PHYSIOLOGIE AÉRONAUTIQUE
HENRI MAROTTE
Éditions S. E. E. S.
PREMIÈRE PARTIE : EXPOSITION DE L'HOMME AUX FACTEURS DE L'ENVIRONNEMENT ET MOYENS DE PROTECTION
CHAPITRE PREMIER : LA STRUCTURE DE L'ATMOSPHÈRE
1.1 La pression barométrique 14
1.2 La composition de l'atmosphère 14
1.3 La température 17
Figure 1 : Graphique de la pression barométrique en fonction de l'altitude.15
Tableau 2 : Valeurs numériques de la pression barométrique en fonction de l'altitude.15
Tableau 3 : Composition de l'air atmosphérique.16
Figure 4 : Température de l'air en fonction de l'altitude.16
CHAPITRE 2 : VENTILATION ET CIRCULATION
2.1 La circulation sanguine.
19
2.1.1 Anatomie 19
2.1.2 Physiologie. 20
2.2 La ventilation.
20
2.2.1 Anatomie. 20
2.2.2 Physiologie. 21
2.2.2.1 Mécanique ventilatoire. 21
2.2.2.2 Commande ventilatoire. 23
2.2.2.3 Échanges gazeux. 24
2.2.2.4 Transport de l'oxygène par le sang. 24
2.2.2.5 Transport du dioxyde de carbone par le sang et sa relation avec le pH. 25
2.3 La respiration : données quantitatives.
26
Figure 5 : Plan général de la circulation sanguine.19
Figure 6 : Schéma du système ventilatoire.21
Figure 7 : Représentation des différentes grandeurs spirométriques.21
Figure 8 : Courbe de la ventilation en fonction de la PI 02.23
Figure 9 : Courbe de la ventilation en fonction de la PI C02.24
Figure 10 : Courbe de dissociation de l'hémoglobine.25
CHAPITRE 3 : HYPOXIE
3.1 Historique.
27
3.2 Classifications et mécanismes principaux.
27
3.2.1 Classification des types d'hypoxie. 27
3.2.2 Classification des états d'hypoxie selon la durée. 27
3.3 Effets de l'hypoxie aiguë d'altitude sur les grandes fonctions végétatives.
29
3.3.1 Effets subjectifs de l'hypoxie. 29
3.3.2 Effets de l'hypoxie sur la ventilation. 29
3.3.3 Effets de l'hypoxie sur la circulation sanguine. 29
3.4 Effets de l'hypoxie sur les fonctions de relation.
29
3.4.1 Effets de l'hypoxie sur la cellule musculaire. 29
3.4.2 Effets de l'hypoxie sur la cellule nerveuse. 29
3.4.3 Modifications de la fonction motrice. 30
3.4.4 Les organes des sens. 32
3.4.5 Effets de l'hypoxie aiguë sur les fondions psychiques. 32
3.5 La tolérance à l'hypoxie d'altitude.
34
3.5.1 Tolérance à l'hypoxie en fondion de l'altitude atteinte. 35
3.5.2 Évolution de l'hypoxie en fondion du temps. 36
3.5.3 La tolérance à l'hypoxie suraiguë et le temps de conscience utile. 37
3.6 Bases de calcul appliquées à la protection contre l'hypoxie d'altitude.
37
3.6.1 Cas général. 37
3.6.2 Cas de la décompression rapide à haute altitude. 39
ANNEXE AU CHAPITRE 3 : RÉCITS D'INCIDENTS D'HYPOXIE D'ALTITUDE.41
Tableau 11 : Différents types d'hypoxie. 28
Tableau 12 : Classification des types d'hypoxie selon la durée. 28
Figure 13 : Exemple d'un test d'écriture en hypoxie. 31
Figure 14 : Courbe de Gauss, valeurs moyennes et valeurs extrêmes (« de sécurité »). 34
Figure 15 : Zones de tolérance à l'hypoxie en fondion de l'altitude. 35
Tableau 16 : Temps de conscience utile. 37
Figure 17 : Représentation graphique des valeurs minimales de FI 02. 38
Figure 18 : Variations de PA 02 après une décompression rapide. 40
CHAPITRE 4 : LE RISQUE TOXIQUE EN VOL ET LE CAS PARTICULIER DE L'EXCÈS DE C02
4.1 Généralités et exemples.
51
4.2 Mécanismes d'intoxication.
52
4.3 Prévention et protection.
53
4.4 Le cas particulier de l'excès de C02.
53
4.4.1 Définition et conséquences physiologiques de l'hypercapnie. 54
4.4.2 Effets physiologiques de l'hypercapnie. 54
4.4.3 Tolérance à l'hypercapnie. 54
4.4.4 Données réglementaires. 55
CHAPITRE 5 : DILATATION ET COMPRESSION DES GAZ
5.1 Barotraumatismes ORL.
57
5.2 Troubles barotraumatiques du tube digestif.
58
5.2.1 Les aéroodontalgies. 58
5.2.2 Les douleurs digestives. 58
Figure 19 : Représentation schématique de l'oreille externe et moyenne. 57
CHAPITRE 6 : LA MALADIE DE DÉCOMPRESSION D'ALTITUDE
6.1 Historique.
59
6.2 Mécanismes physiques.
60
6.3 Mécanismes physiopathologiques.
61
6.4 Symptômes de la maladie de décompression.
62
6.4.1 Les formes bénignes. 62
6.4.2 Les formes graves. 62
6.4.3 Les formes retardées. 62
6.5. Facteurs de risque de la maladie de décompression.
62
6.5.1 Évaluation globale du risque de maladie de décompression. 62
6.5.2 Facteurs physiques. 62
6.5.3 Facteurs individuels. 63
6.6. Circonstances actuelles d'apparition de la maladie de décompression.
63
7 Traitement de la maladie de décompression.
64
7.1. Traitement préventif. 64
7.1. - 1) Sélection des personnels. 64
7.1. - 2) Traitement préventif individuel : la dénitrogénation. 65
7.1. - 3) Traitement préventif collectif : le conditionnement de cabine. 66
7.2. Traitement curatif. 66
8 Conclusion.
66
Tableau 20 : Conditions d'apparition du risque de maladie de décompression en aéronautique. 61
Figure 21 : Efficacité de la dénitrogénation avant l'exposition à l'altitude de 10 600 m. 64
Figure 22 : Efficacité de la dénitrogénation. 65
CHAPITRE 7 : LA PRESSURISATION DES CABINES
7.1. Mode de fonctionnement des cabines pressurisées.
67
7.2. Avantages et inconvénients des cabines pressurisées.
68
7.3. Données réglementaires.
70
7.4. Les accidents de décompression de cabine pressurisée.
70
7.4.1 Les décompressions lentes. 71
7.4.2 Les décompressions rapides. 71
7.4.3 Les décompressions explosives. 71
7.4.3.1 Le bruit. 71
7.4.3.2 Les effets de souffle. 71
7.4.3.3 Le risque de suppression alvéolaire. 71
Figure 23 : Schéma d'une loi de pressurisation. 69
Figure 24 : Schéma de principe d'un régulateur de pressurisation. 69
Figure 25 : Schéma d'un système mixte de pressurisation avec recirculation. 69
Figure 26 : Modèle de Luft. 72
Figure 27 : Risque de surpression alvéolaire en fonction du rapport de pression et du coefficient de fuite. 73
CHAPITRE 8 : ÉQUIPEMENTS INDIVIDUELS DE PROTECTION RESPIRATOIRE EN VOL : LES SYSTÈMES D'OXYGÈNE
8 Introduction.
75
8.1 Le système d'oxygène embarqué : plan d'ensemble.
76
8.2 Les sources d'oxygène embarquées.
76
8.2.1 Les sources d'oxygène gazeux. 76
8.2.2 Les sources d'oxygène liquide. 77
8.2.3 Les générateurs chimiques d'oxygène. 78
8.2.4 Les concentrateurs d'oxygène. 78
8.2.5 Les sources de secours. 78
8.3 Les régulateurs d'oxygène.
78
8.3.1 Classification des systèmes inhalateurs d'oxygène. 78
8.3.2 Les régulateurs d'oxygène à débit continu. 78
8.3.3 Les régulateurs d'oxygène à la demande. 81
8.3.3.1 La fonction de demande. 81
8.3.3.2 La fonction de dilution. 83
8.3.3.3 Les fonctions de surpression. 83
8.3.3.4 La fonction de secours. 84
8.3.3.5 Les fonctions de signalisation et d'alarme. 84
8.4 Protection contre le risque toxique : les cagoules anti-fumées.
84
À propos des systèmes d'oxygène embarqués dans les avions de ligne. 85
8.5 Règlements sur l'emploi des systèmes inhalateurs d'oxygène.
87
8.5.1 Aviation militaire. 87
8.5.2 Aviation civile : réglementation spécifique à la France. 87
8.5.3 Aviation civile : FAR (administration américaine) et JAR (administrations européennes). 88
8.5.4 Protection contre le risque toxique en vol. 88
Figure 28 : Schéma-type d'un circuit d'oxygène à bord d'un avion. 76
Figure 29 : Source d'oxygène gazeux comprimé et réservoir d'oxygène liquide. 77
Figure 30 : Enregistrement en sortie d'une colonne de chromatographie gazeuse et photographie d'un concentrateur d'oxygène bi colonnes. 78
Tableau 31 : Classification des systèmes d'oxygène embarqués. 80
Figure 32 : Masques inhalateurs à débit continu. 80
Figure 33 : Principe de fonctionnement d'un inhalateur à la demande sans dilution. 82
Figure 34 : Schéma analogique d'un régulateur d'oxygène avec demande amplifiée. 83
Figure 35 : Schéma de principe d'un régulateur d'oxygène à commande électronique. 83
Figure 36 : Masques inhalateurs à pose rapide, avec et sans prottion oculaire. 84
Figure 37 : Schéma technologique d'un équipement combiné anti-fumées et anti-hypoxie. 87
Figure 38 : Vue de la cagoule anti-fumées PN 1540 (L'Air Liquide). 87
CHAPITRE 9 : HYPERVENTILATION
9 Introduction.
89
9.1. Mécanismes physiologiques de l'hypocapnie.
91
9.2. Signes cliniques.
91
9.3. Causes du syndrome d'hyperventilation en vol.
92
9.4. Conduite à tenir en vol.
92
9.4.1 Reconnaissance des troubles. 92
9.4.2 Sédation des troubles en vol. 93
9.5 En conclusion.
93
Figure 39 : Incident d'hyperventilation (perte de conscience non hypoxique) à l'altitude de 5 500 m. 90
CHAPITRE 10 : LES PROBLÈMES THERMIQUES EN AÉRONAUTIQUE
10 Introduction.
95
10.1 Le bilan thermique du corps humain.
95
10.1.1 La production de chaleur métabolique. 96
10.1.2 Les échanges thermiques par conduction. 96
10.1.3 Les échanges thermiques par convection. 96
10.1.4 Les échanges thermiques par radiations. 97
10.1.5 Les échanges thermiques par évaporation. 97
10.1.6 Évaluation d'une ambiance thermo hygrométrique. 98
10.2. Les échanges thermiques en conditions opérationnelles.
99
10.3. Tolérance de l'organisme à la chaleur.
99
10.3.1 Les réadions du corps humain à la chaleur. 99
10.3.2 La tolérance à la chaleur. 100
10.3.3 Les accidents dus à la chaleur. 101
10.4 Moyens de protection contre la chaleur.
101
10.4.1 Moyens collectifs de protection. 101
10.4.2 Moyens individuels de protection. 101
10.5. Réactions physiologiques au froid.
102
10.5.1 Réactions comportementales. 102
10.5.2 Réactions physiologiques circulatoires. 102
10.5.3 Réactions physiologiques métaboliques. 102
10.5.4 Les accidents dus au froid. 103
10.6. Moyens de protection contre le froid.
104
10.7. La tolérance au froid.
104
Figure 40 : Abaque de Blockley. 100
Figure 41 : Symptômes cliniques de l'hypothermie. 103
Figure 42 : Abaque de Molnar. 104
Figure 43 : Index Windchill. 105
Figure 44 : Abaques prévisionnels de l'hypothermie. 105
SECONDE PARTIE : L'EXPOSITION DE L'HOMME AUX ACCÉLÉRATIONS EN VOL ET PROTECTION.107
CHAPITRE 11 : LES ACCÉLÉRATIONS : DÉFINITIONS PHYSIQUES
11.1. Historique.
109
11.2. Définitions mathématiques et physiques.
111
11.2.1 Notion de vecteur et ambiguïtés de langage. 111
11.2.2 Le déplacement. 111
11.2.3 La vitesse. 112
11.2.4 L'accélération. 112
11.2.5 Force, masse et inertie, relation de Newton. 112
11.2.6 La variation d'accélération (jolt). 113
11.2.7 Exemples et applications. 114
11.3. Classifications.
115
11.3.1 Classification selon l'axe d'application. 115
11.3.2 Classification selon le type. 116
11.3.3 Classification selon la durée d'application. 117
Figure 45 : Photographie de la centrifugeuse du Laboratoire de Médecine Aérospatiale. 110
Figure 46 : Déplacement d'un mobile sur une trajectoire quelconque. 112
Figure 47 : Représentation des vecteurs vitesse et accélération dans le cas d'un mouvement rectiligne uniforme. 114
Figure 48 : Représentation des vecteurs vitesse et accélération dans le cas d'un mouvement circulaire uniforme. 114
Figure 49 : Composition vectorielle des forces au décollage de l'avion. 114
Figure 50 : Définition des accélérations selon leur axe d'application. 116
Figure 51 : Classification des accélérations selon leur durée d'application. 117
CHAPITRE 12 : LES ACCÉLÉRATIONS LINÉAIRES DE LONGUE DURÉE
12.1. Rappels physiologiques.
119
12.1.1 Le muscle cardiaque et son débit. 120
12.1.2 Régulation de la pression artérielle systémique. 120
12.1.3 La circulation veineuse. 121
12.1.4 Les rapports Ventilation/Perfusion pulmonaires. 121
12.2. Effets physiologiques des accélérations +GZ de longue durée.
122
12.2.1 Les effets subjectifs des accélérations +GZ. 122
12.2.2 Les effets cardiovasculaires des accélérations +GZ : l'hypothèse hydrostatique et ses conséquences. 122
12.2.3 Les troubles visuels. 125
12.2.4 Troubles de la conscience et perte de conscience. 125
12.2.4.1 Les troubles de la conscience. 125
12.2.4.2 La perte de conscience : symptômes, déroulement de l'événement. 127
12.2.5 Les effets cardiovasculaires des accélérations +GZ : description clinique. 128
12.2.5.1 Troubles de la conduction et du rythme cardiaques. 129
12.2.5.2 Modifications morphologiques de FECG. 130
12.2.5.3 Conséquences cardiovasculaires retardées de l'exposition aux accélérations +GZ. 130
12.2.6 La tolérance aux accélérations +GZ. 131
12.2.7 Cas particulier : les accélérations soutenues de haut niveau. 133
12.3. Moyens de protection contre les accélérations +GZ.
133
12.4. Effets physiologiques des accélérations -GZ.
134
12.4.1 Effets subjectifs. 135
12.4.2 Tolérance. 135
12.5. Effets physiologiques des accélérations transverses et latérales.
135
12.5.1 Accélérations +GZ. 135
12.5.2 Accélérations -GX. 136
12.5.3 Accélérations Gy. 136
Figure 52 : Représentation graphique de la loi de Starling. 120
Figure 53 : Relation pression-volume dans la circulation veineuse. 121
Figure 54 : Photographie du visage d'un sujet humain sous facteur de charge. 122
Figure 55 : Hypothèse hydrostatique de tolérance aux accélérations +GZ de longue durée. 123
Tableau 56 : Calculs de pression en fonction de l'accélération. 124
Tableau 57 : Pa 02, Sa 02, Fc et Pa au cours d'accélérations +GZ de longue durée. 129
Figure 58 : Circulation rétinienne en cours d'accélération. 126
Tableau 59 : Durée de l'incapacité (perte de conscience sous facteur de charge). 128
Figure 60 : Tracé électrocardiographique : salve d'extrasystoles ventriculaires. 130
Tableau 61 : Tolérance aux accélérations +GZ. 131
Figure 62 : Courbe de Stoll. 132
Figure 63 : Effets de la variation du jolt sur le risque de perte de conscience. 132
Tableau 64 : Effet de différents moyens de protection contre les accélérations +GZ. 135
ANNEXES AU CHAPITRE 12 :
ANNEXE 1 : LES ÉQUIPEMENTS ANTI-G.137
Figure 65 : Loi de pressurisation anti-G. 137
Figure 66 : Photographie d'un sujet porteur d'un pantalon anti-G ARZ 820. 137
ANNEXE 2 : LE RISQUE DE PERTE DE CONSCIENCE SOUS FACTEUR DE CHARGE (SYNTHÈSE).138
CHAPITRE 13 : LES ACCÉLÉRATIONS DE COURTE DURÉE
13.1. Introduction.
141
13.1.1 Définitions. 141
13.1.2 Historique. 141
13.1.3 Circonstances d'apparition des accélérations de courte durée. 142
13.1.4 Généralités. 142
13.2 Mécanismes physiopathologiques.
143
13.2.1 L'homogénéité des points d'application. 143
13.2.2 Le phénomène de résonance. 143
13.3. Effets des accélérations +GZ de courte durée sur l'organisme.
144
13.4. Effets des accélérations -GZ de courte durée sur l'organisme.
145
13.5. Effets des accélérations ±GX de courte durée sur l'organisme.
145
13.6. Effets des accélérations ±GY de courte durée sur l'organisme.
145
13.7. Protection contre les accélérations de courte durée.
145
Tableau 67 : Effet de l'altitude sur le choc à l'ouverture du parachute. 142
Figure 68 : Schéma de principe d'un système ressort-amortisseur isolé. 143
Figure 69 : Modèle analogique du corps humain. 143
Figure 70 : Retour d'une masse à la position d'équilibre. 144
Figure 71 : Description graphique de l'influence d'impulsions itératives. 144
Figure 72 : Courbe de tolérance aux accélérations +GZ de courte durée. 146
CHAPITRE 14 : L'ÉJECTION
14 Introduction.
147
14.1. Description du siège éjectable.
148
14.1.1 Structure générale du siège éjectable. 148
14.1.2 Le harnais. 148
14.1.3 Les servitudes embarquées. 148
14.1.4 L'ensemble propulsif. 150
14.1.5 Les dispositifs de stabilisation. 150
14.2. Fonctionnement du siège éjectable.
151
14.2.1 Déclenchement de l'éjection. 151
14.2.2 Franchissement de la verrière. 151
14.2.3 Activation des servitudes embarquées sur le siège éjctable. 152
14.2.4 Fonctionnement du siège éjectable après la phase propulsée. 152
14.2.5 L'atterrissage. 152
14.2.6 Procédures de secours. 152
14.3. Problèmes physiologiques posés par l'abandon de bord assisté d'un siège éjectable.
153
14.3.1 La propulsion du siège : contraintes physiologiques. 153
14.3.2 La propulsion du siège : études et améliorations attendues. 153
14.3.3 L'effet de souffle. 154
14.4. Limites d'emploi des sièges éjectables.
155
14.4.1 Vitesse maximale d'éjection. 155
14.4.2 Altitude minimale d'éjection. 155
14.5. Autres systèmes.
156
Figure 73 : Vue générale de deux sièges éjectables. 149
Figure 74 : Schéma de l'ensemble de parachutes. 149
Figure 75 : Schéma d'un propulseur principal de siège éjectable. 150
Tableau 76 : Caradéristiques des propulseurs utilisés. 153
Tableau 77 : Pression dynamique en fonction de la vitesse du vent relatif. 154
CHAPITRE 15 : LES VIBRATIONS MÉCANIQUES SOLIDIENNES
15.1. Généralités.
157
15.1.1 Les vibrations : Rappels physiques. 157
15.1.2 Caractérisation physique des vibrations. 158
15.1.3 Caractéristiques du corps humain. 159
15.2. Conséquences physiopathologiques des vibrations de basse fréquence.
159
15.2.1 Effets des vibrations de basse fréquence sur la performance psychomotrice. 160
15.2.2 Conséquences physiologiques des vibrations de basse fréquence. 160
15.2.3 Pathologie liée aux vibrations de basse fréquence. 160
15.3. Les vibrations de haute fréquence (20 à 1000 Hz).
161
15.4. Les pompages pilotés.
161
15.5. Effets des vibrations de très basse fréquence : les cinétoses.
162
15.5.1 Causes et facteurs favorisants. 163
15.5.2 Symptômes. 163
15.5.3 Prévention et traitement. 164
15.6. Conclusions.
164
Figure 78 : Durées limites d'exposition aux vibrations. 161
CHAPITRE 16 : DÉSORIENTATION SPATIALES ET ILLUSIONS SENSORIELLES EN VOL
16.1 Généralités et données statistiques.
165
16.2 Mécanismes physiologiques de l'orientation de l'homme dans l'espace.
167
16.2.1 Rôle de la vision dans l'orientation spatiale. 167
16.2.1.1 Mécanismes de l'appréciation des distances. 168
16.2.1.2 L'orientation vectorielle par rapport à l'environnement (horizontalité et verticalité). 170
16.2.1.3 Le repérage par des acquis antérieurs. 171
16.2.1.4 Du conflit possible entre information principale et information primaire. 171
16.2.2 Rôle de l'équilibration dans l'orientation spatiale. 171
16.2.2.1 Anatomie et fonctions des organes otolithiques. 172
16.2.2.2 Anatomie et fonctions des canaux semi-circulaires. 174
16.2.3 Rôle des récepteurs proprioceptifs cutanés et somatiques dans l'orientation spatiale. 174
16.2.4 Les relations entre les différents récepteurs : la perception multisensorielle de l'espace. 175
16.2.4.1 Coordination des différents capteurs. 175
16.2.4.2 Perception multisensorielle de l'espace. 176
16.2.4.3 Perception de l'espace au cours des évolutions d'un avion. 176
16.3 Description des principales désorientations spatiales en vol.
177
16.3.1 Désorientations spatiales d'origine visuelle. 178
16.3.1.1 Désorientations spatiales par déformation physique de l'information. 178
16.3.1.2 Désorientations spatiales par absence de l'information. 178
16.3.1.3 Désorientations spatiales par perception physiologique erronée de l'information. 179
16.3.1.3.1 Erreurs sur le mouvement. 179
16.3.1.3.2 Erreurs sur les distances. 180
16.3.1.3.3 Erreurs sur l'orientation spatiale. 181
16.3.1.4 Désorientations spatiales par erreur d'interprétation cognitive de l'information. 181
16.3.1.4.1 Erreurs sur les plans d'horizontalité. 181
16.3.1.4.2 Erreurs sur l'orientation verticale. 183
16.3.1.4.3 Erreurs par confusion de sources lumineuses. 184
16.3.1.4.4 L'interprétation des ombres : erreurs de relief. 185
16.3.1.4.5 Erreurs par détournement de la perception des indices au sol. 185
16.3.1.4.6 Erreurs de distance. 185
16.3.1.4.7 Cas particulier des erreurs par rapport à la piste. 186
16.3.2 Désorientations spatiales d'origine vestibulaire. 188
16.3.2.1 Erreurs liées aux caractéristiques physiques du signal. 188
16.3.2.1.1 L'effet de Coriolis. 188
16.3.2.1.2 Rôle des changements de plan des canaux semi-circulaires. 189
16.3.2.2 Erreurs par absence de l'information visuelle. 190
16 : 3.2.3 Erreurs par perception physiologique erronée. 191
16.3.2.3.1 Erreurs liées aux effets de seuil : les illusions d'inclinaison. 191
16.3.2.3.2 Erreurs liées à l'adaptabilité des capteurs. 192
16.3.2.4 Erreurs d'interprétation des signaux physiques. 192
16.3.2.4.1 Les illusions somatograviques. 192
16.3.2.4.2 Les illusions somatogyres. 194
16.3.3 Désorientations spatiales complexes d'origine mixte, vestibulaire et oculaire. 194
16.3.3.1 Les illusions oculograviques. 194
16.3.3.2 Les illusions oculogyres. 195
16.3.4 Troubles de l'orientation dans l'espace d'origine cognitive. 195
16.3.4.1 Les capacités psychomotrices du pilote sont altérées. 195
16.3.4.2 Les capacités psychomotrices du pilote ne sont pas altérées. 195
16.4 Conclusion.
197
Tableau 80 : Importance de la désorientation spatiale dans la genèse des accidents aériens. 167
Tableau 81 : Importance de l'expérience dans les accidents a dus à une désorientation spatiale. 167
Figure 82 : Manipulation d'image : effet de perspective. 169
Figure 83 : Photographie d'un paysage de montagne : estompage des couleurs en fonction de la distance. 169
Figure 84 : Tableau de bord de l'avion de chasse jaguar. 170
Figure 85 : Schéma anatomique de l'oreille interne. 172
Tableau 86 : Classification des désorientations spatiales et illusions sensorielles. 177
Figure 88 : Décollage du terrain de Mortagne au Perche : identification erronée de l'horizontalité. 183
Figure 89 : Illusion visuelle en approche due à un cabré excessif. 184
Figure 90 : Perception d'une piste « normale » en fonction de l'angle d'approche. 186
Figure 91 : Perception visuelle de la piste en fonction de sa longueur et de sa largeur. 186
Figure 92 : Perception visuelle de la piste en fonction de sa pente. 186
Figure 93 : Trajectoire d'approche normale sur piste horizontale. 187
Figure 94 : Trajectoire d'approche correcte sur piste montante. 187
Figure 95 : Trajectoire d'approche très incorrecte. 187
Figure 96 : Représentation des effets de Coriolis. 188
Figure 97 : Démonstration en vol des effets de changement de plan des canaux semi-circulaire. 189
Figure 98 : Poste de pilotage du Rafale. 190
Figure 99 : Accident par illusion d'inversion. 193
CHAPITRE 17 : L'HOMME DANS L'ESPACE
17.1 Vocabulaire et définitions.
199
17.1.1 Le vide spatial. 199
17.1.2 Absence de pesanteur et microgravité. 200
17.2 Organisation de la vie dans le vide spatial.
200
17.2.1 Choix des caractéristiques de l'atmosphère d'une cabine étanche. 200
17.2.2 Maintien de la composition de l'atmosphère d'une cabine étanche. 201
17.2.3 Conditionnement thermo hygrométrique. 203
17.2.4 Contrôle toxicologique de l'atmosphère. 204
17.2.5 Les scaphandres étanches. 204
17.3. Conséquences physiopathologiques de la microgravité sur l'homme.
207
17.3.1 Microgravité, équilibration et contrôle postural, mal de l'espace. 208
17.3.2 La désadaptation cardiovasculaire. 208
17.3.3 Les troubles du métabolisme phosphocalcique. 209
17.3.4 Contre-mesures en vol et réadaptation à la normogravité. 210
17.4. Les radiations dans l'espace.
211
17.5. Conclusion.
212
Figure 100 : Vue de l'Airbus A300 dédié aux vols paraboliques. 201
Tableau 101 : Systèmes de conditionnement d'atmosphère dans une cabine étanche. 202
Figure 102 : Scaphandres spatiaux. 207
Figure 103 : Scaphandre russe de protection intravéhiculaire. 207
Figure 104 : Retour du spationaute Jean-Pierre Haigneré, après quatre mois passés dans la station MIR. 209
UNITÉS DE MESURE.
213
GLOSSAIRE.
215
CONVENTIONS D'ÉCRITURE.
218
INDEX.
219