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Le coût et le goût du pouvoir : le désenchantement politique face à l'épreuve managériale : sociologie clinique des cabinets ministériels

Résumé

A. Harlé montre combien les membres des cabinets ministériels s'interrogent sur le sens de leurs fonction et action publiques. A travers des entretiens, ces acteurs politiques, confrontés entre leur mission traditionnelle et l'hypermodernité, font part de leur désenchantement lié à leurs conditions de travail malgré le goût de l'ivresse du pouvoir qu'ils ressentent.


  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2010
  • Notes
    • En appendice, présentation de l'échantillon constitué par les entretiens avec les membres de cabinets
    • Bibliogr. p. 483-495. Résumé en français et en anglais
  • Langues
    • Français
  • Description matérielle
    • 1 vol. (XXI-516 p.) ; 24 cm
  • Collections
  • Sujet(s)
  • Lieu
  • ISBN
    • 978-2-247-08905-5
  • Indice
  • Quatrième de couverture
    • Les membres de cabinets, hommes et femmes politiques de l'ombre, subissent flexibilité, instabilité et conditions de travail extrêmes. Le goût du pouvoir leur permet d'en supporter le coût. Acteurs de la confrontation entre leur mission traditionnelle et l'hypermodernité, ils expriment leur désenchantement voire leur déprime. Se voulant pragmatiques, ils se lancent dans l'urgence et l'hyperactivité au détriment de la pensée et de l'utopie.

      Sens et existence de la politique sont interrogés à travers le vécu et le discours des acteurs. Les membres de cabinets vivent les contradictions entre l'action politique, d'essence collective et solidaire, et la société gestionnaire, prônant l'autonomie individuelle, la compétition, la quantophrénie et la bonne gouvernance. Ils valorisent un système qui soumet leur fonction politique aux «impératifs» de l'économie mondialisée.


  • Tables des matières
      • Le coût et le goût du pouvoir : le désenchantement politique face à l'épreuve managériale

      • Sociologie clinique des cabinets ministériels

      • Dalloz

      • Table des abréviations VII
      • Remerciements IX
      • Résumé XI
      • Summary XIII
      • Préface XV
      • Préambule XVII
      • Introduction 1
      • Première partie Des hommes dans l'excès13
      • Introduction de la première partie 17
      • Chapitre I. Au coeur des cabinets ministériels 19
      • Section I. Des écrits sur les cabinets ministériels19
      • § I. Les cabinets ministériels comme objet de recherches20
      • § II. Analyse des productions littéraires révélatrices de la complexité du vécu24
      • Section II. Approche clinique des cabinets ministériels27
      • § I. L'implication du chercheur27
      • § II. Rencontrer les membres de cabinets ministériels29
      • § III. Penser la politique sans penser politiquement32
      • § IV. De l'approche compréhensive à l'approche clinique33
      • § V. Restituer les conditions de vie ressenties38
      • Section III. Recueil des données40
      • § I. Observations et entretiens : la prééminence de l'entretien40
      • § II. Les entretiens42
      • § III. Une typologie de provenances et de motivations45
      • Chapitre II. Les cabinets et le pouvoir politique dans l'histoire 51
      • Section I. Une permanence historique51
      • § I. De l'antiquité à la république52
      • § II. République et cabinets : l'affirmation concomitante57
      • Section II. Continuité et évolution60
      • § I. Le conseiller du prince61
      • § II. Le cabinet et l'affirmation de l'état62
      • Section III. Inscription dans l'histoire du pouvoir politique et spécificité française65
      • § I. Une structure qui transcende les aléas institutionnels65
      • § II. La spécificité française68
      • Chapitre III. Le cabinet dans tous ses états : ombres et lumières 71
      • Section I. Le cabinet : sa symbolique71
      • § I. Sémantique de «cabinet» : au-delà du politique, un lieu de prestige et de secret72
      • § II. Entre fascination et répulsion75
      • Section II. Une organisation caractéristique au coeur de l'état78
      • Les fonctions au cabinet 82
      • Section III. Une zone de faible droit86
      • § I. Vers l'encadrement des rémunérations87
      • § II. Lien personnel et don de soi89
      • Chapitre IV. Flexibilité et instabilité suprême : des hommes sous pression 91
      • Section I. Protection zéro : «un siège éjectable»92
      • Section II. Tous pour lui [le ministre], chacun contre tous95
      • § I. La confiance du ministre95
      • § II. Une lutte permanente pour exister97
      • § III. L'esprit d'équipe100
      • Section III. Un engagement total : «7 jours sur 7 et 24 heures sur 24»101
      • L'hyperactivisme permanent 104
      • Section IV. Surexposition individuelle106
      • § I. Action, innovation, initiative107
      • § II. La prééminence de l'apparence109
      • § III. La pression de la compétition110
      • § IV. La quête de l'excellence111
      • Chapitre V. Le règne de l'urgence : «La revanche de Chronos» 115
      • Section I. Une temporalité spécifique : «on vit à MAG 3»115
      • Une action inscrite dans un temps accéléré 118
      • Section II. Cadences infernales : une pression au coeur de l'action119
      • § I. Une modification des modes d'action120
      • § II. Les risques de l'erreur120
      • § III. Stress et anxiété121
      • Section III. Le sens de cette pression : «Le culte de l'urgence»123
      • § I. Une donnée subjective124
      • § II. Une logique de survie126
      • Section IV. Les risques de l'urgence permanente126
      • § I. L'impulsion avant la réflexion127
      • § II. Une donnée collective fondamentale131
      • Chapitre VI. Le manque de reconnaissance 133
      • Section I. L'expression d'une souffrance : la conscience d'une injustice133
      • § I. Le poids d'une injustice134
      • § II. Une conviction ancrée dans l'imaginaire populaire135
      • § III. La responsabilité de la justice136
      • Section II. «Nous sommes les malaimés»137
      • § I. Le prix de la déception des citoyens137
      • § II. Le poids du secret dans une société de transparence138
      • § III. Une image parfois justifiée139
      • Section III. Le besoin d'y remédier140
      • § I. Les fatalistes140
      • § II. Les révoltés142
      • § III. La nécessité de changer143
      • Section IV. Des efforts peu récompensés145
      • § I. Une rémunération décalée145
      • § II. La faible rémunération des acteurs politiques147
      • § III. Un ressenti douloureux148
      • § IV. Une atteinte des personnes149
      • Chapitre VII. Un pouvoir contesté 151
      • Section I. Décentralisation : un pouvoir partagé152
      • § I. Une exigence de proximité152
      • § II. Une rupture avec l'histoire centralisatrice française153
      • § III. Une obligation aux conséquences douloureuses154
      • Section II. L'Europe : un pouvoir perdu155
      • § I. Un travail plus complexe156
      • § II. Des risques nouveaux157
      • Section III. La mondialisation : un pouvoir concurrencé158
      • § I. La différenciation des cadres géographiques158
      • § II. Tenir compte de paramètres extérieurs159
      • § III. La concurrence des puissances financières161
      • Section IV. De la pyramide du pouvoir aux réseaux de pouvoir163
      • § I. Le coût de décisions négociées163
      • § II. L'aide relative de la technologie164
      • § III. Crise de l'autorité : du pouvoir institué au pouvoir mérité165
      • Chapitre VIII. Des hommes exaltés : l'ivresse du pouvoir 169
      • Section I. Le prestige de la fonction171
      • § I. Une rencontre avec l'histoire171
      • § II. Une motivation pour l'action173
      • Section II. La fonction change l'homme174
      • § I. Des capacités décuplées174
      • § II. Sentiment de puissance et obligation morale175
      • Section III. Le piment du secret176
      • § I. Le pouvoir de l'ombre177
      • § II. Le pouvoir du savoir178
      • § III. Les éminences grises179
      • Section IV. Au service de...180
      • § I. La puissance d'un «grand homme»180
      • § II. Le service d'une ambition182
      • Chapitre IX. La noblesse de classe : l'altérité de l'exercice du pouvoir 183
      • Section I. Le service du pays ou de l'état184
      • § I. Une vision collective de leur action184
      • § II. Une compétence au service de l'état185
      • Section II. Le service des autres185
      • § I. Une étape dans une carrière politique186
      • § II. La politique à partir du concret187
      • Section III. Le service d'une cause187
      • § I. Une compétence au service d'un projet188
      • § II. Un engagement qui transcende les clivages politiques189
      • Section IV. Le service d'un homme ou d'une femme190
      • § I. Une compétence politique190
      • § II. La fidélité à un homme ou une femme191
      • Section V. Une quête de grandeur193
      • § I. Un engagement désintéressé193
      • § II. L'appartenance à la classe dirigeante194
      • § III. L'immortalité par l'histoire195
      • Chapitre X. La dépendance 197
      • Section I. Les «défoncés de l'action»197
      • § I. Faire ses preuves198
      • § II. Dopés par l'action199
      • § III. La joie de la victoire200
      • § IV. Autant de contraintes, moins de satisfactions202
      • Section II. La difficile réadaptation203
      • Section III. La dépression post cabinet206
      • § I. Une fatigue accumulée206
      • § II. Une «brûlure interne»207
      • Conclusion de la première partie : Sur le fil 211
      • § I. Un modèle entrepreneurial au coeur de l'état211
      • § II. Un goût édulcoré212
      • § III. Le désir de faire l'histoire, la conscience de ne plus pouvoir la faire214
      • Seconde partie. Sens et non sens de l'action politique217
      • Introduction de la seconde partie 221
      • § I. La société hypermoderne222
      • § II. Un sentiment d'impuissance au coeur du pouvoir politique223
      • § III. Un changement de l'action et de l'objet politique224
      • § IV. Déprime et tentatives de réenchantement225
      • Chapitre I. À la recherche de la modernisation politique 227
      • Section I. La comptabilité comme objectif, la gestion comme finalité229
      • § I. Comprendre c'est mesurer229
      • § II. Modéliser et objectiver230
      • § III. Gérer plutôt que gouverner231
      • § IV. L'équilibre comptable comme obligation politique234
      • § V. Optimiser les dépenses234
      • § VI. La gestion avant l'humain235
      • Section II. L'évaluation comme validation des politiques236
      • § I. L'évaluation comme consensus politique237
      • § II. «Un mal français» : l'insuffisante évaluation des politiques publiques240
      • § III. La lolf, une rupture au début du XXIe siècle241
      • § IV. La «vérité comptable» avant le débat politique243
      • § V. Du contrôle des comptes à l'évaluation puis à l'incitation244
      • Section III. Le culte de l'expertise comme garantie d'efficacité245
      • § I. L'expertise contre la politique246
      • § II. L'expertise avant la souveraineté du peuple248
      • § III. L'expertise pour délégitimer la contestation sociale250
      • § IV. Le choix de politiques publiques facilement «quantifiables»251
      • Chapitre II. La performance : nouvelle figure idéale 253
      • Section I. Des modèles pour la société : le culte de l'effort254
      • § I. La performance comme modèle et objectif social254
      • § II. Si on veut on peut256
      • § III. La responsabilité individuelle de l'échec256
      • Section II. Des modèles pour la classe politique257
      • § I. Des modèles pour tous258
      • § II. Faire gagner la france260
      • § III. Un besoin personnel d'autres images idéales261
      • Section III. Une autre approche de la justice sociale : la compétition contre la solidarité262
      • § I. L'occultation des sources collectives d'une réussite individuelle262
      • § II. Changer sa place dans la société et non changer l'ordre social264
      • § III. De la lutte solidaire aux révoltes catégorielles267
      • § IV. La compétition pour légitimer les inégalités268
      • Chapitre III. Les têtes «pansantes» de la République 271
      • Section I. Changer la société ou la soigner ? Le «panser» contre la pensée272
      • § I. La connotation médicale du langage politique273
      • § II. Combattre les maux, soigner les plaies275
      • § III. Panser les plaies sociales278
      • § IV. Échecs et désillusions politiques278
      • § V. Des «panseurs» non politiques279
      • Section II. «Soigner» la société ou l'individu ? De «panser» la société à «panser» l'individu281
      • § I. Corriger les individus281
      • § II. Aider les individus déficients282
      • § III. Sanctionner les individus récalcitrants287
      • Section III. Le stéréotype féminin réducteur de la compassion290
      • § I. L'image «masculine» de femmes politiques290
      • § II. L'affirmation de la féminité291
      • § III. La parité comme affirmation des fonctions féminines de l'état292
      • § IV. Les femmes, signes et vecteurs de modernisation politique294
      • Chapitre IV. Vers la fin de l'utopie : l'action contre le rêve 297
      • Section I. Réaction, action, communication297
      • § I. La perte de la maîtrise du temps et des thèmes de l'action politique298
      • § II. La communication prévaut dans les choix de politiques publiques300
      • § III. Convaincre dans l'instantanéité301
      • § IV. Un bel emballage de décisions techniques302
      • § V. Communiquer pour éviter la contestation politique303
      • § VI. L'inscription du travail dans le temps présent304
      • § VII. Le choc des images305
      • Section II. L'action contre le rêve et la pensée307
      • § I. L'utopie, donnée constitutive de l'histoire politique308
      • § II. Le rejet de l'idéologie309
      • § III. Idéologue ou non, un clivage d'âge312
      • § IV. De la contemplation à l'action312
      • § V. L'idéologie dérangeante314
      • Section III. Du combat d'idées aux actions de combat315
      • § I. Le combat contre les chiffres316
      • § II. Un combat inégal316
      • § III. L'échec du combat contre les chiffres dévalorisant pour l'action politique317
      • § IV. Combattre les faiblesses des individus318
      • § V. Le combat d'hommes319
      • § VI. L'âpreté du combat au sein d'un même camp320
      • Chapitre V. Les valeurs managériales au coeur de l'État bureaucratique 323
      • Section I. Une idéalisation des valeurs managériales : inscription dans la société hypermoderne325
      • § I. Le caractère normatif de la littérature du management326
      • § II. Convergences du discours politique et des activités du management327
      • § III. L'inscription des politiques publiques dans le cadre de l'économie de marché331
      • § IV. Les fonctions d'une idéologie332
      • § V. Une idéologie imposée de l'extérieur333
      • § VI. La juste récompense du mérite pour favoriser l'adhésion des individus335
      • § VII. Les sens du déni d'idéologie337
      • Section II. Une persistance de l'état bureaucratique : inscription dans l'histoire339
      • § I. L'état protecteur340
      • § II. L'occultation de l'état nation342
      • § III. Un état en permanente adaptation343
      • § IV. La rupture avec le mouvement centralisateur français343
      • § V. Une rupture importée347
      • § VI. La condamnation de la bureaucratie349
      • § VII. Une critique importée352
      • Section III. Un conflit de valeurs antagonistes353
      • Le contrat contre la loi 355
      • Chapitre VI. Du gouvernement à la gouvernance 359
      • Section I La gouvernance : inscription dans un contexte économique, politique et idéologique360
      • § I. Une connotation de pouvoir partagé ou limité360
      • § II. Une société perturbée par les politiques publiques363
      • Section II. Le nouvel esprit des gouvernants : la gouvernance364
      • § I. Un pouvoir négocié366
      • § II. Responsabilisation et efficacité367
      • § III. L'état allégé et bon gestionnaire368
      • § IV. Optimiser les ressources humaines du pays369
      • § V. Une obligation internationale370
      • § VI. La coopération publique/privé375
      • § VII. Un droit international contractuel375
      • Section III. La gouvernance est-elle politique ?377
      • La gestion technique contre la politique 378
      • Chapitre VII. La «déprime» politique 381
      • Section I. La vie en noir (négativité)382
      • § I. Une insuffisante modernisation383
      • § II. Des erreurs politiques383
      • § III. Des hommes insuffisants384
      • § IV. La france va mal387
      • § V. La responsabilité des autres388
      • Section II. La déprime des hommes politiques : le renoncement390
      • § I. Le poids des ressentiments390
      • § II. Une certaine victimisation392
      • § III. Un engrenage d'abandon394
      • § IV. Un manque d'éclairage396
      • Section III. La «déprime» de la politique398
      • § I. Un sentiment de faiblesse face aux puissances financières398
      • § II. Les états, limités dans leurs frontières, face à la mondialisation400
      • § III. Des pouvoirs de nature différente402
      • § IV. Concordance d'un choix idéologique, d'un renoncement et d'un camouflage des insuffisances404
      • § V. Une boulimie d'actions405
      • § VI. Le caractère politique de décisions dites «apolitiques»406
      • § VII. Une contestation idéologique407
      • § VIII. Une contestation pragmatique408
      • § IX. L'éclairage de la doctrine409
      • Chapitre VIII. Tentatives de réenchantement 413
      • Section I. Le désenchantement dans les cabinets ministériels414
      • § I. Une perte de croyance dans le pouvoir faire415
      • § II. Gérer la société des faits et non construire la société des rêves416
      • Section II. Réenchanter l'action politique417
      • § I. La proximité politique : «faire du terrain»418
      • § II. La revirilisation de la politique419
      • § III. La séduction424
      • Section III. Réenchanter leur vie427
      • § I. Mettre en scène la personne du ministre428
      • § II. Jouer à l'homme ordinaire430
      • § III. Ressembler aux gagnants : valorisation, compagnonnage et mimétisme430
      • § IV. La télévision, instrument majeur de la tentative de réenchantement433
      • § V. Un désarroi persistant434
      • § VI. «Paraître être» et non «être»436
      • Chapitre IX. Les politiques contre la politique 439
      • Section I. La soumission volontaire440
      • § I. Les politiques sur le terrain des technocrates441
      • § II. Vers l'expertise privée442
      • § III. Glissement du pouvoir régalien vers le secteur privé443
      • § IV. L'enseignement atteint par le renoncement444
      • § V. La pression gestionnaire des institutions internationales446
      • § VI. Une autodévalorisation de la fonction447
      • § VII. La soumission volontaire448
      • § VIII. L'engrenage de la soumission450
      • § IX. Se soumettre et conserver une part de pouvoir451
      • Section II. Un monde sans politique ?452
      • § I. Ils ne peuvent plus car ils ne croient plus pouvoir453
      • § II. De l'homo politicus à L'homo oeconomicus454
      • § III. Le caractère récent de l'inscription de la politique dans la construction du futur455
      • § IV. Le retour à une conception statique de la société politique457
      • Section III. Présence et nécessité de la politique458
      • § I. Le sens du déni de politique459
      • § II. La politique et l'histoire461
      • § III. De nouveaux acteurs politiques462
      • § IV. Une mondialisation des nouveaux acteurs politiques464
      • Conclusion de la seconde partie 467
      • Conclusion générale 469
      • Au coeur des contradictions, déprise et déprime politiques 471
      • § I. Un avenir incertain474
      • § II. Les sociologues face à la déprime politique477
      • Bibliographie 483
      • Articles de presse 495
      • Rapport 495
      • Présentation de l'échantillon constitué par les entretiens avec les membres de cabinets 497
      • Parti de référence ou positionnement politique définis par les membres de cabinet 501
      • Gouvernement de fonction 501
      • Gouvernements de la Cinquième République 503

  • Origine de la notice:
    • BNF
  • Disponible - 350.3 HAR

    Niveau 3 - Droit