par Dicale, Bertrand (1963-....)
J.-C. Lattès
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Disponible - 300.71 DIC
Niveau 2 - Sociologie, démographie
Résumé
Ecrivain et journaliste (France Inter, France Info), de père guadeloupéen et de mère auvergnate, l'auteur témoigne de sa souffrance face au regard porté sur les métis, malgré les discours valorisant le métissage. Il démontre que les métis ne peuvent pas se prévaloir d'une double culture et doivent renier une part de leur héritage.
- Éditeur(s)
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Date
- impr. 2010
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Langues
- Français
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Description matérielle
- 1 vol. (281 p.) ; 21 cm
- Sujet(s)
- Epoque
- Lieu
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ISBN
- 978-2-7096-3319-2
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Indice
- 300.71 Minorités
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Quatrième de couverture
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Un métis n'a pas de majuscule. J'approchais de mes quarante ans quand je l'ai découvert. On écrit de manière correcte un Noir ou un Blanc, mais un métis. Pourquoi une lettre capitale à mon père, pourquoi une lettre capitale à ma mère, pourquoi une lettre minuscule dès lors qu'il s'agit de mes frères et moi ?
On m'a répondu : un Noir, c'est une race ; un Blanc, c'est une race ; un métis, ce n'est pas une race. À partir de quand est-on une race ?
Le métissage est à la mode. On nous dit que c'est une chance, que c'est l'avenir, et même que c'est un progrès pour la France et pour l'humanité.
Quand on est métis, tout vous prouve le contraire.
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Origine de la notice:
- FR-751131015
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Disponible - 300.71 DIC
Niveau 2 - Sociologie, démographie
