La notion de contrat unilatéral : analyse fonctionnelle
Marc-Olivier Barbaud
LGDJ
lextenso
PréfaceVII
RemerciementsIX
Liste des abréviationsXIII
Ouvrages cités de manière abrégéeXVII
Introduction1
I. L'objet de la recherche7
II. La méthode de la recherche13
Première partie
La fonction normative de la notion de contrat unilatéral
Titre I : L'absence de régime propre aux contrats unilatéraux21
Chapitre I. Contrat unilatéral et expression du consentement23
Section I. Le consentement du créancier26
§ 1. L'exigence d'un consentement solennel du créancier en matière de donation authentique
27
I. L'encadrement légal de l'acceptation de la donation27
A. Le caractère exprès de l'acceptation27
B. La forme authentique de l'acceptation30
II. Les justifications de l'encadrement légal de l'acceptation de la donation31
A. Justifications de la forme authentique31
B. Justifications du caractère exprès33
§ 2. Le consentement du créancier dans les contrats unilatéraux réels
36
I. Le don manuel36
A. La nécessité de l'acceptation du don36
B. La forme de l'acceptation du don41
II. Les contrats réels de restitution43
A. La thèse du consentement formel du créancier43
1. Le réalisme contractuel fondé sur une analyse spiritualiste de la remise de la chose43
a) La critique classique des contrats réels
43
b) La justification moderne des contrats réels
48
2. Étude critique de l'analyse spiritualiste de la remise de la chose50
a) Les arguments à l'encontre de l'analyse spiritualiste de la remise de la chose50
b) Les contours de l'analyse spiritualiste admissible de la remise de la chose
52
B. La thèse du consentement libre du créancier54
1. Le réalisme contractuel fondé sur l'économie des contrats de prêt et de dépôt54
a) La définition légale matérialiste des contrats de prêt et de dépôt
54
b) La distinction de la remise et du consentement
57
2. Le réalisme contractuel fondé sur le caractère gratuit de l'engagement58
a) Le refus de l'exécution forcée du prêt et du dépôt gratuits
58
b) La distinction de la remise et du consentement
59
§ 3. Le consentement du créancier dans les contrats unilatéraux consensuels
61
I. L'exigence exceptionnelle d'un consentement exprès du créancier62
II. L'admission ordinaire d'un consentement tacite du créancier64
A. Le consentement tacite induit du comportement actif du créancier65
B. Le consentement tacite induit du silence du créancier66
1. Principe66
2. Exceptions68
a) Exceptions indifférentes à la qualité de débiteur ou de créancier de la personne silencieuse
69
b) Exceptions non indifférentes à la qualité de débiteur ou de créancier de la partie silencieuse ?
70
alpha) Incidence du caractère purement avantageux de l'offre sur l'appréciation du silence de son destinataire71
bêta) Distinction de l'offre purement avantageuse et de l'offre de contrat unilatéral adressée au créancier74
Section II. Le consentement du débiteur78
§ 1. L'exigence d'un consentement solennel du débiteur
79
I. La donation authentique79
II. Les cautionnements régis par le Code de la consommation81
A. L'avènement des cautionnements solennels81
B. Les justifications du formalisme83
III. Les promesses solennelles de contrat85
§ 2. Le consentement du débiteur dans les contrats unilatéraux réels
87
I. Le don manuel87
II. Les contrats réels de restitution90
§ 3. Le consentement du débiteur dans les contrats unilatéraux consensuels
92
I. L'exigence d'un consentement exprès de la caution92
II. L'autorisation expresse d'un consentement tacite du mandataire95
Conclusion du chapitre97
Chapitre II. Contrat unilatéral et cause99
Section I. La définition de la cause des contrats unilatéraux101
§ 1. La primauté de la distinction du titre onéreux et du titre gratuit pour la définition de la cause
102
I. La construction de la théorie de la cause sur la distinction du titre onéreux et du titre gratuit102
A. L'analyse de Domat102
B. Le point de départ : Pothier104
C. Le Code civil et ses premiers commentateurs106
II. La subordination de la distinction des contrats synallagmatiques et unilatéraux pour la définition de la cause108
A. La subordination explicite108
1. Le point de départ : Duranton109
2. La doctrine postérieure110
B. La subordination implicite112
1. Le point de départ : Demolombe112
2. La doctrine postérieure114
§ 2. L'irréductibilité de la cause des contrats unilatéraux à toute définition unitaire
115
I. Les contrats préparatoires unilatéraux116
A. Le pacte de préférence116
B. La promesse unilatérale de contrat117
II. Le cautionnement119
III. Les contrats réels de restitution122
IV. La promesse de payer une dette préexistante127
V. Les donations129
Section II. Le contrôle de la cause des contrats unilatéraux133
§ 1. Le périmètre d'appréciation de la cause des contrats unilatéraux
133
I. La communauté du périmètre d'appréciation de la cause des contrats synallagmatiques et unilatéraux134
A. Le périmètre d'appréciation de la cause pour le contrôle de son existence134
1. La convention, périmètre d'appréciation de la cause onéreuse134
2. Les motifs de disposant, périmètre d'appréciation de la cause bienfaisante136
a) L'extension du contrôle de la cause aux motifs personnels du disposant
136
b) La limitation du contrôle de la cause à certains motifs du disposant
138
B. Le périmètre d'appréciation de la cause pour le contrôle de sa licéité139
II. Le rejet de l'idée d'extériorité de la cause des contrats unilatéraux142
A. Présentation de l'idée d'extériorité de la cause des contrats unilatéraux142
1. L'affirmation de l'idée d'extériorité de la cause des contrats unilatéraux142
a) La naissance de l'idée : Henri Capitant
143
b) Le développement de l'idée par la doctrine postérieure
145
2. L'élévation de l'idée d'extériorité de la cause au rang de critère du contrat unilatéral146
B. Réfutation de l'idée d'extériorité de la cause des contrats unilatéraux147
1. Rejet de l'idée d'extériorité de la cause des contrats unilatéraux défendue par la doctrine postérieure à Henri Capitant148
2. Rejet de l'idée d'extériorité de la cause défendue par Henri Capitant150
§ 2. La sanction de la cause des contrats unilatéraux
151
I. Les sanctions de la cause communes à tous les contrats151
II. La sanction de la fausse cause partielle153
A. La « réduction » de l'obligation, sanction inédite de la fausse cause partielle153
1. La requalification de l'acte litigieux154
2. La démystification de la sanction retenue155
a) La « réduction » de l'obligation, sanction générale du déséquilibre économique de l'acte ?156
b) La « réduction » de l'obligation, sanction spécifique de l'engagement excessif de payer une dette préexistente ?
157
c) La « réduction » de l'obligation, rectification objective du quantum de l'objet de l'obligation
158
B. Les « réductions » de l'obligation, sanctions indépendantes du caractère unilatéral du contrat159
1. L'application de la « réduction-rectification » dans les contrats synallagmatiques160
2. Le refus de la « réduction-révision » dans tous les contrats161
a) Le refus de la « réduction-révision » pour fausseté partielle de la cause dans les contrats synallagmatiques
162
b) L'extension du refus aux contrats unilatéraux
162
Conclusion du chapitre165
Chapitre III. Contrat unilatéral et article 1326 du Code civil167
Section I. L'application de l'article 1326 du Code civil au-delà du contrat unilatéral168
§ 1. L'inclusion des contrats unilatéraux dans le présupposé de la règle
169
I. Le texte originel de l'article 1326 du Code civil169
II. Le texte actuel de l'article 1326 du Code civil173
§ 2. L'inclusion d'autres actes dans le présupposé de la règle
176
Section II. L'application de l'article 1326 du Code civil en deçà du contrat unilatéral180
§ 1. Condition de fongibilité de l'objet de l'engagement et contrats unilatéraux
180
I. L'exigence du caractère fongible de l'objet de l'engagement180
A. Présentation180
B. Justifications181
II. La conséquence de l'exigence du caractère fongible de l'objet de l'engagement184
§ 2. Condition de fongibilité de l'objet de l'engagement et qualification de contrat unilatéral dans le contentieux civil français
185
I. Les décisions de la Cour de cassation186
II. Les décisions des juridictions du fond187
Conclusion du chapitre189
Titre II : La soumission des contrats unilatéraux au régime des contrats synallagmatiques191
Chapitre I. L'éventuelle soumission des contrats unilatéraux au régime de la preuve des contrats synallagmatiques193
Section I. La restriction de la règle du double écrit aux contrats synallagmatiques parfaits193
§ 1. Les assises théoriques de la restriction
194
I. Les vicissitudes originelles de la règle du double écrit et de sa restriction aux contrats synallagmatiques194
II. La justification moderne de la règle du double écrit et de sa restriction aux contrats synallagmatiques parfaits199
§ 2. Les assises jurisprudentielles de la restriction
203
I. L'éviction des contrats synallagmatiques imparfaits203
II. L'éviction des autres contrats unilatéraux205
Section II. L'éventuelle extension de la règle du double écrit aux contrats unilatéraux206
§ 1. L'intérêt de l'égalité devant la preuve dans les contrats unilatéraux
207
I. Les contrats synallagmatiques imparfaits207
II. Les autres contrats unilatéraux211
§ 2. L'intérêt de la sincérité de la preuve des contrats unilatéraux
213
I. La sincérité de l'acte, justification principale de la règle du double écrit213
A. Objectif de sincérité et sanction de l'écrit irrégulier214
B. Objectif de sincérité et admission exceptionnelle de l'écrit irrégulier218
II. La sincérité de l'acte, objectif commun aux contrats synallagmatiques et unilatéraux220
Conclusion du chapitre223
Chapitre II. La soumission des contrats unilatéraux au régime de l'inexécution des contrats synallagmatiques225
Section I. La soumission originelle des contrats unilatéraux au régime des contrats synallagmatiques227
§ 1. Le droit romain
228
I. L'absence d'un principe général d'exception ou de résolution pour inexécution dans les contrats bilatéraux de bonne foi228
A. La vente229
B. Le louage233
C. Les contrats réels de bonne foi234
II. L'admission de l'exception et de la résolution pour inexécution dans les contrats unilatéraux235
A. Les contrats unilatéraux de droit strict235
1. L'exception de dol236
2. La querela non numeratae pecuniae238
B. Les contrats innommés239
1. Le caractère unilatéral des contrats innommés240
2. La résolution pour inexécution des contrats innommés243
§ 2. Le droit médiéval
245
I. L'affirmation d'un principe général d'exception et de résolution pour inexécution en droit canonique245
A. Le fondement de la règle Frangenti fidem245
1. La sanction juridique de la promesse sans forme246
a) L'obligation morale de respecter les simples promesses
246
b) La sanction juridique de la parole donnée
247
2. Le contrôle juridique de l'intention du promettant248
a) Les réflexions des moralistes
248
b) Le mimétisme des canonistes
249
B. L'affirmation de la règle Frangenti fidem249
1. Présentation de la condition tacite « si fides servetur »250
2. Édification de la règle Frangenti fidem sur la condition tacite « si fides servetur »251
C. Le champ d'application de la règle Frangenti fidem253
1. Le développement de la règle Frangenti fidem dans les contrats unilatéraux253
a) Le serment promissoire
253
b) Le mutuum
254
2. Le sens de la condition de réciprocité des engagements255
II. La progression de l'exception et de la résolution pour inexécution dans les théories des civilistes256
A. Les glossateurs257
1. Les premiers travaux257
2. La Glose d'Accurse259
B. Les commentateurs260
1. L'affirmation d'un principe général d'exception pour inexécution260
2. Les progrès d'une conception générale de la résolution pour inexécution262
a) L'émergence d'une justification générale de la résolution pour inexécution des contrats innommés
263
b) La persistance de l'absence d'un principe général de résolution pour inexécution dans les contrats nommés
264
c) L'extension de la justification nouvelle à certains actes mixtes
265
III. Le développement de l'exception et de la résolution pour inexécution dans les contrats de droit coutumier267
A. L'exception d'inexécution267
B. La résolution pour inexécution269
§ 3. L'ancien droit
272
I. Le rétrécissement du champ de l'exception d'inexécution aux contrats bilatéraux272
II. L'élargissement du champ de la résolution pour inexécution à tous les contrats bilatéraux276
A. L'extension de la résolution pour inexécution à tous les contrats nommés et bilatéraux du droit romain276
1. Les précurseurs276
a) Connan
276
b) Du Moulin
278
2. L'admission de la résolution de la vente à crédit dans la jurisprudence des parlements280
B. La systématisation de la théorie moderne de la résolution pour inexécution281
1. L'effet destructeur de la résolution pour inexécution281
2. Le caractère judiciaire de la résolution pour inexécution283
3. L'application de la résolution pour inexécution au-delà des contrats synallagmatiques284
Section II. La soumission contemporaine des contrats unilatéraux au régime de l'inexécution des contrats synallagmatiques288
§ 1. L'application de la résolution pour inexécution aux contrats unilatéraux
288
I. Critique des fondements de la résolution pour inexécution exclusifs des contrats unilatéraux289
A. Le texte de l'article 1184 du Code civil289
B. La condition résolutoire tacite291
C. La théorie de la cause292
1. Présentation de la théorie de la cause comme fondement de la résolution pour inexécution292
a) Les origines de la théorie
293
b) L'exclusion de la résolution pour inexécution des contrats unilatéraux
296
2. Critique de la théorie de la cause comme fondement de la résolution pour inexécution300
a) Le droit d'option du créancier
300
b)) Les pouvoirs du juge de la résolution
301
c) La survie possible de la cause à l'inexécution du contrat
302
D. La communauté d'origine des obligations réciproques304
II. L'admission de la résolution pour inexécution des unilatéraux310
A. Explication310
1. L'« approche pragmatique du manquement résolutoire »311
2. Les ressorts de la décision du juge314
B. Illustrations320
1. La résolution des contrats unilatéraux producteurs d'obligations réciproques320
a) Les contrats synallagmatiques imparfaits
320
b) Les autres contrats unilatéraux
323
2. La résolution des contrats unilatéraux non producteurs d'obligations réciproques327
a) Les contrats réels unilatéraux
327
b) Les autres contrats unilatéraux
330
§ 2. L'application de l'exception d'inexécution à certains contrats unilatéraux
333
I. Critique des fondements de l'exception d'inexécution exclusifs des contrats unilatéraux334
A. La théorie de la cause334
1. Présentation de la théorie de la cause mise au fondement de l'exception d'inexécution335
2. Critique de la théorie de la cause au fondement de l'exception d'inexécution338
B. L'interdépendance des obligations réciproques340
II. L'admission de l'exception d'inexécution dans les contrats unilatéraux342
A. Explication342
1. Le fondement de l'exception d'inexécution342
2. Les conditions de l'exception d'inexécution344
B. Illustrations347
1. Les contrats synallagmatiques imparfaits347
2. Les autres contrats unilatéraux349
Conclusion du chapitre351
Conclusion de la première partie355
Seconde partie
La fonction définitoire de la notion de contrat unilatéral
Titre I : Le rôle de la notion de contrat unilatéral dans la construction de la notion de contrat359
Chapitre I. L'avènement de la notion de contrat unilatéral en droit romain et byzantin361
Section I. Les conditions de l'avènement de la notion de contrat unilatéral361
§ 1. Les conditions matérielles
362
I. La présence exclusive de contrats unilatéraux en droit romain archaïque362
A. Le caractère unilatéral des contrats du droit romain archaïque363
1. Les contrats antérieurs à la loi des XII Tables364
a) Le voeu
364
b) Le serment religieux
365
2. Les contrats sanctionnés par la loi des XII Tables365
a) La sponsio366
b) Le nexum366
B. Le défaut de sanction civile des principales conventions synallagmatiques367
II. La présence commune de contrats unilatéraux et des contrats bilatéraux en droit romain classique et post-classique369
A. L'apparition des contrats bilatéraux369
1. L'avènement des contrats de bonne foi370
a) Les ressources de la procédure formulaire
370
b) L'apparition des contrats de bonne foi
371
2. Le caractère bilatéral des principaux de contrats de bonne foi372
a) Les premiers contrats de bonne foi
372
b) Les autres contrats de bonne foi
374
B. Le maintien des contrats unilatéraux375
1. Les contrats de droit strict375
a) La stiplulatio375
b) L'expensilatio376
c) Le mutuum377
2. Les contrats innommés378
§ 2. Les conditions intellectuelles
378
I. L'apparition du contractus, contrat bilatéral379
A. Servius Sulpicius Rufus380
B. Labéon381
II. L'évolution du contractus, convention obligatoire386
A. La reconnaissance d'une convention au fondement de tous les contrats386
B. L'indifférence de la réciprocité des obligations pour la qualification de contrat388
Section II. Les circonstances de l'avènement de la notion de contrat unilatéral390
§ 1. L'observation incidente du caractère unilatéral des contrats de droit strict en droit romain
391
I. Gaius391
II. Les compilations justiniennes394
§ 2. La formalisation de la notion de contrat unilatéral en droit byzantin
396
Conclusion du chapitre401
Chapitre II. La construction de la notion de contrat unilatéral de la Renaissance au Code civil403
Section I. L'assimilation de la notion de contrat unilatéral à une conception « large » et « impropre » de la notion de contrat : le courant historiciste de l'humanisme juridique406
§ 1. La distinction des contrats « propres » et « impropres »
407
I. Alciat407
II. Cujas409
§ 2. Le rapprochement des contrats monopleuros et dipleuros des contrats « propres » et « impropres »
412
Section II. L'émancipation de la notion de contrat unilatéral en tant qu'espèce de contrat : le courant systématique de l'humanisme juridique415
§ 1. L'affirmation de la notion de contrat unilatéral au soutien de la construction de la notion de contrat
417
I. Doneau418
II. Vinnius423
§ 2. L'affirmation de la distinction byzantine des contrats monopleuros et dipleuros en tant que division du contrat
426
I. Vinnius426
II. Pufendorf429
Section III. La conservation de la notion de contrat unilatéral comme élément de définition du contrat : l'ancien droit français433
§ 1. La notion de contrat unilatéral comme élément interne de définition du contrat
436
I. Claude de Ferrière437
II. Claude-Joseph de Ferrière440
§ 2. La notion de contrat unilatéral comme élément externe de définition du contrat
442
I. Pothier442
II. Le Code civil446
Conclusion du chapitre449
Titre II : Le rôle de la notion de contrat unilatéral au soutien de la notion de contrat451
Chapitre I. Le rôle de la notion de contrat unilatéral dans le contentieux civil français453
Section I. La notion de contrat unilatéral, vecteur de rattachement à la catégorie du contrat455
§ 1. Le rattachement par le juge de l'acte litigieux à la catégorie du contrat
456
I. Les arrêts de la Cour de cassation456
II. Les décisions des juridictions du fond459
§ 2. Le rattachement par les parties de l'acte litigieux à la catégorie du contrat
462
Section II. La notion de contrat unilatéral, vecteur d'application du régime du contrat467
§ 1. Le rejet du régime de l'acte unilatéral
467
§ 2. Le rappel exprès de l'applicabilité du régime du contrat
473
Conclusion du chapitre475
Chapitre II. Le rôle de la notion de contrat unilatéral dans les projets de réforme du droit des contrats477
Section I. L'avant-projet de réforme du droit des obligations et de la prescription479
§ 1. La place de la notion de contrat unilatéral
479
§ 2. Les observations du groupe de travail de la Cour de cassation
481
Section II. Le projet de l'Académie des Sciences morales et politiques482
Section III. Le projet de la Chancellerie485
Conclusion du chapitre487
Conclusion de la seconde partie489
Conclusion générale493
Bibliographie indicative497
Index alphabétique515
Table des matières523