence326
      • 2° Définition par la fonction327
      • 3° Définition conceptuelle328
      • 4° Définition par énumération329
      • 5° Définition lexicale330
      • 6° Définition ostensive ou par renvoi à la réalité empirique330
      • B. Les définitions stipulatives 331
      • 2 L'usage des définitions335
      • A. L'absence de définition 335
      • 1° L'absence de définition dans les discours juridiques335
      • 2° L'absence de définition et l'impossibilité de définir dans le métalangage juridique337
      • B. Les degrés de précision des définitions 339
      • C. Pluralité des définitions 341
      • 1° La pluralité des définitions dans les discours juridiques342
      • 2° La pluralité des définitions dans les métadiscours juridiques344
      • Section 2. Saisir les données et les savoirs 346
      • 1 Conceptualiser346
      • A. Les concepts 346
      • B. Concept, catégorie et notion 351
      • 1° Concept et catégorie352
      • 2° Concept et notion353
      • 2 Ordonner355
      • A. Les ordonnancements à vocation exhaustive 355
      • 1° Les codifications355
      • 2° Les systématisations357
      • 3° Les classifications358
      • 4° La pensée dichotomique363
      • B. Les ordonnancements et reconstructions à vocation sélective 366
      • 1° Les synthèses366
      • 2° Les modèles366
      • 3° Les typologies368
      • 4° Les traitements pragmatiques de l'objet juridique370
      • Section 3. Articuler les données et les savoirs 373
      • 1 L'hétérogénéité des formes et des degrés d'investissement extra-disciplinaire374
      • A. Les références à titre annexe 374
      • B. Pluri-, inter-, trans-disciplinarite 376
      • 1° Pluridisciplinarité376
      • 2° Inter- et trans-disciplinarité378
      • 3° Indiscipline et esthétisme382
      • 2 Les modalités d'articulation des savoirs : quelles méthodes ?384
      • A. Difficultés et écueils : de l'effet d'hypostase au syncrétisme 385
      • B. Expériences interdisciplinaires et pragmatisme de l'entrecroisement des savoirs 390
      • Chapitre 3. Raisonner, interpréter, justifier
      • Section 1. De la logique à la rhétorique 394
      • 1 Logique et pseudo-logique395
      • A. Les raisonnements réputés à conclusions certaines : le cas des déductions et du syllogisme 397
      • B. Les formes de raisonnements à conclusion probable 401
      • 1° De l'Induction parfaite à l'Induction amplifiante401
      • 2° Le raisonnement a contrario403
      • 3° Le raisonnement a fortiori404
      • 4° Le raisonnement analogique405
      • 2 De quelques techniques d'argumentation406
      • A. Les jeux avec la réalité 407
      • 1° Les fictions dans le langage juridique408
      • 2° La métaphore dans l'analyse du droit409
      • B. Clore les controverses : montée en généralité et arguments d'autorité 413
      • 1° L'appui sur les valeurs ultimes413
      • 2° La mise en cause des effets416
      • 3° Le dévoilement des Intentions418
      • 4° L'autorité et la menace419
      • Section 2. L'interprétation, ses méthodes, ses justifications 421
      • 1 Typologie des lieux et des méthodes d'interprétation423
      • A. La recherche du sens à partir de l'intention de l'auteur 424
      • B. La recherche du sens à partir des textes eux-mêmes 427
      • C. La recherche du sens à partir de la fonction et de la finalité du texte 431
      • D. La reprise du sens conféré par les juges 434
      • 2 Usages des méthodes d'interprétation436
      • A. Les références aux méthodes interprétatives au sein des discours juridiques 437
      • B. Éclectisme et statut des méthodes dans les métadiscours juridiques 440
      • Conclusion445
      • Bibliographie449
      • 1 Ouvrages449
      • A. Épistémologie, histoire des sciences, sciences sociales, philosophie 449
      • B. Méthodologies juridiques 451
      • C. Histoire du droit, histoire de la pensée juridique et politique 452
      • D. Philosophie du droit, théorie du droit, sociologie du droit 456
      • E. Raisonnement, argumentation, interprétation 463
      • F. Droit comparé 466
      • G. Manuels, Traités, Dictionnaires juridiques généraux 466
      • 2 Articles467
      • A. Épistémologie, histoire des sciences, sciences sociales 467
      • B. Méthodologies juridiques 468
      • C. Histoire du droit et de la pensée juridique 469
      • D. Sociologie, philosophie, theorie du droit 472
      • E Raisonnement, définition, argumentation, interprétation 476
      • F. Droit comparé, droit européen 478
      • G. Pluri- et interdisciplinarité 480
      • Index thématique481

  • Origine de la notice:
    • Abes ;
    • Electre
  • Disponible - 340 CHA

    Niveau 3 - Droit