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Livre

La renaissance du cinéma brésilien, de l'Atlantide à la Cité de Dieu. 2 , La complainte du phoenix : années 1970-2000

Résumé

Suite de la rétrospective consacrée au cinéma brésilien. Ces années 70 et 80 sont soumises à la dictature militaire qui contrôle le 7e art via Embrafilme. Puis la renaissance, la "retomada" du milieu des années 90, voit le succès de film comme Central do Brasil, de Walter Salles, puis Cidade de Deus, de Fernando Meirelles.


  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2011
  • Notes
    • Bibliogr. p. 227-234, index
  • Langues
    • Français
  • Description matérielle
    • 1 vol. (250 p.-pl.) : illustrations en noir et en couleur ; 24 x 16 cm
  • Collections
  • Sujet(s)
  • Lieu
  • ISBN
    • 978-2-296-11798-3
  • Indice
  • Quatrième de couverture
    • La renaissance du cinéma brésilien, de l'Atlantide à la Cité de Dieu

      Second Volume

      La complainte du phoenix (1970-2000)

      Voilà bientôt un demi-siècle que le cinéma brésilien vit sur le souvenir du cinema novo. Or son histoire est un véritable roman-feuilleton, scénario à rebondissements dont on dresse ici le panorama critique en mettant l'accent sur la quête d'identité dont elle porte trace. Quête cyclique d'un cinéma implanté dans un pays d'identité nationale, politique, raciale et culturelle métissée. Un cinéma irrégulièrement productif, chaotique et cahoté, divers, riche de contradictions liées aux soubresauts de la nation.

      Après soixante années d'envols dignes de l'obstination d'Icare, ce second volume analyse les années 70 marquées par la Dictature militaire et l'organisme étatique Embrafilme, qui célèbre l'histoire d'amour du public brésilien avec son cinéma (Dona Flor et ses deux maris), puis la pornochanchada, comédie érotique médiocre discréditant pour longtemps le cinéma national. Les années 90 commencent par la mort du cinéma brésilien, gelé par le Président Collor. Carlota Joaquina le ressuscite (1994) et la retomada (reprise toujours actuelle 16 ans après) est couronnée par les succès internationaux de Central do Brasil (1998-Walter Salles) puis Cidade de Deus (2002-Fernando Meirelles).

      Mais pourquoi le cinéma brésilien a-t-il tant de difficultés intra et extra muros ?


  • Origine de la notice:
    • Electre
  • Disponible - 791(82) DES

    Niveau 3 - Cinéma